Dernier communiqué de l'Indice des prix à la consommation

Le mardi 22 août 2006
Diffusé à 7 h 00, heure de l'est dans le Quotidien
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Juillet 2006 

La variation sur 12 mois de l'Indice des prix à la consommation (IPC) a reculé pour un deuxième mois consécutif, passant de 2,5 % entre juin 2005 et juin 2006 à 2,4 % entre juillet 2005 et juillet 2006. Il s'agit toutefois d'une légère diminution de prix pour les consommateurs, attribuable en partie à la réduction de 1,0 % de la taxe sur les produits et les services (TPS) qui a pris effet le 1er juillet.

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La variation sur 12 mois de l'IPC d'ensemble sans huit des composantes les plus volatiles telles que définies par la Banque du Canada aux fins de la politique monétaire a augmenté de 1,5 % entre juillet 2005 et juillet 2006. Il s'agit d'un net recul par rapport à la hausse de 1,7 % affichée entre juin 2005 et juin 2006. La variation sur 12 mois de cet indice observée en juillet 2006 est la plus faible depuis juillet 2005.

En excluant les prix de l'énergie, l'augmentation sur 12 mois de l'IPC a ralenti légèrement, passant de 1,5 % en juin à 1,4 % en juillet.

Sur une base mensuelle, l'IPC a affiché une majoration de 0,1 % en juillet. Cela suggère que les pressions à la hausse sur les prix ont été assez importantes en juillet pour plus que compenser les effets attendus de la réduction de 1 % de la TPS.

Le communiqué de l'IPC diffusé dans Le Quotidien du 21 juillet 2006 suggérait un impact à la baisse d'environ 0,6 % sur l'IPC découlant de la réduction de 1 % de la TPS. Obtenue au moyen d'un exercice de simulation, cette estimation repose sur les hypothèses que la totalité de la réduction de la TPS est transférée aux consommateurs et que la structure industrielle qui sous-tend la détermination des prix demeure la même. De plus, cette mesure d'impact ne tient pas compte de la hausse des taxes d'accises fédérales sur les produits du tabac et les boissons alcoolisées prévues par le gouvernement.

L'augmentation des prix de l'essence de 4,6 % entre juin et juillet a expliqué en partie la hausse mensuelle de 0,1 %. D'autres facteurs économiques, tels que la réaction de certains commerçants face au changement apporté à la TPS, les délais d'ajustement et l'augmentation saisonnière de certains prix, ont pu contribuer à atténuer l'effet à la baisse attendu sur l'IPC de la réduction de la TPS. Il est cependant difficile de quantifier leur impact respectif.

Pour un deuxième mois consécutif, l'indice d'ensemble excluant l'énergie a chuté de 0,2 % en juillet. La même tendance a été affichée par l'indice d'ensemble sans huit des composantes les plus volatiles, telles que définies par la Banque du Canada. Ce dernier a fléchi de 0,2 % entre juin et juillet, ce qui représente une variation identique à celle constatée le mois précédent.

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La hausse des prix de l'essence, encore la source principale de la variation sur 12 mois

En juillet 2006, l'IPC a monté de 2,4 % par rapport à juillet 2005, soit un recul comparativement à la hausse de 2,5 % affichée le mois précédent. La hausse des prix de l'essence a été la principale source de cette majoration, suivie des augmentations du coût de remplacement par le propriétaire, de l'achat et de la location à bail de véhicules automobiles et des tarifs d'électricité. Ces hausses ont été contrebalancées en partie par des prix plus faibles pour le matériel et les fournitures informatiques, les vêtements pour femmes, le matériel vidéo et les vêtements pour hommes.

Les prix de l'essence ont augmenté de 16,1 % entre juillet 2005 et juillet 2006, en hausse comparativement à la majoration de 15,4 % constatée entre juin 2005 et juin 2006. La montée en flèche du cours du baril de pétrole sur les marchés internationaux explique en grande partie les prix plus élevés payés par les automobilistes au cours de la dernière année. À l'exception de l'Île-du-Prince-Édouard, les provinces ayant affiché des augmentations supérieures à l'indice national sont toutes situées à l'ouest de l'Ontario. La Saskatchewan a enregistré le bond le plus important (+19,2 %). Les automobilistes de Terre-Neuve-et-Labrador ont toutefois encaissé les plus faibles hausses (+11,1 %) au pays.

