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Les Canadiens, les bibliothèques publiques et l'autoroute de l'information - Rapport final

Questions relatives au financement

Partout au pays, ces dernières années, nombre de bibliothèques publiques ont eu à faire face à des réductions budgétaires, étant donné que toutes les administrations publiques ont réduit leurs dépenses. Si certaines ont été capables de s'assurer d'un financement adéquat, d'autres se heurtent à un manque de fonds. À une époque où les restrictions budgétaires sont continues et où le public est peu disposé à voir ses impôts augmenter, bien des bibliothèques publiques doivent de plus en plus trouver des solutions de rechange pour s'assurer d'un financement adéquat.

La question du financement est particulièrement pertinente pour les bibliothèques publiques si, d'une part, les fonds publics sont limités, et, d'autre part, elles adoptent de nouveaux rôles comme ceux qui ont rapport à l'autoroute de l'information.

Nous avons cherché à découvrir dans cette enquête les attitudes à l'égard des divers moyens que les bibliothèques publiques pourraient prendre pour recueillir des fonds afin de combler des lacunes. Comme c'est souvent le cas lorsqu'on examine des questions relatives au financement, diverses solutions recueillent un appui.

Si les répondants croient fermement que les bibliothèques publiques méritent un financement accru de la part des pouvoirs publics, la plupart d'entre eux cependant ne sont pas disposés à accepter que l'on hausse les impôts à cette fin. Par ailleurs, les répondants croient également que les bibliothèques publiques elles-mêmes doivent intervenir davantage pour s'assurer de niveaux de financement adéquats. D'un autre côté, ils ne sont pas en faveur de la solution générale selon laquelle on réduit les services ailleurs pour en offrir de nouveaux.

Ces résultats sont résumés au graphique 4.1.

  • La majorité des répondants (61 %) conviennent que les bibliothèques publiques devraient recevoir une plus grande part des fonds publics. Seulement 10 % ne sont pas d'accord.
  • D'un autre côté, près d'un répondant sur deux (46 %) croit que les bibliothèques publiques ne devraient pas être financées par voie de hausse des impôts. Néanmoins, il vaut la peine de signaler que 27 % sont favorables à une hausse d'impôts, mais une bonne partie de cet appui est plus modéré que fort.
  • Les répondants estiment aussi que les bibliothèques publiques devraient assumer une partie de la responsabilité de combler les lacunes dans le financement par différents moyens, entre autres la perception de frais d'utilisation (63 %), l'augmentation des amendes de retard (59 %) et l'introduction d'une cotisation annuelle (51 %). Deux répondants sur trois croient aussi que les bibliothèques publiques devraient recourir à des activités de financement.
  • Par contraste, les répondants sont beaucoup moins nombreux à ne pas être d'accord pour que l'on finance les nouveaux services en réduisant d'autres services, d'autres programmes ou d'autres collections (49 %, alors que seulement 14 % sont d'accord pour qu'il en soit ainsi).
..mise à jour: 2003.09.08 avis importants..
Archived by Library and Archives Canada / Archivé par Bibliothèque et archives Canada. 20-10-2004.