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Partenariat rural canadien
Équipe rurale d'alberta
Évocations rurales
(Printemps 2007)
Forum pour la protection de l'environnement aquatique de Cochrane
Des ombles à tête plate découpés sur du papier vert
remontent le courant sur fond de pellicule bleue transparente qui tient lieu
de rivière. L'exercice, appelé Rochers et Poissons, a attiré
l'attention des gens du Cochrane Ranche House, où un événement
baptisé « Collectivités gardiennes des eaux » a eu
lieu en décembre dernier. « Les rochers représentent les
défis et les poissons sont les possibilités », a déclaré
Margaret Glasford, présidente de l'Alberta Stewardship Network.
« On peut voir les rochers comme des obstacles dans un cours d'eau.
Les poissons tentent de nager autour des rochers. »
Toute la journée, près de 125 personnes sont allées donner
leur avis sur l'activité, fixant leur opinion avec du ruban adhésif
sur le « cours d'eau » bleu. Un participant a écrit
qu'il faudrait imposer des règlements pour les activités
récréatives. Un autre a dit qu'il fallait offrir des options
pour motiver les producteurs à irriguer leurs terres agricoles de façon
à sauver les cours d'eau. Mme Glasford ajoute que l'exercice
tient également lieu d'outil pour aider les groupes voués
à la conservation des bassins hydrographiques à déterminer
les ressources qu'ils veulent conserver, de façon à franchir
les obstacles.
L'événement de deux jours a été commandité
par plusieurs organismes, notamment le Secrétariat rural (région
de l'Alberta), le Bow River Basin Council, l'Alberta Stewardship
Network et la province de l'Alberta. « On peut être certain
que l'eau n'est pas fiable, a noté le Dr Stephen Grasby,
chercheur à la Commission géologique du Canada et conférencier
invité. « L'eau nous arrive – c'est une donnée
fiable – dans des quantités inexactes, au mauvais moment –
c'est à dire de façon non fiable. » Son message fait
ressortir la nécessité d'apprendre à conserver nos
ressources aquatiques, en particulier devant la croissance de la population.
« La seule façon de réagir à la croissance de la
population dans le Sud de l'Alberta réside dans la conservation », a t il conclu.
L'Alberta Stewardship Network (ASN) a été créé
en 2004 pour appuyer et souligner les efforts des gardiens individuels et des
groupements voués à la conservation de l'Alberta. Une gestion
responsable de l'eau repose sur la conservation, en s'assurant qu'on
a mis en place un écosystème sain pour les générations
actuelles et futures.
Pour le président du comité de Nature Calgary, Andrew Stiles,
cela signifie faire du kayak le long de la rivière Bow pendant l'été
et ramasser les déchets comme les bouteilles de plastique, les tasses
de styromousse et même les vieilles sandales. « Au cours de l'été
2006 j'ai récolté plus de 2 000 cannettes de bière
uniquement dans le passage Bowness de Calgary », nous informe M. Stiles.
« Nous devons tous exercer énormément de diligence pour
conserver nos paysages intouchés dans toute leur gloire. Nous avons tous
le pouvoir de faire une différence en commençant simplement par
nettoyer notre coin du Canada. »
Le spécialiste de l'environnement de Cochrane, M. Tim Giese, nettoie
activement sa ville depuis les années 1990. La présentation qu'il
a faite en après midi était intitulée « Le bassin
hydrologique de Cochrane – Faire preuve d'initiative ». Il
y soulignait l'importance du travail des bénévoles locaux.
« L'organisme Branches and Banks organise annuellement une activité
de plantation d'arbres à l'intention des résidents
de Cochrane », a déclaré M. Giese. « Depuis 11 ans,
nous avons planté près de 30 000 arbres et buissons, pour la plupart
le long du bassin hydrographique. Nous avons également à cette
occasion ramassé plusieurs tonnes de déchets. »
Pour obtenir de plus amples renseignements sur l'Alberta
Stewardship Network, visitez leur site Web au www.ab.stewardshipcanada.ca.
![En haut de la page](../../images/uparrow.gif)
Sécurité ferroviaire!
Dix huit fois par jour, un train de marchandise siffle en traversant le passage
à niveau Broadway, à Blackfalds. Quatre mille huit cents habitants
vivent dans cette collectivité des Prairies, et la plupart travaillent
à la ville voisine, Red Deer, à 10 kilomètres au sud de
Blackfalds. Certains résidents perçoivent le train comme une nuisance
bruyante qui bloque la circulation en ville; d'autres sont plus compréhensifs
et réalisent qu'il permet de transporter des biens et du matériel
nécessaires.
« Quelle que soit leur impression, à l'avenir, les résidents
pourront traverser de façon plus sécuritaire, lorsque les améliorations
proposées des structures seront construites et installées. Le
passage à niveau de l'avenue Broadway est l'un des sept passages
qu'on prévoit améliorer ce printemps en Alberta »,
annonce Andrea Rudniski, agente principale des communications de Transports
Canada, régions des Prairies et du Nord. « Transports Canada fournit
plus de 11,4 millions de dollars pour réaliser 115 projets dans l'ensemble
du Canada, dit-elle. Ces améliorations sont nécessaires pour resserrer
la sécurité aux passages à niveau publics. »
Les passages à niveau ont été évalués en
fonction des facteurs suivants : le volume de circulation sur la route et sur
la voie ferrée; le caractère adéquat des lignes de visibilité
le long des routes à l'approche d'un passage à niveau
et tout antécédent d'accident.
En juillet dernier, l'honorable Lawrence Cannon, ministre des Transports,
de l'Infrastructure et des Collectivités, a fait l'annonce
suivante : « Que ce soit dans une ville ou dans une région rurale,
lorsqu'une voie ferrée et une route se croisent, il peut y avoir
des accidents. En améliorant ces passages à niveau, nous contribuerons
à améliorer la qualité de vie des Canadiens. Cela contribue
également à notre partenariat avec les compagnies ferroviaires
et les collectivités en vue de rendre plus sécuritaires les passages
à niveau pour les automobilistes et les piétons, partout au Canada. »
Dans le cadre du programme d'amélioration des passages à
niveau de Transports Canada, les passages à niveau qui répondent
aux critères sont modernisés, relocalisés ou fermés.
Il est possible de les améliorer en installant des feux clignotants et
des barrières, en ajoutant des barrières ou des feux aux systèmes
existants, en reliant les signaux de passage aux feux de circulation environnants,
en modifiant les circuits opérationnels ou en ajoutant de nouveaux circuits
ou chronomètres. Transports Canada finance jusqu'à 80 %
du coût total des améliorations, et la somme restante est fournie
par les exploitants de chemins de fer, les municipalités ou les provinces
et les territoires.
