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Le choix d'une résidence : Les étudiants sont-ils prêts?

CMAJ 1998;158:696

© 1998 Association médicale canadienne


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Le sondage annuel postjumelage réalisé par le Service canadien de jumelage des résidents (SCGR) révèle que les étudiants se sentent maintenant mieux préparés dès le du processus. Le pourcentage de ceux qui se disent assez bien ou très bien préparés a augmenté régulièrement pour passer de 46 % en 1993 à 71 % en 1997. Plus les étudiants se sentent bien préparés, meilleures étaient leurs chances d'obtenir le jumelage souhaité : 93 % de ceux qui se sentent bien préparés ont obtenu le premier jumelage choisi.

Dix-sept pour cent des répondants qui ont obtenu un jumelage dans une spécialité du Collège royal ont signalé que s'ils pouvaient changer de discipline, ils aimeraient le faire ou n'étaient pas décidés. Parmi les étudiants non décidés, presque la moitié (45 %) ont obtenu un jumelage dans le programme qui constituait leur premier choix.

Lorsqu'on leur a demandé ce qui faciliterait le choix d'un programme de résidence, 54 % ont répondu qu'il devrait y avoir plus de cours au choix, 36 % ont suggéré un meilleur accès à l'information sur les possibilités d'emploi, 32 % souhaitaient qu'on restructure le programme d'études de premier cycle et 30 % souhaitaient avoir plus de temps pour prendre la décision (en moyenne, 28 semaines).

Que le candidat ait terminé ou non tous les stages cliniques au choix avant le jumelage, cela n'a pas semblé jouer sur ce qu'il pensait de son état de préparation. Des proportions égales des stagiaires des deux groupes ont signalé se sentir assez bien ou très bien préparés (71 %). Cependant, un pourcentage légèrement plus élevé d'étudiants qui avaient terminé toutes les rotations des stages cliniques de base se sentaient très bien préparés (40 %) comparativement à 32 % de ceux qui ne les avaient pas terminées.

Parmi ceux qui ont été jumelés à des programmes de médecine familiale, 95 % envisagent de terminer une troisième année de formation en résidence dans des disciplines comme la médecine d'urgence, l'obstétrique et l'anesthésie. ­ Lynda Buske

Niveau de préparation, déclaré par l'intéressé, pour faire le choix PGY-1

Cette chronique a été rédigée par Lynda Buske, chef, Information sur les effectifs médicaux et planification, AMC. Les lecteurs peuvent proposer des sujets de recherche à Patrick Sullivan (sullip@cma.ca; 800 663-7336 x2126; télécopieur 613 523-0937).

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| CMAJ March 10, 1998 (vol 158, no 5) / JAMC le 10 mars 1998 (vol 158, no 5) |
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