Archived by Library and Archives Canada / Archivé par Bibliothèque et archives Canada. 20-10-2004. Mensuel RéseauBiblio : Avril 1999 Carte du site
Gouvernement du Canada / Government of Canada
Éviter tous les menus Éviter le premier menu

 English

 Contactez-nous

 Aide

 Recherche

 Site du Canada

   
 Accueil

 Quoi de Neuf?

 Au sujet de
 RéseauBiblio

 Pratiques
 Exemplaires

 Mensuel
 RéseauBiblio

Une fille entrain de lire l'écran
Mensuel ReseauBiblio
Pratiques exemplaires
Financement
Ressources
Rapports


SEJ logo

lien vers accueil lien vers accueillien vers accueil
lien vers accueillien vers accueil lien vers accueil
  Mensuel RéseauBiblio : Avril 1999

LA BIBLIOTHÈQUE PUBLIQUE DE BRANTFORD CONFIRME LA FORTE DEMANDE DU PUBLIC

Dans sa récente enquête statistique sur son utilisation, la Bibliothèque publique de Brantford (BPB) a confirmé que le public continue de beaucoup fréquenter la bibliothèque, encore que les schémas d'utilisation évoluent considérablement. La circulation et les visites personnelles sont en légère baisse, mais le public utilise énormément les ressources électroniques et les « visites virtuelles » à la bibliothèque sont en nette augmentation.

Dans deux périodes échantillons d'une semaine, la BPB a mesuré l'utilisation sur place des collections de prêt et de référence ainsi que des ressources électroniques. Pour mesurer l'utilisation de ces dernières, la BPB a utilisé WinU afin de compter le nombre de fois où les usagers accédaient aux titres de CD­ROM de la bibliothèque et voir combien de pages Web étaient interrogées par le biais des terminaux d'accès public à Internet de la bibliothèque.

La proportion des articles matériels consultés sur place par rapport aux articles empruntés était de un pour deux. Celle des demandes de renseignements électroniques par rapport aux recherches de références effectuées avec l'aide du personnel était d'environ cinq pour un.

« Ces 18 000 opérations autonomes (la somme des articles consultés mais pas empruntés et les interrogations électroniques susmentionnées), qui ont lieu en une semaine dans une bibliothèque de taille moyenne, en plus de la circulation et des opérations de référence habituelles signalées, témoignent des besoins importants du public et de la grande utilisation qu'il fait de la bibliothèque », déclare la directrice générale de la BPB, Wendy Newman.

La BPB rapporte également que les « visites virtuelles » sont en augmentation et elle estime qu'il faudrait le signaler lorsque l'on mentionne le nombre de visites personnelles. La consultation à distance du catalogue commuté en ligne de la BPB a progressé de 40 p. 100 en un an. La BPB s'attend à ce que cette tendance s'accentue maintenant que son catalogue est accessible sur le Web.

Pour de plus amples renseignements :
Wendy Newman, directrice générale
Bibliothèque publique de Brantford
Tél. : (519) 756­2223, poste 4
Courriel : wnewman@brantford.library.on.ca


LES « BATTLIN' BIBLIOPHILES » DÉFENDENT LA BIBLIOTHÈQUE, LIEU DE RECHERCHE

Dans un article paru le 25 mars 1999, le National Post rendait compte d'un concours entre l'équipe « Online Onslaught », qui faisait ses recherches sur Internet, et l'équipe des « Battlin' Bibliophiles » qui faisait les siennes en bibliothèque, concours qui a eu lieu le mois dernier (mars 1999) à Dayton (Ohio). Chacune des équipes d'étudiants devait répondre à 10 questions. Pour finir, l'équipe qui travaillait sur Internet a été la plus rapide, mais l'équipe qui faisait ses recherches en bibliothèque a été plus précise.