« Le projet d'amélioration de Blackfalds coûtera
239 600 $, déclare Ray Kerber, directeur des opérations
et des services d'ingénierie de la Ville de Blackfalds. Les coûts
du projet comprennent l'installation de nouvelles barrières ainsi
que d'un dispositif d'annonce à temps régularisé »,
explique t il. Ce dispositif est un mécanisme électronique qui
garantit le temps d'annonce, peu importe la vitesse du train. « Par
exemple, si un train qui se déplace à 50 kilomètres à
l'heure s'approche d'un passage à niveau, un avis serait
donné 30 secondes avant le passage du train », explique Mme
Rudniski. « L'avertissement est toujours le même, peu
importe la vitesse du train; il serait de 30 secondes même si celui ci
se déplaçait à 85 kilomètres à l'heure. »
Depuis 1996, le programme d'amélioration des passages à
niveau de Transports Canada a investi plus de 100 millions de dollars dans des
projets semblables dans l'ensemble du pays. « Notre ville grandit,
et la circulation augmente, dit M. Kerber. Ces améliorations contribueront
à augmenter la sécurité. »
Conseils sur les passages à niveau :
- Portez attention aux alarmes et aux sifflets. Éteignez les ventilateurs,
les radiateurs ou les radios qui peuvent vous distraire ou diminuez leur intensité
jusqu'à ce que vous ayez traversé le passage. Ouvrez la
fenêtre afin de mieux entendre.
- Ne contournez jamais les barrières abaissées, c'est
illégal et possiblement mortel. Si vous croyez qu'un signal fonctionne
mal, appelez le numéro 1 800 affiché près du signal ou
communiquez avec votre organisme local d'exécution de la loi.
- Si votre véhicule s'arrête sur les rails à un
passage à niveau, évacuez le véhicule et éloignez
vous de la voie. Dirigez vous dans la direction d'où vient le
train afin d'éviter d'être frappé par des
débris, car le train entraînera votre véhicule vers l'avant.
- Les voies de chemin de fer, les chevalets, les gares de triage ainsi que
l'équipement sont des propriétés privées.
Marcher ou jouer sur les voies de chemin de fer est illégal. Vous pouvez
être arrêté ou recevoir une contravention.
- Ne marchez pas, ne courez pas, ne faites pas de bicyclette ou ne conduisez
pas de véhicules tout terrain sur les chemins de fer ou les emprises
ou dans les tunnels.
- Traversez la voie seulement aux endroits désignés pour les
piétons ou les véhicules. Soyez attentifs à tous les
signes et signaux d'avertissement et obéissez y.
Source : Transport Canada
![En haut de la page](../../images/uparrow.gif)
Le gouvernement fédéral fait prendre la route à ses services
Service Canada se déplace pour s'implanter dans votre collectivité
et y offrir des services mobiles et externes. L'objectif est de faire
en sorte que les services et les renseignements gouvernementaux soient davantage
à la portée des citoyens, c'est-à-dire dans un rayon
de 50 kilomètres du lieu de résidence des Canadiens. Les collectivités
du Nord, éloignées et rurales, autrefois moins bien desservies,
sont particulièrement visées.
Des représentants de Service Canada se déplacent régulièrement
ou périodiquement afin de venir en aide là où il y a un
besoin. Les services externes réguliers sont offerts sur une base régulière,
à temps partiel (par exemple, deux jours par semaine), alors que le personnel
des services mobiles de Service Canada rencontre les citoyens en fonction des
besoins, pour leur offrir, par exemple, des séances d'information
sur certains sujets ou pour porter assistance à l'occasion d'urgences
locales comme des fermetures d'usine ou des catastrophes naturelles.
Depuis 2005, date de l'instauration de Service Canada, plus de 150 nouveaux
points de services externes ont été ajoutés au réseau
de Service Canada, et on prévoit en établir d'autres d'ici
la fin de mars 2007. Grâce à ce réseau, les Canadiens n'auront
jamais été si nombreux à pouvoir recevoir l'aide
dont ils ont besoin.
La raison d'être des services externes de Service Canada est de
répondre à la diversité des besoins des Canadiens. Pour
répondre aux besoins des Autochtones, des services externes ciblés
sont offerts dans certaines collectivités, tandis que d'autres
visent à satisfaire aux besoins particuliers des jeunes, des aînés
et des personnes handicapées.
Services externes de Service Canada en Alberta
Hobbema
Wabasca-Desmarais
Taber
Cardston*
Blood Reserve*
*Points de services établis sous peu
Grâce à Service Canada, les Canadiens peuvent obtenir plus facilement
des services et des renseignements du gouvernement, par un simple clic, appel
ou visite. Pour trouver le Centre Canada ou point de services externes le plus
près de chez vous ou pour connaître les heures d'ouverture
et les services offerts, consultez servicecanada.gc.ca et cliquez sur services près de chez vous ou encore composez le 1-800-O Canada.
![En haut de la page](../../images/uparrow.gif)
Dendroctone du pin
Un agent forestier provincial a quelques conseils à offrir à
l'industrie forestière de l'Alberta sur la façon de
se défendre contre le terrible dendroctone du pin : « Commencez
maintenant. À la base, une infestation de dendroctones est comme un incendie »,
dit Daniel Lux, coordonnateur provincial de la dendroctone du pin pour le Développement
durable des ressources de l'Alberta. « Tentez de l'enrayer. »
Le dendroctone du pin est un petit coléoptère noir de la taille
d'un grain de riz. En Colombie-Britannique, la population de dendroctones
a atteint un niveau épidémique, infestant des arbres sur 8,5 millions
d'hectares de pinèdes. Le coléoptère a maintenant
atteint l'Alberta et menace deux millions d'hectares de pinèdes
sur les pentes est des Montagnes rocheuses. La valeur commerciale estimée
de la forêt est de 23 milliards de dollars. La faune, l'eau et la
biodiversité sont également menacées.
Même le froid record, fin novembre, n'a pu avoir de répercussions
importantes sur la population de coléoptères. Durant la dernière
semaine de novembre, la température en Alberta était de -41 °C
avec le facteur vent, ce qui est exceptionnellement bas. « Il doit
faire -40 °C, sans le facteur vent, pendant environ dix jours »,
ajoute M. Lux. Il dit que les dendroctones du pin produisent un antigel naturel
qui les protège du froid. « La neige à la base des
arbres agit comme isolant », explique-t-il. « Elle protège
cette partie de l'arbre, ainsi que les coléoptères qui hivernent
à cet endroit. »
La stratégie actuelle de l'Alberta est d'identifier, de couper
et de brûler tout arbre de la province infesté par les dendroctones
du pin.
Si vous prenez la route Cowboy Trail et roulez une heure vers le nord-ouest
de Calgary, vous entrerez dans l'authentique ville western de Sundre,
où les cow-boys se battent en duel et se rencontrent à l'hôtel
local pour un café ou une bière.
Continuez vers l'ouest et vous vous retrouverez dans la réserve
forestière de la Couronne, où les peuplements matures de pins
lodgepole fournissent un emploi aux 440 employés de la scierie locale,
ainsi qu'à des centaines d'ouvriers forestiers, de camionneurs
et d'autres personnes qui travaillent dans les industries connexes.
