Editorial


Éditorial

Demonstrating social accountability in medical education

Brian Hennen, MD

CMAJ 1997;156(3):365-7

[résumé]


Dr. Hennen is Professor and Chair, Department of Family Medicine, University of Western Ontario, London, Ont.

Paper reprints may be obtained from: Dr. Brian Hennen, Department of Family Medicine, University of Western Ontario, K101-1151 Richmond St., London ON N6A 5C1; fax 519 661-2037; bhennen@julian.uwo.ca

© 1997 Canadian Medical Association (text and abstract/résumé)


See also:
  • Letter: Introducing students to community health, L. Laing, J.M. Howell

    Abstract

    The author considers the University of Toronto's Health, Illness and the Community course for undergraduate medical students, described in this issue by Wasylenki and associates (see pages 379 to 383 [abstract]). Social accountability in medical education demands a community orientation and hence an emphasis on outreach. Medical schools should expand their clinical service to the community, provide community-based residency placements and offer continuing medical education in rural and regional centres. Accountability also requires community involvement in planning and implementing research projects. Placing students in a community setting as part of the curriculum is praiseworthy, but it is not sufficient to ensure social accountability. What is needed now is a more comprehensive acceptance by faculties of medicine of the mandate of community-centred learning, together with well-targeted funding for education and research initiatives.


    Résumé

    L'auteur se penche sur le cours intitulé La santé, la maladie et la communauté, qui s'adresse aux étudiants en médecine de premier cycle de l'Université de Toronto et que Wasylenki et ses collaborateurs décrivent dans le présent numéro (voir pages 379 à 383 [résumé]). L'imputabilité sociale en éducation médicale passe par une orientation communautaire et met donc l'accent sur l'intervention communautaire. Les facultés de médecine devraient étendre leur service clinique à la communauté, fournir des stages de résidence dans la communauté et offrir de l'éducation médicale continue dans les centres ruraux et régionaux. L'imputabilité passe aussi par la participation de la communauté à la planification et à la mise en oeuvre de projets de recherche. Il est louable de placer les étudiants en contexte communautaire dans le cadre du programme d'études, mais cela ne suffit pas pour assurer l'imputabilité sociale. Il faut maintenant que les facultés de médecine acceptent de façon plus complète le mandat de l'apprentissage communautaire, ainsi que le financement bien ciblé d'initiatives d'éducation et de recherche.


    | CMAJ February 1, 1997 (vol 156, no 3) / JAMC le 1er février 1997 (vol 156, no 3) |