La leçon tirée de cette expérience est la suivante : « Internet est une grande source de renseignements rapides sur certains sujets et il est certainement supérieur pour trouver des données à jour, mais la bibliothèque est souvent aussi rapide, voire plus, et ses renseignements sont sans doute plus fiables. »

L'article intégral (« Internet vs. Library: Faster Search Isn't Always Better », par James Cummings) est diffusée sur le site Computer News Daily à :
http://199.97.97.16/IMDS|Latest_Columns|index


QUELLE UTILISATION LES USAGERS FONT-ILS D'INTERNET?

Que savons-nous, en fait, de l'utilisation qui est faite d'Internet dans les bibliothèques publiques? Quels sont les sites qui sont visités?

Dans une étude récente, Mme Ann Curry de la School of Library, Archival, and Information Studies de l'Université de la Colombie-Britannique s'est servie de données issues d'une analyse de relevés de sessions des serveurs Web à la bibliothèque publique de Burnaby (Colombie-Britannique) pour essayer de découvrir ce que les usagers consultent.

Les sites Web les plus visités (30,7 p. 100) étaient ceux de courrier électronique ou de groupes de conversation. Les auteurs de l'étude soulignent, toutefois, que chaque fois qu'une fonction courrier électronique est utilisée sur un outil de navigation du Web, un nouveau URL est créé. Cela peut avoir produit un nombre disproportionné de sessions comparé à d'autres activités ou sujets. Les thèmes les plus populaires sont ensuite les loisirs (culture de masse) et les affaires, avec 8,2 p. 100 et 8,1 p. 100, respectivement. Les moteurs de recherche et les sites répertoires représentaient 7,5 p. 100 des sites Web visités.

Malheureusement, 12,7 p. 100 des sessions étaient classées « non identifiées », car les chercheurs n'ont pu accéder aux sites pour en déterminer le thème.

Il est à souhaiter que cette petite étude pilote encourage d'autres chercheurs du Canada tout entier à contribuer à la détermination des tendances dans l'utilisation qui est faite d'Internet dans les bibliothèques publiques.

L'étude intégrale est diffusée sur le site Web de RéseauBiblio à :
http://www.rescol.ca/f/apropos/ubc/index.asp


« LES BIBLIOTHÈQUES SURVIVRONT-ELLES? »

The American Prospect, qui est une revue en ligne produite par le U.S. Electronic Policy Network, a publié dernièrement un article de Geoffrey Nunberg, scientifique au centre de recherche de Xerox à Palo Alto et professeur de linguistique à l'Université Stanford.

Geoffrey Nunberg a écrit une analyse intéressante des similitudes et des différences entre les dons récents de Bill Gates à des bibliothèques et les efforts de la Fondation Carnegie au tournant du siècle. « La question est : Quand le courant d'enthousiasme actuel sera retombé, nous retrouverons-nous avec une infrastructure et des institutions aussi solides que celles qui sont nées il y a un siècle? Et quel rôle les bibliothèques traditionnelles auront-elles à jouer dans le nouvel ordre informationnel? »

Il conclut que les bibliothèques traditionnelles seront essentielles pendant de nombreuses années encore et il explique que la meilleure raison pour faire des bibliothèques des médiateurs de l'accès public à l'information électronique, c'est « en un mot, les bibliothécaires ».

Article intégral diffusé à :
http://epn.org/prospect/41/41nunb.html


DATE LIMITE POUR LES FRANCOMMUNAUTÉS VIRTUELLES

Les Francommunautés virtuelles sont un programme fédéral créé par Industrie Canada, avec un budget d'environ un million de dollars par an sur trois ans. Les objectifs en sont les suivants : créer des applications, des services et un contenu en français sur Internet; promouvoir le réseautage et atteindre toutes les collectivités francophones et acadiennes du Canada; stimuler l'expansion de l'industrie canadienne des multimédias francophones; maintenir et développer les collectivités francophones et acadiennes au Canada en utilisant les technologies de l'information et des communications.