Le coût de remplacement par le propriétaire, qui représente la portion usée de la structure des logements et qui est estimé à partir des prix des maisons neuves (excluant le terrain), a augmenté de 7,6 % entre juillet 2005 et juillet 2006. Cette progression provient essentiellement de la situation particulière qui prévaut en Alberta, où les prix ont bondi de 40,2 % au cours de la dernière année. Le boom économique albertain stimule les mises en chantier, ce qui entraîne des pressions à la hausse sur les coûts des matériaux et de la main-d'oeuvre, et contribue à l'augmentation de l'IPC. Au second rang vient la Saskatchewan qui a enregistré une hausse sur 12 mois de 7,5 % en juillet, loin derrière l'Alberta.

Les prix d'achat et de location à bail de véhicules automobiles se sont accrus de 2,4 % en juillet en comparaison du même mois de l'année précédente. Bien que les consommateurs n'achètent ou ne louent à bail qu'occasionnellement un véhicule automobile, la valeur considérable de la transaction qui en découle représente une importante proportion des dépenses moyennes de l'ensemble des ménages canadiens, d'où son influence sur l'indice d'ensemble.

Les prix de l'électricité ont grimpé de 6,3 % entre juillet 2005 et juillet 2006. Cette majoration s'explique principalement par les hausses constatées en Ontario, en Alberta, au Québec et en Colombie-Britannique au cours de la dernière année. Entre juin et juillet, bien que les effets de la réduction de la TPS se soient fait sentir dans toutes les provinces, ils ont été totalement annulés par des majorations de tarifs à Terre-Neuve-et-Labrador, en Colombie-Britannique, en Alberta et à l'Île-du-Prince-Édouard. L'indice national de l'électricité a par conséquent avancé de 0,5 % entre juin et juillet.

Confirmant les tendances observées depuis quelques temps déjà, les produits des technologies de l'information ont eu pour effet d'atténuer les pressions à la hausse associées à l'énergie et au logement, et ainsi modérer la croissance sur 12 mois de l'indice d'ensemble. L'indice du matériel et des fournitures informatiques a reculé de 17,1 %, alors que celui du matériel vidéo a fléchi de 11,6 %. L'effet combiné des progrès technologiques et de l'appréciation du dollar canadien favorable à l'importation de biens permet aux consommateurs de payer moins cher les ordinateurs, les téléviseurs et les lecteurs vidéo qu'ils achètent.

Les prix des vêtements pour hommes ont chuté de 3,7 % entre juillet 2005 et juillet 2006, comparativement à ceux des vêtements pour femmes, qui ont fléchi de 3,4 %. L'évolution du huard favorable aux consommateurs canadiens leur a permis de payer moins cher pour leurs vêtements. Ces derniers sont souvent importés de pays asiatiques comme la Chine et l'Inde où les coûts de production sont réputés être compétitifs mondialement.

La réduction de la TPS contrecarrée par des augmentations de prix en juillet

Après avoir reculé de 0,2 % entre mai et juin, l'indice d'ensemble a augmenté de 0,1 % entre juin et juillet 2006. Les pressions à la hausse sur l'IPC provenaient principalement de l'essence et des fruits frais. L'achat et la location à bail de véhicules automobiles, les repas achetés au restaurant et les services téléphoniques ont été les plus importants facteurs à atténuer ce mouvement à la hausse.

Après avoir reculé légèrement lors des deux mois précédents, les prix de l'essence ont progressé de 4,6 % entre juin et juillet, malgré la réduction de la TPS. Le Québec (+6,5 %) et l'Alberta (+6,4 %) ont affiché les plus fortes augmentations, alors que Terre-Neuve-et-Labrador (+0,9 %) et la Colombie-Britannique (+1,5 %) ont affiché les plus faibles.