Sundre Forest Products est une « scierie de classe mondiale qui produit
1,2 million de mètres cubes de produits du bois par année »,
annonce Peter Denney, gestionnaire de la planification des récoltes au
sein de la compagnie. « Dans notre domaine de gestion de la forêt,
notre pin fait face à un risque élevé en raison du nombre
d'arbres menacés, mais pour l'instant il n'y a aucun
coléoptère », dit-il. Toutefois, son entreprise répond
à la politique provinciale intitulée Stratégie de prévention
des pins. « Au cours des 20 prochaines années, nous accélérerons
notre coupe pour réduire l'habitat du coléoptère
afin d'être mieux équipés pour nous défendre
contre cet insecte, ajoute-t-il. Il y a encore un mur de coléoptères
à l'ouest. »
Le gouvernement du Canada a adopté une solution proactive dans la lutte
contre les coléoptères. En octobre dernier, l'équipe
rurale de Colombie-Britannique et du Yukon du Secrétariat rural a réussi
à regrouper plusieurs intervenants au cours d'une réunion
tenue à Prince George afin d'aborder l'épidémie
de dendroctones du pin. « C'était la première
fois que ces gens se rencontraient en personne », dit Joerg Hannes,
conseiller de direction principal par intérim pour le Secrétariat
rural de Colombie-Britannique et du Yukon. « Chaque participant a
fait part de son opinion sur le combat contre l'infestation de dendroctones
du pin. Il s'agit d'une première étape très
prometteuse. » Il a expliqué que le Secrétariat rural
fournit un terrain de rencontre neutre pour les représentants des différents
organismes gouvernementaux et du secteur privé. « La rencontre
a été très positive, et beaucoup de liens se sont créés,
ajoute M. Hannes. Les intervenants se sont rencontrés ensuite dans le
cadre du cinquième Forum annuel sur les ressources naturelles de la Colombie-Britannique,
qui a eu lieu les 11 et 12 janvier 2007 à Prince George. « Le
forum est conçu pour regrouper des décideurs gouvernementaux et
communautaires et des gens d'affaires travaillant dans le secteur des
ressources naturelles, indique M. Hannes. Il leur a offert la possibilité
de discuter des défis et de déterminer les possibilités
de mise en valeur durable et responsable des ressources naturelles en Colombie-Britannique. »
La province a mis en place un service d'écoute téléphonique
afin que les résidents puissent déclarer toute poussée
épidémique présumée. Téléphone :
1-877-927-BUGS (2847).
Cycle de vie d'un dendroctone du pin
- À la fin juillet, la femelle pénètre l'arbre
hôte, généralement un pin lodgepole mature.
- Elle construit des galeries verticales et pond ses œufs sous l'écorce.
- Environ deux semaines plus tard, les œufs deviennent des larves.
- En août, la larve commence à construire des galeries horizontales,
sous l'écorce, où elle passera l'hiver.
- Vers la mi-juillet de l'année suivante, la larve devient pupe,
puis coléoptère adulte.
- Le coléoptère adulte émerge de l'arbre par un
trou rond percé dans l'écorce.
- La femelle adulte cherche ensuite un nouvel arbre à infester, et
le cycle recommence.
- À partir du moment où un pin est infesté, une année
est nécessaire pour que l'arbre meure et devienne rouge.
- Le dendroctone du pin contribue à la mortalité des arbres
de deux façons : en pratiquant des annélations sur l'arbre,
ce qui diminue sa capacité de transporter ses nutriments, et en transmettant
le champignon du bleuissement, ce qui tue l'arbre.
Signes d'une infestation par le dendroctone du pin
- Arbres rouges : Le dendroctone du pin attaque habituellement en masse
des pins matures hauts de 10 mètres ou plus et larges de 24 centimètres
ou plus. Les arbres infestés au cours de la saison précédente
deviennent jaunes en juin et juillet, et rougeâtres en août.
- Bouchons de résine : Quelquefois, les arbres produisent beaucoup
de sève pour aider à évacuer les coléoptères
envahisseurs. La sève forme souvent des globes irréguliers de
couleur crème, appelés bouchons de résine, sur la surface
de l'écorce; ceux-ci ressemblent à du miel cristallisé.
Source : Alberta Sustainable Resource Development,
Forest Health Section
![En haut de la page](../../images/uparrow.gif)
Revitalisation des collectivités :
coopératives et autres entreprises sociales
En 1971, dans l'étroitesse d'une tente abîmée
par la tempête, une grande idée est née. Alors que la tempête
faisait rage à l'extérieur, dans la montagne, un petit groupe
d'étudiants se réunissent à la recherche de chaleur, discutant
de possibilités. L'un d'entre eux demande : Et si nous pouvions
ouvrir un magasin d'équipement de montagne où nous pourrions
offrir des balises radio-émetteurs, des pics à glace, de la corde?
La coopérative de plein air Mountain Equipment
Co-op (MEC) s'est
depuis agrandie pour devenir l'un des plus grands fournisseurs canadiens
d'équipement d'extérieur de qualité. Avec plus
de deux millions de membres dans 192 pays, les MEC
forme une coopérative de vente au détail dynamique (source: www.mec.ca).
« Les entreprises sociales naissent d'une dynamique de débrouillardise », explique le Dr Brett Fairbairn, professeur d'histoire à
l'Université de la Saskatchewan à Saskatoon. Il enseigne
également au Centre for the Study of Co-Operatives à l'Université
de la Saskatchewan. M. Fairbairn a présenté ses conclusions au
cours d'un séminaire de la série d'apprentissage subventionné
par le Secrétariat rural d'Edmonton en novembre dernier. L'événement
– Revitalisation des collectivités : coopératives et autres
entreprises sociales – a regroupé environ 40 personnes venues pour
écouter des exposés et participer à des discussions sur
les entreprises sociales. M. Fairbairn a donné le MEC en exemple de coopérative
sociale efficace. « Les gens voient les problèmes et veulent trouver
des solutions, dit-il. Il s'agit d'un effort autonome, d'une
administration autonome et d'une responsabilité autonome. Les définitions
d'une entreprise sociale sont nombreuses et se recoupent, ajoute-t-il.
Cela comprend les organismes à but non lucratif qui exploitent des entreprises
à revenu. Cela peut comprendre les entreprises commerciales ayant de
fortes missions sociales, dit-il. Une entreprise sociale est liée à
la branche commerciale des activités bénévoles axées
sur la collectivité. »
Parmi les autres orateurs, on retrouvait Doug Thompson, gestionnaire de projet
de Flavour Budzzz Catering, qui relève du Distinctive Employment Counselling
Services of Alberta. Flavour Budzzz emploie des gens qui souffrent de maladie
mentale chronique et persistante. « Une entreprise sociale est une compagnie
ayant deux résultats essentiels, explique-t-il. L'un est financier,
l'autre est social. » Dans une province où l'industrie du
service a un besoin urgent de travailleurs, Flavour Budzzz fournit un service
essentiel pour ses clients ainsi que pour ses employés. « Il existe
de nombreuses recherches qui soutiennent les avantages du travail, dit M. Thompson.
Ces avantages comprennent la réduction de la pauvreté, de meilleurs
niveaux de fonctionnement, l'amélioration de la qualité de vie
et de l'estime de soi et une plus grande satisfaction face aux services professionnels
et aux finances. » M. Thompson se rappelle le cas d'un employé
qui, avant de travailler chez Flavour Budzzz, passait la plupart de son temps
à regarder la télévision. « Cet homme m'a dit
qu'il était un « bon à rien » devenu un « travailleur de cuisine qualifié », relate M.Thompson. Nos employés
apprennent et changent tellement. Les affaires, ajoute-t-il, vont très
bien. La nourriture est formidable et nos clients sont formidables, déclare-t-il.