La phase pilote du programme des Francommunautés virtuelles a été lancée avec succès en 1998-1999. Des contributions ont été faites à 32 projets répartis entre toutes les régions du pays, y compris un répertoire des services offerts aux femmes francophones, un « Infomobile », un atlas virtuel des collectivités francophones, un site interactif sur l'histoire des collectivités francophones du Canada, et un forum économique pour les gens d'affaires francophones.

Le programme des Francommunautés virtuelles verse jusqu'à 75 000 $ par projet, à concurrence de la moitié des frais admissibles. Les candidats peuvent être des associations, des institutions, des particuliers, des organismes non gouvernementaux ou des entreprises. Tous doivent être canadiens.

La prochaine date limite pour la présentation de projets dans le cadre du programme des Francommunautés virtuelles est le 14 mai 1999.

Pour de plus amples renseignements :
Site Web : http://francommunautes.ic.gc.ca/

Tél. : 1 800 268­6608
Courriel : owner­vitrinef@cythera.ic.gc.ca


INTERNET AU CANADA : LE POINT

Dans le numéro du 12 avril de son bulletin, l'organisme d'enquête sur Internet Nua Internet Survey dressait un portrait du Canada intitulé « The E­Maple Leaf », autrement dit, « La feuille d'érable électronique ».

« On a tendance à oublier que le Canada est un acteur important dans le monde d'Internet, étant donné la place de voisin nord-américain solide qu'il occupe dans la vie en ligne. Cependant, si les États-Unis restent le moteur de l'économie sur Internet, les faits montrent que le Canada fixe ses propres objectifs et avance à son propre rythme... Il reste certes à voir quand et comment les économies mondiales peuvent espérer récolter les bénéfices de leur investissement dans Internet, mais, en 1999, le Canada fait tout ce qu'il faut pour ce qui est du commerce électronique. »

Comme pour confirmer cette opinion, le Canada vient de devenir le premier pays du monde à finir de relier ses écoles et ses bibliothèques à Internet.

Les pays scandinaves ont beau être de grands internautes, la Suède vient de confirmer à Rescol que toutes ses écoles ne sont pas raccordées à Internet. Les municipalités demandent encore des subventions à l'État pour terminer leur programme de connectivité. Au Danemark, l'objectif est bien de relier toutes les bibliothèques à Internet d'ici la fin de 1999, mais, actuellement, 88 p. 100 seulement de la population danoise a accès à Internet par l'intermédiaire des bibliothèques publiques locales.

Cela fait du Canada le premier pays du monde à relier ses écoles et ses bibliothèques à Internet ­ ce dont nous pouvons tous être fiers!

Texte intégral du bulletin à :
http://www.nua.ie/surveys/


BIBLIOTHÈQUES PUBLIQUES DE HALTON/DRHC AMÉLIORE L'ACCÈS À INTERNET

Les habitants de Halton (Ontario) auront bientôt de meilleurs points d'accès aux ressources d'Internet. Grâce à un partenariat avec le marché du travail local conclu avec Développement des ressources humaines Canada (DRHC), les bibliothèques publiques fourniront aux membres de la collectivité de Halton 160 p. 100 d'ordinateurs en plus pour l'accès public à Internet. Tout le réseau des bibliothèques bénéficiera de ce partenariat, et chaque endroit a pu adapter son plan d'amélioration aux besoins locaux.

D'ici la fin de l'été 1999, la collectivité découvrira que les bibliothèques publiques de Burlington, Halton Hills, Milton et Oakville offriront de meilleures ressources, y compris plus de postes de travail, plus d'imprimantes ou de meilleures imprimantes, des moniteurs avec des écrans plus grands pour les personnes ayant une déficience visuelle (à Milton et à Burlington), davantage de ressources électroniques, et plus d'outils pour la recherche d'un emploi. Les bibliothèques publiques et DRHC pensent que cela créera davantage de possibilités pour les habitants de Halton d'acquérir des compétences informatiques et techniques qui sont essentielles dans un emploi et dans les affaires.

