The Cape Breton Wellness
Centre
University College of Cape Breton
1999
Financé par Santé Canada
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PDF
La promotion de la santé mentale
La santé sexuelle et génésique
Profils
L'étape de l'évaluation des besoins
La mise en oeuvre
L'évaluation
Résumé et conclusion
Références
Bibliographie
Annexes
De nombreuses personnes ont collaboré à la réalisation de ce projet, aussi bien à l'atteinte de ses objectifs qu'à l'obtention de ses succès.
Nous devons une reconnaissance toute spéciale à l'Unité de la santé sexuelle et génésique de Santé Canada qui a accepté de financer ce projet, ainsi qu'à sa gestionnaire, Christine Reissmann. Nous voulons également remercier Natasha Joubert de l'Unité de promotion de la santé mentale. Ces deux personnes nous ont offert leur soutien et leurs conseils.
Nous voulons aussi exprimer notre reconnaissance et nos remerciements à notre Comité consultatif qui nous a guidé et soutenu. Un merci tout spécial à Janet Bickerton du Cape Breton Wellness Centre qui a géré le projet de manière professionnelle et enthousiaste; à Cathy Pennie de Planned Parenthood Cape Breton, qui a généreusement partagé conseils et renseignements; à Debra Walsh de la Coalition SIDA du Cap-Breton et du Sharp Advise Needle Exchange, qui a su nous inspirer et nous offrir son expérience; à Gordie Gosse, directeur du Whitney Pier Youth Club : il nous a ouvert les portes du Club, nous a soutenu dans le projet et a partagé ses connaissances et son expertise; à Cathy MacDougall du Gambling Helpline, pour son expertise en promotion de la santé mentale; et à Jane Spenser et Lori Hodder de la santé publique région de l'est, car elles ont rendu disponibles de nombreux outils pédagogiques que nous avons utilisés dans le cadre du projet.
Merci également à Bernadette Gillis Collier de CanScribe, car elle nous a aidé à rédiger et à réviser notre rapport final. Ton expérience et tes compétences tombaient à point.
Nous n'avons pas assez de mots pour louer notre coordonnatrice de projet. Le Comité consultatif a eu la chance unique de trouver Lynn Knott, une personne qui réunissait plusieurs compétences. Elle s'est avérée une animatrice compétente et créatrice, tout en se montrant une bonne amie des jeunes engagés dans le projet et leur défenseure passionnée. Pour citer un participant au projet: «Lynn est super.»
Mais il va de soi que notre plus grand «Merci» s'adresse aux jeunes du Whitney Pier Youth Club pour leur participation enthousiaste au projet. Les jeunes savaient ce qu'ils voulaient et ils sont allés le chercher. Ce sont eux les vrais experts!
Le projet
Dans les premiers mois de 1999, le Whitney Pier Youth Club à Sydney en Nouvelle-Écosse a réalisé un programme d'éducation unique. Sa visée était double. Le premier but était d'éduquer les jeunes en matière de sexualité afin de les encourager à faire des choix éclairés et à adopter des pratiques plus saines. L'autre objectif était de concevoir un projet qui utiliserait et ferait la démonstration des principes de promotion de la santé, mentale afin d'évaluer si une telle approche augmenterait l'efficacité de l'éducation sexuelle.
Le but
Élaborer un modèle d'éducation sexuelle en y incorporant les principes de promotion de la santé mentale.
L'historique du projet
Dès septembre 1997, le Cape Breton Wellness Centre a entrepris des discussions avec un groupe communautaire ad hoc en rapport avec un projet de promotion de la santé mentale dans la région industrialisée du Cap-Breton. Ces personnes, représentant les gouvernements aussi bien que les groupes sur le terrain, avaient tous un intérêt pour cette nouvelle perspective en santé mentale.
Simultanément, au Wellness Centre, le personnel entendait souvent les jeunes des divers centres dire que les adolescents avaient besoin d'une éducation sexuelle efficace. Bien qu'on ait essayé de répondre à ce besoin, on avait conclu que l'approche traditionnelle avec un conférencier invité n'avait pas donné les résultats espérés. Les jeunes qui avaient assisté à ces séances s'étaient montrés désintéressés, et l'information présentée n'avait pas changé leurs comportements de manière importante. Le personnel des centres jeunesse avait souligné que les questions efférents à une sexualité responsable sont étroitement liées à l'estime qu'une jeune personne porte à elle-même, à sa perception de sa propre valeur, et à sa capacité de prendre des décisions - dimensions pouvant être compliquées par l'alcoolisme et la toxicomanie. Le personnel était d'avis que pour réussir, tout nouveau programme d'éducation sexuelle devait être novateur et, avant tout, faire appel à la participation des jeunes. Fort de ces considérations, le Wellness Centre a recommandé au comité ad hoc de centrer son projet de promotion de santé mentale sur la création d'un programme d'éducation sexuelle.
Le Cape Breton Wellness Centre a donc organisé une rencontre des principaux intéressés en juillet 1998. Parmi les participants à la réunion se trouvaient des membres du comité ad hoc, des représentants de l'Association canadienne pour la santé mentale, des services de santé publique, de Planned Parenthood du Cap-Breton, de la Coalition SIDA du Cap-Breton, du Sharp Advice Needle Exchange, du Department of Community Services, et des dirigeants du Whitney Pier Youth Club ainsi que du Kinsmen Youth Centre Society de Sydney. Le comité nouvellement formé s'est montré enthousiasmé par ce projet. Il a été convenu que les membres des divers organismes agiraient à titre de personnes-ressources au fur et à mesure que le projet se concrétisait, tandis qu'un plus petit groupe de travail guiderait le projet, tout en faisant appel aux autres au besoin. Les jeunes eux-mêmes seraient partie prenante à toutes les phases du projet, à partir de sa conception, jusqu'à sa mise en oeuvre et son évaluation.
Ainsi le Cape Breton Wellness Centre a rédigé une demande de financement qui a été présentée aux deux unités de Santé Canada visées : celle de la promotion de la santé mentale et celle de la santé sexuelle et génésique. Le projet visait le recours à une approche de promotion de la santé mentale dans la conception et la réalisation d'un programme d'éducation sexuelle. Les responsables des deux unités se sont montrés enthousiastes et en fin de compte c'est l'Unité de la santé sexuelle et génésique qui a approuvé le financement du projet.
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This document is also available in English under the title: Raising the Roof : Developing a Youth Sexuality Education Program while Adopting a Mental Health.
Les opinions exprimées dans cette publication sont celles des auteurs et ne reflètent pas nécessairement les vues de Santé Canada.
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