Nous tentons de devenir une entreprise sociale autonome. »
Parmi les autres événements de la journée, mentionnons
l'exposé de Marcia Tait sur le développement économique
communautaire et les entreprises sociales. Mme Tait travaille comme planificatrice
sociale pour la Section de recherche et d'innovation en matière
de services communautaires de la ville d'Edmonton. Son équipe se
spécialise en développement économique communautaire. Elle
a expliqué les trois principaux modèles d'entreprise sociale.
« Il y a l'entreprise, ou le modèle axé sur les profits,
indique-t-elle. Le deuxième modèle est axé sur les services
sociaux ou les besoins. Le troisième est le modèle hybride, axé
sur les profits et les besoins sociaux. Fixit Chicks est un exemple du modèle
axé sur les profits, dit-elle. Fixit Chicks Inc. est une corporation
à but lucratif qui appartient entièrement à Women Building
Futures (WBF), société de bienfaisance sans but lucratif qui vise
à aider les femmes à améliorer leur vie et à atteindre
la prospérité économique », explique-t-elle. La compagnie
offre des ateliers sur la rénovation, l'entretien et la réparation
d'une maison, ainsi que des ateliers sur la décoration intérieure.
« Elle offre aussi des cliniques d'entretien des voitures et des
instructions concernant la soudure décorative », ajoute Mme Tait.
Tous les profits de Fixit Chicks Inc. sont utilisés pour compenser les
coûts de formation de WBF pour les femmes ayant de faibles revenus.
Le gestionnaire de programme d'Enterprising non-Profits a clos la journée
par une discussion sur les défis et les possibilités que comporte
l'environnement de développement des entreprises sociales. « Avec les entreprises sociales, il n'y a pas de projection de croissance
démesurée des profits », dit David LePage.
![En haut de la page](../../images/uparrow.gif)
Nous recherchons des citoyens ruraux engagés envers la collectivité
et ayant des idées novatrices
En octobre dernier, le Fonds pour le développement de l'Alberta
rural a ouvert ses portes. La société sans but lucratif et sans
lien de dépendance gère un fonds de 100 millions de dollars, annoncé
dans le cadre du budget de 2006. « Ce fonds a été créé
afin de stimuler la croissance et le développement des milieux ruraux
de l'Alberta », précise Terry Keyko, directeur principal
du fonds. « Il constitue la prochaine étape de l'exécution
de la Stratégie de développement rural. »
Le conseil d'administration examinera les déclarations d'intérêt
qui touchent les défis et les possibilités du milieu rural. « Les
projets financés doivent avoir une répercussion positive et durable
sur les collectivités rurales », ajoute M. Keyko. Il encourage
les organismes et les groupes à examiner les critères du programme
et à soumettre leurs projets.
Un vaste éventail de projets seront examinés, mais ils doivent
correspondre à un ou plusieurs domaines d'activités ou piliers
déterminés par le document sur la Stratégie de développement
rural du gouvernement de l'Alberta, intitulé A Place to Grow. Les
piliers incluent la croissance économique, les capacités communautaires,
la qualité de vie, la prestation de soins de santé en milieu rural
et le perfectionnement des compétences.
Le conseil d'administration souhaite approuver les premiers versements
à la fin de 2006. Le montant du financement varie entre 50 000 $
et 5 M $, mais les demandeurs doivent fournir au moins 25 % du
coût total du projet.
Fonds de développement de l'Alberta rural : En
bref
- Le Fonds de développement pour l'Alberta rural fournit un financement
aux projets qui contribuent à la croissance, à la prospérité
et à la qualité de vie des milieux ruraux de l'Alberta.
- Les projets doivent démontrer de quelle façon ils soutiennent
la collectivité et doivent intégrer la participation des collectivités
où ils seront mis en œuvre.
- Les organismes sans but lucratif, les gouvernements et les groupes autochtones
peuvent présenter une demande. On encourage les particuliers et les
entreprises qui désirent présenter une demande à créer
un partenariat avec les groupes et organismes admissibles.
- Les demandeurs doivent fournir au moins 25 % du coût total du
projet.
- La contribution minimale du fonds est de 50 000 $, et la contribution
maximale est de 5 M $.
- Pour obtenir plus de renseignements sur le Fonds de développement
pour l'Alberta rural, visitez le site Web à l'adresse www.ruralalbertasfund.com
ou appelez sans frais au 1-877-940-7233.
Source : Fonds pour le développement de l'Alberta
rural
![En haut de la page](../../images/uparrow.gif)
Histoire du SCDCA
Marie Cornelson se rappelle le temps où elle rentrait à la maison,
après avoir conduit son camion de gravier toute la journée, pour
s'attaquer à une montagne de tâches administratives le soir
venu. Elle dit qu'elle perdait patience. « J'étais
submergée de tâches administratives ». Marie et son
époux, Ivan, gèrent trois entreprises depuis leur exploitation
agricole située à 16 kilomètres au nord de Drayton Valley,
en Alberta. Ils sont fermiers depuis 1969. « Nous offrons des instruments
de travail de la terre et des services de camionnage et d'opération
d'équipement agricole et de chargeurs » dit-elle. Après
avoir tenu la comptabilité à la main durant des années,
Marie a réalisé qu'elle devait suivre l'évolution
de leurs comptes d'une façon plus efficace.
L'an dernier, elle a vu dans le journal local un article décrivant
le Service canadien de développement des compétences en agriculture
(SCDCA),
programme lancé en Alberta en 2005. Le SCDCA
offre du financement et une aide pratique aux familles agricoles qui veulent
améliorer leurs possibilités d'apprentissage.
« Depuis le lancement, environ 200 fermiers ont eu accès au
programme », indique Don Lindoff, conseiller en carrière d'Alberta
Human Resources and Employment à Red Deer. « L'objectif
du SCDCA
est d'aider les familles agricoles, nouvelles et établies, à
améliorer leur revenu en perfectionnant de nouvelles compétences
dans un environnement d'affaires de plus en plus complexe. Nous aidons
les familles agricoles à tirer profit des nouveaux débouchés
dans le domaine de l'agriculture. »
Le SCDCA
est offert en partenariat avec le ministère de l'Agriculture et de l'Agroalimentaire,
Alberta Agriculture, Food and Rural Development et Alberta Human Resources and
Employment. Parmi les cours populaires suivis par les agriculteurs, on retrouve
la comptabilité, la formation environnementale, la gestion globale des
terres, l'éditique et le soudage. « Les fermiers ont
exprimé un intérêt pour l'apprentissage des nouvelles
technologies de l'informatique, affirme M. Lindoff. Ils cherchent des
façons novatrices de communiquer à l'échelle internationale. »
Marie voulait améliorer ses connaissances très élémentaires
des ordinateurs. « Je faisais face à un dilemme; je voulais
que quelqu'un vienne me donner des cours à domicile »,
explique-t-elle. Elle a passé un coup de fil et a pris rendez-vous avec
Don Lindoff, qui lui a dit que, bien que sa demande soit peu conventionnelle,
il pourrait y satisfaire. Marie a reçu une subvention de 4 000 $
qu'elle a utilisée pour recevoir deux fois par semaine la visite
d'un spécialiste en informatique local qui lui a enseigné
les notions de technologie informatique de niveau secondaire. « Il
m'a enseigné les principes de Word et des feuilles de calcul Excel,
dit-elle. Tout notre équipement agricole est maintenant consigné
dans un chiffrier électronique. Pour moi, le SCDCA
a été une révélation. »
M. Lindoff convient que le programme peut avoir des répercussions importantes
sur la vie des Albertains des régions rurales. « Je crois
personnellement qu'un apprentissage permanent contribue à une production
agricole durable, déclare-t-il. Au cours des dix dernières années,
la sécheresse et l'EBS ont eu des répercussions sur la vie
des agriculteurs. Le SCDCA
leur offre la possibilité de tirer profit du perfectionnement des compétences. »
Marie encourage chaque personne à participer au programme à « 300 % ».