Pour de plus amples renseignements :
Sonia Lewis, Bibliothèque publique de Burlington
Tél. : (905) 639­3611, poste 101

Paul Brophy, consultant en développement communautaire
DRHC Burlington
Tél. : (905) 637­4525, poste 4694


SIX REVUES SAVANTES EN LIGNE

Le 14 avril, Industrie Canada et le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) ont annoncé qu'un financement de 207 600 $ permettrait à trois organes de presse universitaires canadiens prestigieux de publier six revues savantes en ligne.

Dans le cadre d'un projet conjoint du programme Rescol d'Industrie Canada et du CRHS, des fonds seront fournis aux Presses de l'Université de Toronto, aux Presses de l'Université Wilfrid-Laurier et aux Presses de l'Université de Montréal pour créer un processus qui permettra à différents éditeurs de produire électroniquement des revues savantes en utilisant le langage standard généralisé de balisage (SGML). Le SGML est une norme internationale non exclusive qui garantit une compatibilité générale des documents en donnant la possibilité de produire des documents imprimés, en Hypertext Markup Language (HTML), sur CD­ROM, en format Portable Document Format (PDF), en braille ou dans d'autres formats de présentation et de récupération.

Les six revues, qui devraient être en ligne d'ici l'an 2000, sont les suivantes :

  • The University of Toronto Law Journal : cette revue, qui est publiée par la University of Toronto Press, est la plus vieille revue juridique universitaire du Canada.
  • The University of Toronto Quarterly : cette revue, qui est également publiée par la University of Toronto Press, est reconnue comme étant une des meilleures revues sur les sciences humaines.
  • The Canadian Journal of Communication : cette revue trimestrielle réputée dans le domaine des études en communication et en journalisme, est publiée par la Wilfrid Laurier University Press pour la Canadian Journal of Communication Corporation.
  • Studies in Religion : cette revue trimestrielle canadienne réputée qui couvre divers aspects des études religieuses, est publiée par la Wilfrid Laurier University Press pour la Canadian Corporation for the Study of Religion.
  • Criminologie : cette revue semestrielle, publiée par Les Presses de l'Université de Montréal, s'adresse aux chercheurs et autres professionnels qui s'intéressent aux questions relatives au système juridique.
  • Circuit : cette revue nord-américaine réputée sur la musique du XXe siècle est elle aussi publiée par Les Presses de l'Université de Montréal.

Pour de plus amples renseignements :
David L. McCallum, Rescol
Tél. : (613) 237­5208
Courriel : mccallum.david@ic.gc.ca

Pamela Wiggin, directrice des communications
CRSH
Tél. : (613) 992­0691
Courriel : media@sshrc.ca


LA SOCIÉTÉ CANADIENNE DES POSTES OFFRE PLUS QUE LE COURRIER POSTAL

Le mardi 30 mars, le Globe and Mail présentait le Bureau de poste électronique, initiative de la Société canadienne des postes et de Cebra Inc. (filiale de la Banque de Montréal) qui offrira à tous les habitants du Canada la possibilité d'envoyer et de recevoir du courrier par voie électronique.

« Cela permettra d'offrir toute une gamme de services », explique Bill Robertson, directeur général du commerce électronique à la Société canadienne des postes. « L'été prochain, nous proposerons la présentation et le paiement de factures ainsi que la version électronique du courrier recommandé par Internet, puis des services tels que l'envoi d'espèces par Internet. Pour finir, presque tout ce qui peut s'envoyer par le courrier normal sera offert par voie électronique : les factures, les prospectus, les encarts publicitaires, les formulaires et les lettres. Le bureau de poste vendra la livraison électronique à tous ses clients comme autre possibilité que l'imprimé. »