La tendance à la hausse du prix des fruits frais s'est poursuivie pour un troisième mois consécutif en grimpant de 7,4 % entre juin et juillet. Depuis avril dernier, les prix des fruits frais ont bondi de 18,1 %, soit la plus forte hausse pour la même période depuis 1990. En juillet, les prix des oranges, des raisins, des pommes, des poires et des ananas ont progressé, propulsant à la hausse l'indice des fruits frais.

Atténuant le mouvement à la hausse de l'indice mensuel, les prix de l'achat et de la location à bail de véhicules automobiles ont diminué de 1,0 % en juin. La réduction de 1,0 % de la TPS en juillet a eu un effet plus important sur la baisse des prix des véhicules automobiles que les incitations financières offertes par certains constructeurs automobiles pour réduire leurs stocks.

Le fléchissement de 0,7 % du prix des repas achetés au restaurant a aussi exercé une pression à la baisse sur l'indice d'ensemble, tout comme la chute de 0,9 % du coût des services téléphoniques. La réduction de la TPS explique en grande partie le mouvement à la baisse de ces deux composantes qui ont une pondération relativement importante dans le panier de l'IPC.

L'Alberta s'est encore démarquée

En juillet, l'Alberta a continué de se démarquer en affichant la croissance sur 12 mois de l'IPC la plus importante, soit 4,3 %. Depuis le début de l'année 2006, l'Alberta a enregistré des variations sur 12 mois supérieures à 3 %, ce qui constitue un reflet de l'activité économique florissante de cette province. La montée de l'indice de l'Alberta a résulté surtout de la progression des prix des composantes du logement, qui ont une pondération relativement importante dans l'IPC. Les augmentations du coût de remplacement par le propriétaire, des primes d'assurance de propriétaire, du coût d'intérêt hypothécaire et de l'électricité ont fait bondir l'IPC de cette province, malgré un déclin important du prix du gaz naturel. Cette situation contraste avec celle des autres provinces pour lesquelles la hausse de l'IPC se trouve principalement alimentée par le bond des prix de l'essence.

Si on exclut le logement, l'augmentation sur 12 mois de l'indice d'ensemble pour l'Alberta se chiffrait à 2,4 %. Cette hausse est davantage comparable aux majorations enregistrées dans les autres provinces, qui ont fluctué entre 1,6 % et 3,2 %.

L'IPC désaisonnalisé a augmenté entre juin et juillet

Après ajustement pour tenir compte des variations saisonnières, l'IPC a augmenté de 0,1 % entre juin et juillet 2006. Les pressions à la hausse provenaient des composantes des transports (+0,8 %), du logement (+0,3 %) et de l'alimentation (+0,2 %).

L'indice désaisonnalisé a toutefois été poussé à la baisse par les indices des dépenses et de l'équipement du ménage (-0,6 %), des loisirs, de la formation et de la lecture (-0,5 %), de l'habillement et des chaussures (-0,4 %), de la santé et des soins personnels (-0,4 %) ainsi que par ceux des boissons alcoolisées et des produits du tabac (-0,1 %).

L'IPC désaisonnalisé sans huit des composantes les plus volatiles telles que définies par la Banque du Canada a diminué de 0,2 % entre juin et juillet 2006.

Indice d'ensemble sans huit des composantes les plus volatiles

Pour mesurer l'inflation de base aux fins de la politique monétaire, la Banque du Canada emploie, entre autres, l'IPC sans huit des composantes définies par celle-ci comme étant les plus volatiles. Ces composantes volatiles sont les fruits, les préparations à base de fruits et les noix; les légumes et les préparations à base de légumes; le coût d'intérêt hypothécaire; le gaz naturel; le mazout et les autres combustibles; l'essence; le transport interurbain ainsi que les produits du tabac et les articles pour fumeurs.

L'augmentation sur 12 mois de cet indice a été de 1,5 % en juillet 2006. Les principaux facteurs ayant contribué à cette hausse ont été le coût de remplacement par le propriétaire (+7,6 %), l'achat et la location à bail de véhicules automobiles (+2,4 %), le prix de l'électricité (+6,3 %) et les prix des repas achetés au restaurant (+2,1 %). L'augmentation a été atténuée par une diminution des prix du matériel et des fournitures informatiques (-17,1 %), des vêtements pour femmes (-3,4 %), du matériel vidéo (-11,6 %), ainsi que des vêtements pour hommes (-3,7 %).