« J'aurais aimé l'avoir fait plus tôt, ajoute
t elle. Vous ne savez pas à quel point ce programme a amélioré
ma qualité de vie. »
Le
programme SCDCA est offert jusqu'au 31 mars 2008. Pour plus de renseignements,
visitez le site Web www.agr.gc.ca/renewal ou communiquez avec Don Lindoff au
403-340-5008.
Participation au SCDCA
Le SCDCA est offert aux familles agricoles de l'Alberta par l'Alberta
Human Resources and Employment, avec le soutien du ministère d'Agriculture
et Agroalimentaire Canada et d'Alberta Agriculture, Food and Rural Development.
Les éléments suivants font partie du programme :
- Une évaluation pour vous aider à déterminer vos forces
et vos compétences.
- L'élaboration d'un plan d'apprentissage individuel, préparé
avec l'aide d'un conseiller.
- Du financement pour soutenir une formation officielle.
- Un conseiller est disponible pour vous offrir des conseils et un soutien
continus pendant que vous poursuivez votre plan d'apprentissage.
![En haut de la page](../../images/uparrow.gif)
Équipe rurale de l'Alberta
Parlez de ferme familiale à Lorne Owen et vous percevrez de la lassitude
dans sa voix. Établi à Edmonton, M. Owen est le conseiller régional
du Secrétariat rural du gouvernement du Canada. Lorsqu'il était
jeune, il a aidé sa famille à exploiter une ferme près
de Coaldale. « Il s'agissait d'une ferme de culture sèche
où l'on cultivait des céréales et des graines oléagineuses,
dit il. Je me rappelle avoir conduit notre vieux camion de ferme lorsque j'avais
seulement 12 ans. Les journées à la ferme étaient longues. »
Selon M. Owen, le Secrétariat rural de l'Alberta joue le rôle
d'un lieu d'échanges pour les intervenants des gouvernements
fédéral et provinciaux. « Nous nous rassemblons pour parler
de nos programmes et coordonner nos activités, dit-il. Nous déterminons
les enjeux ruraux qui doivent être abordés et nous en discutons.
Notre travail consiste à agir en tant que catalyseur ou intermédiaire.
Présentement, l'Alberta rural connaît un essor. Beaucoup
d'activités ont lieu en Alberta présentement, ajoute-t-il.
L'exode des jeunes des milieux ruraux est l'une des préoccupations
principales. Nous devons contribuer à déterminer des façons
de soutenir et d'encourager les jeunes des milieux ruraux », affirme-t-il.
Pour Elliot Hewitt, le Secrétariat rural est le champion des causes
rurales. « Nous tentons de représenter les Canadiens des régions
rurales », dit le conseiller stratégique principal du bureau
de Calgary. « Nous conseillons et informons le ministre relativement
aux enjeux ruraux. » Le Secrétariat rural s'assure que
les enjeux ruraux sont ceux des Canadiens des régions rurales. « Je
crois fermement que les collectivités sont plus éclairées »,
souligne-t-il. « Nous devons fournir les compétences et les
ressources permettant de répondre à ces besoins. Nous progressons
dans cette voie. » Il ajoute que les défis et les enjeux sont
propres à chaque région des provinces et territoires. Contrairement
à d'autres organismes fédéraux, le Secrétariat rural
fait preuve d'une grande flexibilité. « Au fil des années,
nous avons financé un vaste éventail d'initiatives »,
indique M. Hewitt. « Tant et aussi longtemps que les Canadiens ruraux
en profitent, nous pouvons participer. » Il dit qu'il cherche
toujours des personnes-ressources. « Les dirigeants des collectivités
rurales devraient se sentir libres de nous faire part de leurs préoccupations. »
Le bulletin Évocations rurales est publié par le Secrétariat
rural du gouvernement du Canada et l'Équipe rurale de l'Alberta.
Les bureaux de l'équipe sont situés à Edmonton et
à Calgary, et celle-ci collabore étroitement avec les intervenants
ruraux pour favoriser le dialogue entre les collectivités rurales et
le gouvernement fédéral.
L'Équipe rurale de l'Alberta a été créée
par le gouvernement du Canada dans le cadre du Partenariat rural canadien. L'objectif
du Partenariat rural canadien est de soutenir le renforcement durable des collectivités
rurales en s'assurant que les politiques, les programmes et les services
du gouvernement sont élaborés et offerts de façon à
servir le mieux possible les Canadiens des régions rurales. « Nous
voulons créer des partenariats, des réseaux et des alliances au
sein des ministères fédéraux et provinciaux, ainsi qu'avec
d'autres intervenants ruraux, afin d'aborder les enjeux ruraux importants
de l'Alberta », affirme Lorne Owen. L'équipe est
composée de représentants des ministères fédéraux
et provinciaux ainsi que d'organismes non gouvernementaux. « L'équipe
permet également aux membres de communiquer, de coopérer, de coordonner
et de collaborer relativement aux priorités rurales. »
Pour obtenir plus de renseignements sur l'Équipe rurale de l'Alberta
et le Partenariat rural canadien, veuillez
visiter le site Web à l'adresse suivante : www.rural.gc.ca.
![En haut de la page](../../images/uparrow.gif)
Participez aux semences de la prochaine politique agricole
Le proverbe « on récolte ce que l'on sème »
nous rappelle à quel point les grandes décisions que nous prenons
aujourd'hui auront des conséquences dans l'avenir. Ayant
ce proverbe à l'esprit, les représentants des gouvernements
fédéral, provinciaux et territoriaux sont déterminés
à déployer des efforts concertés pour élaborer la
prochaine politique agricole et agroalimentaire.
Et ils aimeraient bien connaître votre avis! Intervenant de l'industrie
ou citoyen canadien, les dirigeants politiques cherchent à connaître
votre point de vue sur l'avenir du territoire agricole albertain.
Le Cadre stratégique pour l'agriculture (CSA) est un accord fédéral-provincial-territorial
de cinq ans sur l'agriculture, qui a permis de définir une approche
nationale pour le secteur de l'agriculture. Son objectif premier? Positionner
le Canada comme chef de file mondial de la salubrité et de la qualité
des aliments, de l'innovation et de la production agricole respectueuse
de l'environnement.
À l'heure actuelle, le secteur canadien de l'agriculture
et de l'agroalimentaire fait face à une série de nouveaux
enjeux et de nouvelles possibilités. Comme la majorité des accords
du CSA prennent fin au printemps 2008, des discussions sont en cours pour établir
une nouvelle politique agricole et agroalimentaire. Le nouveau cadre vise à
bâtir des fondations solides qui profiteront aux générations
à venir.