La Société canadienne des postes sait que seulement 12,9 millions d'adultes, d'après un sondage de l'institut Angus Reid, ont accès à une liaison Internet à la maison ou au travail. M. Robertson compte sur les 10 000 terminaux d'accès à Internet qu'Industrie Canada a déjà installés dans les centres d'accès communautaire de tout le Canada situés dans les écoles, les centres communautaires, les bibliothèques et d'autres édifices à accès public, et sur beaucoup d'autres à venir, pour que le reste de la population ait accès à Internet. Chaque terminal d'accès public sera doté d'un certain nombre d'options, y compris le paiement de factures et le courrier électronique. De plus, la Société canadienne des postes a l'intention d'équiper ces PC d'une capacité de paiement par carte de crédit et par chèque électronique pour les personnes qui n'ont pas accès aux opérations bancaires sur PC ou qui ne veulent pas en faire.

La prochaine étape sera le règlement des factures des entreprises. La poste a déjà testé les réactions des consommateurs avec un groupe de huit grandes sociétés, dont la MasterCard de la Banque de Montréal, Petro Canada, Sears Canada et Hydro-Manitoba. Devant le succès de ce projet pilote, le programme sera lancé de manière contrôlée l'été prochain.

Pour de plus amples renseignements :
http://www.epost.ca/main/french/index.shtml


LE BUDGET BRITANNIQUE FINANCE PLUS DE CROISSANCE TECHNOLOGIQUE

Dans son exposé budgétaire du 10 mars dernier, le chancelier de l'Échiquier Gordon Brown a annoncé que de nouveaux fonds iraient à l'accroissement de l'accès à la nouvelle technologie.

Une initiative « des ordinateurs pour tous » dotée de 1,7 milliard de livres sterling a été lancée avec la participation des secteurs public et privé, l'objectif étant de faire de la Grande-Bretagne un chef de file dans l'économie de l'information. Le gouvernement veut créer un réseau national de 1 000 centres d'apprentissage informatique, soit un par collectivité britannique. Ils seront installés « dans des écoles, des collèges, des bibliothèques, des cybercafés et sur la grand-rue (la rue principale en Amérique du Nord).

D'autres objectifs et financements ont été annoncés, dont ceux-ci :

  • d'ici trois ans, un million de petites entreprises pourront profiter du commerce électronique
  • 32 000 écoles reliées à Internet, et 370 000 enseignants formés en informatique
  • 20 millions de livres sterling de prêts garantis pour que plus d'enseignants puissent avoir des ordinateurs chez eux
  • une loi qui permettra aux employés d'emprunter des ordinateurs à leur entreprise sous forme d'avantage non imposable
  • un système qui permettra aux partenariats locaux de prêter des ordinateurs et des logiciels comme les bibliothèques locales prêtent des livres.

Le gouvernement a également classé au rang de priorité la mise en place d'un réseau national d'apprentissage, ce qui comprend le raccordement de toutes les écoles à Internet et la fourniture de diverses ressources pédagogiques en ligne. L'an dernier, le Premier ministre a annoncé une enveloppe de 700 millions de livres sterling pour doter les écoles de matériel informatique moderne dans le cadre de la mise en place du réseau d'apprentissage.

Pour de plus amples renseignements :
http://news2.thdo.bbc.co.uk/hi/english/events/budget_99/
news/newsid_293000/293864.stm


ANNONCE DE CONFÉRENCE - LIBRARIES AND SMART COMMUNITIES

Community Economic Development in a Connected Canada
Libraries and Smart Communities 1999
Conférence préparatoire à la Conférence annuelle de la Canadian Library Association
Palais des congrès du Toronto métropolitain
Toronto (Ontario)
Mardi 15 et mercredi 16 juin 1999

Cette conférence a pour but de réunir des spécialistes du gouvernement, du développement économique, de l'infotechnologie, des organismes culturels, du développement rural, des entreprises (petites et grandes), et des bibliothèques. Ces spécialistes discuteront avec les délégués à la conférence et définiront avec eux les rôles précis que les biblothèques peuvent jouer dans la création de collectivités ingénieuses dans « Un Canada branché » et dans la promotion du développement économique communautaire.