Entre juin et juillet 2006, l'indice d'ensemble sans huit des composantes les plus volatiles, telles que définies par la Banque du Canada a diminué de 0,2 %, soit une baisse identique à celle constatée le mois précédent. L'achat et la location à bail des véhicules automobiles (-1,0 %), les repas achetés au restaurant (-0,7 %) et les services téléphoniques (-0,9 %) ont été la source principale de cette baisse. Ces trois composantes ont diminué principalement en raison de la réduction de la TPS.

Énergie

Après avoir enregistré des majorations sur 12 mois de 14,1 % en mai et de 11,5 % en juin, l'indice de l'énergie a continué sa décélération en affichant une croissance relativement plus légère de 10,6 % en juillet. À l'exception du gaz naturel, toutes les composantes ont contribué à la hausse de l'indice de l'énergie, l'essence (+16,1 %) ayant été le facteur principal. Viennent ensuite l'électricité (+6,3 %), le mazout (+12,1 %) et le carburant, les pièces et les fournitures pour véhicules de loisirs (+10,1 %). Les prix du gaz naturel ont toutefois reculé de 3,3 % en juillet, en raison surtout du déclin de 18,8 % enregistré en Alberta.

Sur une base mensuelle, l'indice de l'énergie a progressé de 2,6 % entre juin et juillet 2006 malgré la baisse de 1 % de la taxe sur les produits et services qui s'est appliquée à toutes les composantes énergétiques de l'IPC. La montée des prix de l'essence (+4,6 %) explique en majeure partie le mouvement à la hausse de l'indice. La majoration des prix de l'électricité (+0,5 %), du gaz naturel (+0,5 %) et du carburant, des pièces et des fournitures pour véhicules de loisirs (+1,8 %) ont aussi poussé l'indice vers le haut. Le recul du prix du mazout (-1,3 %) a toutefois légèrement freiné sa progression. Fait à noter, le prix du gaz naturel a montré des tendances fort différentes en juillet, l'Alberta affichant une hausse de 44,8 % et l'Ontario enregistrant une chute de 10,3 %.

Données stockées dans CANSIM : tableaux 326-0001, 326-0002, 326-0009, 326-0012 et 326-0016 à 326-0018.

Définitions, source de données et méthodes : numéro d'enquête 2301.

Il est possible d'obtenir plus de renseignements concernant les concepts et l'utilisation de l'IPC en consultant Votre guide d'utilisation de l'indice des prix à la consommation (62-557-XIB, gratuit) qui est accessible à partir du module Publications de notre site Web.

Paraît à 7 h dans notre site Web sous le module Le Quotidien.

Le numéro de juillet 2006 de L'Indice des prix à la consommation, vol. 85, no 7 (62-001-XIB, gratuit) est maintenant accessible à partir du module Publications de notre site Web. Un exemplaire imprimé (62-001-XPB, 12 $ / 111 $) est également disponible.

L'Indice des prix à la consommation d'août 2006 sera diffusé le 19 septembre.

Pour obtenir plus de renseignements ou pour en savoir davantage sur les concepts, les méthodes et la qualité des données, communiquez avec le Service à la clientèle au 613-951-9606 ou composez sans frais le 1-866-230-2248 (prices-prix@statcan.ca), Division des prix. Télécopieur : 613-951-1539.

Indice des prix à la consommation et composantes principales

(1992=100)