Pour s'assurer de tenir compte des nombreuses facettes de l'industrie
agricole à toutes les étapes de l'élaboration de
la politique, le processus prévoit trois rondes de consultation. Le processus
de consultations nationales en plusieurs étapes a débuté
en décembre 2006 et se poursuivra en 2007, de sorte que le nouveau cadre
stratégique soit mis en œuvre au début 2008.
La première ronde a consisté en une série de séances
de travail auxquelles ont participé des experts de l'industrie
agricole. En qualité de spécialistes, ces intervenants ont été
conviés à prendre part à des discussions approfondies et
à l'analyse des options stratégiques proposées. Ils
ont également travaillé à cerner les problèmes susceptibles
de surgir pendant les consultations publiques et ont aidé à formuler
des questions à utiliser lors de la deuxième ronde.
La deuxième ronde, prévue en janvier et février 2007,
consistera en des séances de consultation publiques qui se dérouleront
un peu partout au pays. Leur objectif sera, d'une part, de recueillir
les commentaires de la population dans le cadre d'une tribune ouverte
où les participants pourront échanger des idées et, d'autre
part, de favoriser un débat public sur l'avenir de l'agriculture
et de l'agroalimentaire au Canada. Parallèlement, les discussions
se poursuivront sur un nouveau plan de gestion des risques de l'entreprise.
La troisième ronde commencera en mars 2007. Pendant cette ronde finale,
on analysera les données recueillies lors des première et deuxième
rondes. Cette analyse permettra de produire une synthèse des commentaires
à présenter aux gouvernements fédéral, provinciaux
et territoriaux avant le début des négociations.
Le processus de consultation et les conclusions qui en ressortiront visent
à stimuler les discussions entre tous les intervenants sur la façon
dont les gouvernements du Canada, des provinces et des territoires peuvent unir
leurs efforts pour veiller à ce que le secteur agricole et agroalimentaire
canadien soit compétitif et rentable. Offrir des services et des produits
salubres, innovateurs et de grande qualité, qui profitent à tous
les Canadiens, figure également parmi les priorités.
Nous vous encourageons à participer à la discussion. Tous les
ordres de gouvernements ont hâte de connaître le point de vue des
particuliers et des organismes canadiens. Unissons nos efforts pour mettre au
point un cadre stratégique solide qui favorise la prospérité
dans le secteur de l'agriculture et de l'agroalimentaire. Vous pouvez participer à la consultation par l'intermédiaire l'intermédiaire
du site Web Consultations www.agr.gc.ca/verslanouvelle jusqu'au 19 mars 2007.
Pour recevoir des exemplaires des documents de consultation et obtenir de plus
amples renseignements sur la façon dont les Canadiens peuvent participer
à l'élaboration de la prochaine politique agricole et agroalimentaire,
vous pouvez communiquer avec le bureau du ministère de l'Agriculture
de votre province ou territoire, composer le 1 800 O-CANADA (1-800-622-6232)
ou le 1-800-926-9105 (TTY), ou encore visiter
le site Web suivant : www.agr.gc.ca/verslanouvelle.
![En haut de la page](../../images/uparrow.gif)
Base de données sur les collectivités
La base de données sur les collectivités fait partie de l'appui
permanent du Secrétariat rural aux communautés rurales à
travers des initiatives fédérales, provinciales et territoriales.
La base de données des collectivités (BDC) est une ressource
offerte sur le Web où les collectivités et les gouvernements peuvent
obtenir des renseignements communautaires cohérents, fiables et accessibles
sur des facteurs économiques et démographiques, et ce, au niveau
communautaire.
La BDC constitue un ensemble de données complémentaires aux ressources
déjà offertes par les provinces et les territoires. Parmi ses
caractéristiques supplémentaires, on note la capacité de
présenter les renseignements sous divers formats, par exemple au moyen
de graphiques, de tableaux ou de cartes géographiques, lesquels permettent
l'analyse à différents niveaux.
La BDC fournit une foule de renseignements communs tirés des recensements
sur la population de Statistique Canada qui sont présentés pour
une série de regroupements géographiques : national, provincial
et territorial, division du recensement, région économique et
subdivision de recensement (ou collectivité).
Cet outil innovateur est particulièrement utile pour les groupes communautaires,
les organismes communautaires privés ou sans but lucratif, les décideurs
du gouvernement, les entreprises, les chercheurs, les organismes de recherche
et les universités.
Les renseignements disponibles sur la BDC
portent notamment sur :
- la population
- l'âge
- le revenu personnel et le revenu familial moyens
- le taux d'emploi
- le niveau d'instruction
- l'emploi par secteur
- la langue
- le degré de dépendance envers une ressource
- la diversification économique
La Base de données sur les collectivités
est disponible à www.cid-bdc.ca.
Pour obtenir plus d'information ou pour organiser une session de formation
sur la
BDC,
veuillez contacter :
Gestionnaire
Recherche rurale et analyse
Secrétariat rural
1341 chemin Baseline Tour 7
Ottawa, ON K1A 0C5
Téléphone: (613) 759-7106
Sans frais: 1(888) 781-2222
comments@cid-bdc.ca
Le Secrétariat rural est une entité qui favorise le rapprochement
entre le gouvernement du Canada et les Canadiens des régions rurales
et éloignées pour assurer la vitalité et le dynamisme de
leurs collectivités.
Alberta rural : Réalité
Le saviez-vous?
- Le quart des Albertains vivent dans les régions rurales.
- Entre 1996 et 2001, la population rurale de l'Alberta a augmenté
de 5,5 %.
- La proportion de la population rurale par rapport à l'ensemble
de la population de la province est légèrement plus élevée
en Alberta que dans l'ensemble du Canada (24,6 % par rapport à
20,6 %).
- Il y a moins de fournisseurs de soins de santé dans les régions
rurales et dans les petites villes de l'Alberta que dans les régions
urbaines.
Source : Agriculture et Agroalimentaire Canada
![En haut de la page](../../images/uparrow.gif)
Programme d'accès communautaire (PAC)
Les applications ingénieuses du Programme d'accès communautaire
(PAC) du gouvernement du Canada émerveillent toujours Charlotta Plato.
« Le programme est tellement diversifié », déclare
Mme Plato, gestionnaire principale à Industrie Canada, Direction de l'autoroute
de l'information, Région des Prairies et du Nord. Les gens y ont
recours de tellement de façons intéressantes. Je me dis souvent
que je n'y avais jamais pensé. »
Avec plus de 350 sites en Alberta, les utilisations varient de la formation
des pompiers volontaires à l'approvisionnement des pièces
de tracteur. « Ces exemples montrent la façon dont les collectivités
plus petites peuvent utiliser l'accès public local afin de combler
leurs besoins individuels ou communautaires », ajoute Mme
Plato.