Cette conférence est organisée en réponse à la conférence intitulée « Libraries as Leaders in Community Economic Development » qui a eu lieu l'an dernier, juste avant la conférence annuelle de la Canadian Library Association à Victoria (Colombie-Britannique).

Pour de plus amples renseignements ou pour vous inscrire :
Site Web : http://www.asm-consultants.com/


ANNONCE DE CONFÉRENCE ­ DIGITAL KNOWLEDGE III

Information Technology : Tracking the Impact of the Internet
Are Things Better or Just Different?
Présentée par la Canada's Coalition for Public Information (CPI), en association avec l'Université polytechnique Ryerson et Rogers Communications Centre
Toronto (Ontario)
Jeudi 13 et vendredi 14 mai 1999

Digital Knowledge III est une conférence internationale majeure au cours de laquelle seront étudiées les incidences de l'utilisation de l'infotechnologie et d'Internet sur quatre aspects essentiels de notre vie ­ l'éducation, la santé, la société et le milieu de travail.

Cette conférence, qui est la troisième d'une série unique d'études annuelles auxquelles participent des internautes, des dirigeants d'association, des responsables des communications, des législateurs et des décideurs, portera sur une des grandes questions qui entourent l'infotechnologie et l'incidence d'Internet, à savoir : les choses vont-elles mieux ou sont-elles seulement différentes?

Pour de plus amples renseignements ou pour vous inscrire, veuillez communiquer avec les coordonnateurs de la conférence :
The Ellis Riley Group
15A, rue Elm, pièce 104
Toronto (Ontario)
M5G 1H1
Tél. : (416) 593­7352
Fax. : (416) 593­0249
Courriel : riley@interlog.com


ATELIERS DU GOUVERNEMENT FÉDÉRAL SUR L'ÉDITIQUE

Le 15 avril, le Programme des services aux dépositaires (PSD) a organisé le deuxième atelier d'une série sur l'éditique au gouvernement fédéral, sur le thème « Permettre aux Canadiens d'accéder à l'information gouvernementale ». Cet atelier visait à encourager les éditeurs du gouvernement à publier leurs documents sous format électronique et à les informer du rôle des bibliothèques dans la fourniture de l'accès public.

Marianne Scott, administratrice générale de la Bibliothèque nationale du Canada, a présenté une vue d'ensemble des problèmes et des défis que posent l'éditique et la diffusion de l'information gouvernementale. Elle a nommé les bibliothécaires comme étant des agents essentiels pour ce qui est d'aider en personne les gens qui cherchent des renseignements sur les services publics et elle a fait remarquer que le public respecte beaucoup les bibliothèques et s'attend, de leur part, à une grande qualité de service. Parmi les autres présentateurs figuraient Barbara Clubb de la Bibliothèque publique d'Ottawa, qui a parlé de la numérisation, et Rosemary Kavanagh de l'Institut national canadien pour les aveugles, qui a parlé d'encourager l'accès en offrant des supports de substitution.

La série d'ateliers vise à aider les éditeurs du gouvernement et les spécialistes de l'information à répondre aux attentes grandissantes du public, pour qui l'information gouvernementale doit être disponible plus vite, sur des supports électroniques plus souples, et à prix modique, quand ce n'est pas gratuitement.

Une description de l'atelier ainsi que son programme sont accessibles à partir de la page Web du Programme des services aux dépositaires. Les notes des interventions seront également bientôt diffusées sur le site.

Pour de plus amples renseignements :
http://dsp-psd.pwgsc.gc.ca/


Si vous voulez contribuer à la prochaine édition du Mensuel Réseaubiblio,
veuillez communiquer avec:
Diane Bays, RéseauBiblio, Industrie Canada
613-993-5244
bays.diane@ic.gc.ca

 

..mise à jour: 2003.09.08 avis importants..
Archived by Library and Archives Canada / Archivé par Bibliothèque et archives Canada. 20-10-2004.