  Importance relative1 Juillet 2006 Juin 2006 Juillet 2005 Juin à juillet 2006 Juillet 2005 à juillet 2006
    Données non désaisonnalisées
          var. en %
Ensemble 100,002 130,5 130,4 127,5 0,1 2,4
Aliments 16,89 131,4 131,4 128,6 0,0 2,2
Logement 26,75 128,8 128,4 124,5 0,3 3,5
Dépenses et équipement du ménage 10,58 115,4 116,2 115,7 -0,7 -0,3
Habillement et chaussures 5,37 98,4 99,0 100,9 -0,6 -2,5
Transports 19,79 159,0 157,7 150,3 0,8 5,8
Santé et soins personnels 4,52 122,1 122,6 121,5 -0,4 0,5
Loisirs, formation et lecture 11,96 128,0 127,9 128,5 0,1 -0,4
Boissons alcoolisées et produits du tabac 4,13 150,2 150,5 147,7 -0,2 1,7
Ensemble (1986=100)   167,2        
Pouvoir d'achat du dollar à la consommation, (en cents) par rapport à 1992   76,6 76,7 78,4    
Agrégats spéciaux            
Biens 48,84 125,1 124,8 122,4 0,2 2,2
Services 51,16 136,6 136,5 133,3 0,1 2,5
Ensemble sans les aliments et l'énergie 74,27 125,2 125,4 123,5 -0,2 1,4
Énergie 8,84 184,0 179,4 166,3 2,6 10,6
Ensemble sans huit des composantes les plus volatiles3 82,75 128,5 128,8 126,6 -0,2 1,5
1.Pondérations de l'Indice des prix à la consommation (IPC), panier de 2001 selon les prix de juin 2004, Canada, en vigueur à partir de juillet 2004. Les pondérations détaillées sont disponibles sous la section Documentation de l'enquête 2301 (http://www.statcan.ca/francais/sdds/index_f.htm).
2.Les chiffres ayant été arrondis, leur somme peut ne pas correspondre à 100 %.
3.Les huit composantes les plus volatiles, telles que définies par la Banque du Canada, qui sont exclues de l'IPC d'ensemble sont : les fruits, les préparations à base de fruits et les noix; les légumes et les préparations à base de légumes; le coût d'intérêt hypothécaire; le gaz naturel; le mazout et les autres combustibles; l'essence; le transport interurbain; les produits du tabac et les articles pour fumeurs. La Banque du Canada ajuste ensuite cette série pour obtenir son indice de référence qui exclut également l'effet des modifications des impôts indirects. Pour obtenir des données et des renseignements au sujet de l'inflation mesurée par l'indice de référence, consultez le site de la Banque du Canada (http://www.banqueducanada.ca/fr/inflation/index.htm).

Indice des prix à la consommation par province, et pour Whitehorse, Yellowknife et Iqaluit1

(1992=100)

  Juillet 2006 Juin 2006 Juillet 2005 Juin à juillet 2006 Juillet 2005 à juillet 2006
  Données non désaisonnalisées
        var. en %
Terre-Neuve-et-Labrador 129,6 129,4 126,6 0,2 2,4
Île-du-Prince-Édouard 132,4 132,2 128,3 0,2 3,2
Nouvelle-Écosse 133,3 133,0 129,4 0,2 3,0
Nouveau-Brunswick 130,1 130,5 127,5 -0,3 2,0
Québec 126,2 126,0 123,6 0,2 2,1
Ontario 130,9 131,3 128,4 -0,3 1,9
Manitoba 135,0 134,5 131,7 0,4 2,5
Saskatchewan 135,9 135,6 132,4 0,2 2,6
Alberta 140,8 138,9 135,0 1,4 4,3
Colombie-Britannique 128,2 128,1 125,7 0,1 2,0
Whitehorse 126,5 126,9 124,1 -0,3 1,9
Yellowknife2 125,4 125,4 123,8 0,0 1,3
Iqaluit (Déc. 2002=100) 104,8 105,1 103,0 -0,3 1,7
1.Voir les renseignements géographiques pour les villes de Whitehorse, de Yellowknife et d' Iqaluit.
2.Une partie de l'augmentation de l'indice du logement de Yellowknife qui a été montrée en décembre 2004 reflétait par inadvertance des augmentations de loyer qui s'étaient produites plus tôt. Donc, la variation de l'indice du logement a été surévaluée en décembre 2004 et sous-évaluée les deux années précédentes. La série de l'indice du logement pour Yellowknife a été rectifiée à partir de décembre 2002. De plus, la série de l'IPC d'ensemble pour Yellowknife et les indices de certains agrégats spéciaux pour Yellowknife ont également changés. Les données pour le Canada, les provinces et les autres territoires n'ont pas été touchées.

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