Kathy Richards de Cardston peut confirmer ce fait. Lorsqu'un agriculteur
local s'est rendu à son bureau à la recherche d'une
pièce de tracteur dans Internet, elle n'a pu s'empêcher
de rire. « Les utilisateurs d'Internet utilisent notre site
du Programme d'accès communautaire (PAC)
pour différentes raisons », dit-elle. À titre de directrice
des programmes d'enseignement communautaire aux adultes de la division
scolaire no 74 de Westwind, à Cardston, Mme Richards signale
avoir constaté un large éventail d'utilisations. « La
plupart des gens utilisent notre service afin d'obtenir de l'aide
pour la rédaction de leur curriculum vitae ou d'effectuer des recherches
d'emploi », ajoute t elle.
Près de 4 000 sites du PAC
d'un bout à l'autre du Canada offrent aux résidents
un accès public abordable à Internet. Le programme a été
lancé en 1995 et il est administré par Industrie Canada. Les sites
se trouvent dans les bibliothèques publiques, les établissements
d'enseignement, les installations récréatives, les hôpitaux,
les bureaux du gouvernement, les organismes de services sociaux et les petites
entreprises.
Mme Richards a décrit une autre occasion où le site
du PAC
a été très avantageux. « Il y a quelques années,
après avoir reçu le diagnostic d'une maladie débilitante,
un jeune homme a mis fin à ses études universitaires pour retourner
vivre chez sa mère », raconte Mme Richards. Son
spécialiste ne lui avait pas fourni beaucoup de renseignements au sujet
de sa maladie. Sa mère est venu à notre site afin de mener des
recherches; elle est restée ici près de quatre heures à
lire les histoires d'autres patients. Elle a pleuré et elle a ri
au cours de ces quatre heures. De plus, le site du PAC
s'est avéré utile pour sa recherche sur des régimes
alimentaires particuliers, des recettes et de l'aide de nature nutritionnelle
pour son fils. Cette mère était prête à tout essayer
pour tenter de comprendre la maladie de son fils. J'étais étonnée
de tous les renseignements précieux et utiles qu'elle a obtenus
à l'aide d'Internet. »
Dans un autre cas, Mme Richards a expliqué la situation difficile
d'une femme de 43 ans qui avait récemment perdu son emploi. « Elle
venait ici tous les jours, d'abord pour perfectionner son curriculum vitae
et ensuite pour poser sa candidature à certains postes. Tous les jours,
elle envoyait son curriculum vitae par courrier électronique. »
Mme Richards se rappelle que cette femme a habité dans sa
voiture pendant au moins trois semaines, jusqu'à ce qu'elle
obtienne finalement un emploi et qu'elle s'installe dans un nouvel
appartement. « Il s'agit d'un service d'une suprême
importance», déclare Mme Richards, surtout dans une
collectivité rurale comme Cardston. »
![En haut de la page](../../images/uparrow.gif)
Site du PAC
et services d'urgence de Cremona et du district
Tôt le matin, un dimanche enneigé de novembre, les services d'urgence
de Cremona et du district ont reçu un appel de crise. « À
3 h du matin, nous avons répondu à une alerte d'incendie
dans une maison mobile à Cremona, explique Darryl Cummings, chef adjoint
du service d'incendie. Tous les résidents ont été
évacués sains et saufs de l'immeuble, mais nous sommes restés
jusqu'à 11 h du matin pour éteindre l'incendie.
Nous l'avons empêché de se répandre à deux
autres maisons mobiles adjacentes. »
Il est loin le temps où, lorsque la sirène d'alarme contre
les raids aériens se déclenchait, chaque homme se trouvant à
quinze kilomètres à la ronde cessait toute activité pour
répondre à l'alerte d'incendie. La pompe unique de
première ligne (vers 1951) a été remplacée par sept
véhicules d'urgence, y compris un camion-citerne, un camion d'attaque
rapide, deux véhicules tout-terrain et un véhicule de secours
et de commandement. En 2007, l'équipe prévoit se doter d'un
camion-pompe de première ligne flambant neuf d'une capacité
de près de 6 000 litres par minute. Comptant 19 membres volontaires
hautement qualifiés, la section est en excellente forme. « Tous
nos membres occupent un emploi à temps plein en plus de s'acquitter
de leurs tâches de pompier bénévole, indique M. Cummings.
Nos membres sont tuyauteurs, électriciens, ambulanciers ou agriculteurs. »
L'agent de formation Mark Myra reconnaît que le Programme d'accès
communautaire du gouvernement du Canada a fourni la formation nécessaire
aux intervenants en cas d'urgence. « Il y a cinq ans, nous
avons lancé un programme de formation dans les locaux du PAC,
situés à la bibliothèque de Cremona, explique-t-il. Grâce
à quatre ordinateurs ayant accès à Internet et à
une adresse courriel, nos membres ont pu suivre leur cours de répondants
médicaux d'urgence (RMU). » Le Ministère a offert
le financement nécessaire pour que les membres suivent à temps
partiel le programme en ligne de RMU du Southern Alberta Institute of Technology
(SAIT), un établissement d'enseignement postsecondaire de Calgary.
« Sans le PAC,
cela aurait été impossible puisque nos membres ont des emplois
à temps plein dans d'autres entreprises, et qu'il est donc
difficile pour eux de suivre un cours de RMU à temps plein dans un établissement
d'enseignement postsecondaire », dit M. Myra.
Le Ministère exige désormais que les membres aient suivi au moins
le cours de RMU.
Ils peuvent le suivre durant les soirs et les fins de semaine, et des instructeurs
viennent deux jours par mois pour une formation sur place. « Ce cours
de six mois a eu des répercussions importantes sur nos membres, ajoute
M. Cummings. Certains ont décidé de suivre le cours de technicien
ambulancier, et un autre a obtenu son diplôme d'ambulancier. Dans
l'ensemble, ce programme a augmenté le niveau de soins que nous
offrons aux citoyens plus que nous nous y attendions. »
Présentement, l'équipe des services d'urgence soutient
environ 4 000 contribuables. « De plus, nous offrons une aide
mutuelle à toutes les sections environnantes », affirme M.
Cummings.
Avec plus de 120 appels en 2006, il est essentiel que l'équipe
possède des compétences avancées en matière d'urgence.
« Dans le comté de Mountain View, nous sommes considérés
comme l'équipe de secourisme opérationnelle, ce qui veut
dire que nous répondons automatiquement aux appels », dit-il.
Deux membres possèdent leur certificat de technicien ambulancier, ce
qui leur permet de faire des injections par intraveineuse et d'administrer
de la nitroglycérine. « Tous ces éléments augmentent
nos connaissances et nos compétences », conclut-il.
L'agent de formation Myra est convaincu que leur niveau de formation contribue
à bâtir la confiance au sein de l'unité et parmi les
résidents ruraux. « Il y a dix ans, nous avions trois camions
et six hommes. Maintenant, nous sommes une organisation paramilitaire, et tous
nos membres tentent de répondre aux normes de la National Fire Protection
Association », déclare-t-il.
Dans le cas du répartiteur Alec Steiert, suivre le cours du PAC
l'a aidé à se familiariser à Internet. « J'ai
beaucoup plus de confiance en moi désormais, grâce à ma
formation et à mes compétences en informatique », dit-il.
