Editorial
 Éditorial

 

Spirometric testing: How much is enough?

Nicholas R. Anthonisen, MD, PhD

Canadian Medical Association Journal 1997; 156: 202-204

[résumé]


Dr. Anthonisen is Dean of the Faculty of Medicine, University of Manitoba, Winnipeg, Man.

This article has been peer reviewed.

Paper reprints may be obtained from: Dr. Nicholas R. Anthonisen, Office of the Dean, Faculty of Medicine, University of Manitoba, A101 Chown Building, 753 McDermot Ave., Winnipeg MB R3E 0W3; fax 204 783-5358; anthonis@bldghsc.lan1.umanitoba.ca

© 1997 Canadian Medical Association (text and abstract/résumé)


Abstract

The author comments on the report by Dr. Benjamin Chan and associates on spirometry utilization rates in Ontario (see pages 169 to 176 of this issue [abstract]). Their findings indicate that the overall utilization of spirometry in the province is not unreasonably high and may in fact be too low in certain regions and patient groups. The author argues, however, that to a large extent the wrong type of spirometry is being done. Although the wider use of flow studies should be promoted, the utility of flow­volume loops rather than simple spirograms as an office procedure is highly questionable.


Résumé

L'auteur présente des commentaires sur le rapport du Dr Benjamin Chan et collègues au sujet des taux d'utilisation de la spirométrie en Ontario (voir pages 169 à 176 du présent numéro [résumé]). Leurs constatations indiquent que l'utilisation globale de la spirométrie dans la province n'est pas déraisonnable et peut en fait être trop faible dans certaines régions et pour certains groupes de patients. Cependant, l'auteur soutient qu'on utilise dans une grande mesure le mauvais type de spirométrie. Même s'il faudrait promouvoir l'utilisation accrue des tests de spirométrie, l'utilité des tests à boucle débit­volume plutôt que celle du spirogramme simple dans le contexte d'une intervention en cabinet est très douteuse.
| CMAJ January 15, 1997 (vol 156, no 2)  /  JAMC le 15 janvier 1997 (vol 156, no 2) |