Des cours du niveau d'agent seront offerts en 2007. « Le programme
est composé de cinq cours suivis sur une période de dix mois,
explique M. Myra. Le programme fournit à nos membres principaux des compétences
en leadership et en administration; on leur enseigne à gérer une
section et les relations publiques. Ils acquerront également des compétences
tactiques plus spécialisées, y compris comment diriger un sauvetage
important auquel plusieurs personnes participent. Plus nos membres reçoivent
de formation, plus ils peuvent garantir leur sécurité et la sécurité
de nos résidents. »
La sirène d'alarme datant d'avant la Seconde Guerre mondiale
est toujours perchée sur le dessus de la tour de la station de radio,
attendant un désastre éminent. « Elle a surtout une
valeur historique », dit Myra.
![Haut de la page](../../images/uparrow.gif)
Initiative de commercialisation culturelle de Saint-Isidore
Paulette Monsette travaille à un ensemble de napperons noirs, sur son
métier à tisser, au Centre culturel de Saint-Isidore dans le nord
de l'Alberta. Mme Monsette est membre du groupe Les Tisserandes,
groupe de tisseurs qui se réunit depuis 1953. « Nous achetons
notre laine ensemble et tissons un éventail d'articles, y compris
des couvre-lits, des couvertures pour bébés, des torchons à
vaisselle, des chemins de table et des nappes », dit Mme
Monsette. « Nous gagnons de l'argent en vendant nos créations
au cours de la vente de Noël du Centre, et nous avons également
l'occasion de rencontrer des gens et de garder vivant notre héritage
culturel. »
Le groupe Les Tisserandes fait partie de l'Initiative de commercialisation
culturelle de Saint-Isidore, projet financé par le Secrétariat
rural du gouvernement du Canada. L'Initiative regroupe différentes
activités qui se déroulent en français dans le village
de Saint-Isidore, situé à 16 km de Peace River. Il existe seulement
quelques services en ville, y compris un bureau de poste, une épicerie,
une banque et une église où la messe est célébrée
entièrement en français. Malgré une population de seulement
175 habitants, Saint-Isidore affiche fièrement un esprit et un héritage
communautaires enviables.
« Dans le cadre d'une étude effectuée en 2003, nous
avons déterminé les enjeux et les priorités de notre collectivité », signale Rachelle Bergeron, agente de développement économique
du Conseil de développement économique de l'Alberta. « Maintenir notre héritage culturel était notre priorité.
Nous voulions attirer les francophones vers notre collectivité. »
Saint-Isidore a déjà mis en place plusieurs éléments
de la culture franco canadienne de la collectivité, y compris le Carnaval
d'hiver qui a lieu chaque année en février. « L'an
dernier, notre thème était le safari », dit Mme
Bergeron. « Deux sculpteurs locaux ont créé deux immenses
girafes se tenant par le cou. Elles étaient placées à l'entrée
du centre culturel. »
Les repas traditionnels franco canadiens sont un des grands attraits du carnaval.
« Les gens peuvent goûter à différents mets comme
la tarte au sucre, la poutine, la tourtière, les fèves au lard
et la tire d'érable », ajoute-t-elle. La plupart des
activités du carnaval ont lieu à l'extérieur :
il y a des tours de traîneau, des feux de camp, des concours de violoneux
et de la musique traditionnelle francophone. « L'an dernier,
2 500 personnes sont venues », dit-elle.
Les anglophones sont bienvenus puisque, à Saint-Isidore, tous les habitants
sont bilingues. Parmi les autres activités culturelles de la collectivité,
on retrouve une troupe de danse franco canadienne, des chanteurs traditionnels
et une bibliothèque francophone. Tout le monde se réunit régulièrement
au centre culturel.
« Lorsque nous avons pris conscience des menaces potentielles auxquelles
faisait face notre collectivité, nous avons décidé de faire
quelque chose pour régler le problème », raconte Mme
Bergeron. « Nous étions confrontés à un déclin
rural et économique, à l'assimilation culturelle et au vieillissement
de la population, et nous savions que nous devions commercialiser les actifs
individuels et collectifs de la communauté et en tirer profit. »
Celle-ci se trouvait à la croisée des chemins, mais sa passion
pour le maintien de l'héritage culturel lui donnait un avantage.
« Notre objectif est d'augmenter la population francophone
de Saint-Isidore, tout en maintenant son intégrité et sa qualité
de vie, en créant une stratégie de commercialisation culturelle
qui encouragera l'installation de nouveaux résidents dans la collectivité,
favorisera la culture francophone, améliorera la compréhension
de la valeur de la culture et intégrera les gens à une collectivité
importante sur le plan culturel. »
Mme Bergeron décrit un plan pour créer des lotissements
communautaires, dont 16 sont présentement disponibles dans le cadre de
la phase 1. « Chaque lot coûtera environ 35 000 $ »,
dit-elle.
Durant ce temps, Mme Monsette s'active devant son métier
à tisser et enseigne l'art du tissage à ses deux petits-enfants
adolescents. « Ils fabriquent des torchons à vaisselle et
des napperons », dit-elle. Ils utilisent l'équipement
dont elle a hérité de sa mère. « J'ai
commencé à tisser avec ma mère, et, maintenant, ils doivent
continuer à l'aide de son équipement », conclut-elle
en riant.
![En haut de la page](../../images/uparrow.gif)
Gardez le dans votre poche!
Parcourez les services du gouvernement sans effort grâce au Répertoire
de poche des programmes et des services ruraux. Les numéros
sans frais, les centres d'information, les sites Web du gouvernement et
tous les détails essentiels se retrouvent à portée de main.
Conçu spécialement pour les Canadiens qui vivent dans les collectivités
rurales et éloignées, le répertoire de poche mis à
jour vous guide dans les programmes et services du gouvernement du Canada.
Le répertoire de poche comprend :
- une brève description de chaque programme et service;
- des renseignements comme le numéro de téléphone ou
l'adresse Internet.
Le répertoire de poche est disponible dans plusieurs formats.
Les renseignements sur les programmes contenus dans ce guide sont également
accessibles sur le site de Régions
rurales et éloignées du Canada en direct (www.rural-canada.ca).
Pour en obtenir une copie papier, veuillez vous adresser au :
Secrétariat rural
Agriculture et Agroalimentaire Canada
1341, chemin Baseline, Tour 7, 6e étage
Ottawa (Ontario) K1A 0C7
Numéro de téléphone sans frais : 1-888-781-2222
Numéro de télécopieur sans frais : 1-800-884-9899
Courriel : rs@agr.gc.ca
Internet : www.rural.gc.ca
POUR OBTENIR DES RENSEIGNEMENTS SUR LES PROGRAMMES ET LES SERVICES DU GOUVERNEMENT
DU CANADA :
1 800 O-CANADA (1-800-622-6232)
ATS : 1 800 465-7735
Internet : www.canada.gc.ca
Centres d'accès Service Canada
Renseignements sur Évocations rurales
Évocations rurales est une publication de l'Équipe rurale
de l'Alberta qui s'adresse à la population des collectivités
rurales et éloignées de l'Alberta.
Si vous avez une idée ou un article que vous aimeriez faire inclure
dans Évocations rurales, adressez-vous à :
Steve Young
Téléphone : 613-759-6509
Télécopieur : 613-759-7031
Courriel : youngs@agr.gc.ca
ISSN no. 1910-8796
AAC no. 10235E
© Sa Majesté la Reine du chef du Canada, 2007
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