Une forte majorité constituée de plus des trois quarts (76 %) des répondants est satisfaite dans une certaine mesure de la conduite de la 44e EG par EC. Près de 9 répondants sur 10 (87 %) sont satisfaits de la façon dont le DS de leur circonscription a conduit l'élection. La faible proportion (12 %) des candidats qui sont insatisfaits de leur DS ont principalement déclaré ne pas s'être sentis suffisamment appuyés.
Les trois quarts (76 %) des candidats se disent satisfaits dans une certaine mesure de la conduite de la 44e EG par EC, avec près de 4 répondants sur 10 (38 %) étant très satisfaits. Ces proportions sont statistiquement inférieures à celles de 2019, parmi les candidats qui ont répondu à cette question à l'aide d'une échelle de quatre points. Une minorité des candidats (un quart) se disent insatisfaits dans une certaine mesure.
Description de la « Graphique 1 : Satisfaction à l'égard de la conduite de l'élection par EC »
Q1 : En général, dans quelle mesure étiez-vous satisfait(e) de la façon dont Élections Canada a conduit l'élection fédérale dans votre circonscription?
Base : tous les répondants, y compris ceux qui ont répondu « Incertain(e) » (1 % des répondants).
Les sous-groupes suivants ont plus tendance à se dire satisfaits de la conduite de l'élection par EC :
Près de 9 répondants sur 10 (87 %) sont satisfaits dans une certaine mesure de la façon dont le directeur du scrutin de leur circonscription a conduit l'élection; près des deux tiers sont très satisfaits. Ces résultats sont statistiquement comparables à ceux de la 43e EG.
Description de la « Graphique 2 : Satisfaction à l'égard de la conduite de l'élection par le DS »
Q2 : Dans quelle mesure étiez-vous satisfait(e) de la façon dont votre directeur du scrutin a conduit cette élection dans votre circonscription?
Base : tous les répondants, y compris ceux qui ont répondu « Incertain(e) » (1 % des répondants).
La satisfaction globale à l'égard de la conduite de l'élection par le DS est semblable pour les différents sous-groupes de candidats, mais les membres des groupes suivants sont plus susceptibles de se dire très satisfaits :
Les candidats se disant insatisfaits de la conduite de l'élection par le DS dans leur circonscription (n = 130), à savoir une personne sur dix (12 %), se sont fait demander, par une question ouverte, d'expliquer leur réponse. Aucun choix de réponse n'était offert ni en ligne ni au téléphone.
La raison la plus courante, invoquée par près de la moitié des répondants insatisfaits, est qu'ils ne se s'étaient pas sentis appuyés par EC ou le DS. Selon le quart (23 %) des candidats, les bureaux de vote n'étaient pas accessibles, et environ un candidat sur six (17 %) dit avoir eu des difficultés à obtenir du matériel électoral ou de l'information auprès du DS. Plus d'une personne sur dix mentionne que le processus de vote n'était pas équitable ou que le traitement des actes de candidature était trop long. Peu de répondants ont mentionné une autre raison.
Leurs sous-groupes sont généralement trop petits pour permettre une analyse approfondie.
Q3 : Pourquoi étiez-vous insatisfait(e) de la façon dont le directeur du scrutin a conduit l'élection dans votre circonscription?
Base : n=130; candidats insatisfaits de la conduite de l'élection par le DS, y compris ceux qui ont répondu « Incertain(e) » (3 % des répondants).
Les trois quarts (77 %) des candidats affirment qu'il était plutôt ou très facile de respecter les exigences de mise en candidature. Parmi ceux qui ont répondu « Plutôt difficile » ou « Très difficile », le principal obstacle invoqué (22 %) est l'obtention de signatures. Presque tous les candidats (94 %) sont satisfaits du délai de traitement des candidatures, et relativement peu de personnes ont eu des difficultés à trouver un agent officiel (20 %) ou un vérificateur (13 %). Un peu plus de la moitié (54 %) disent qu'il était plutôt ou très facile de recueillir des signatures appuyant leur candidature malgré les restrictions liées à la COVID-19. Près de 9 candidats sur 10 (89 %) affirment s'être sentis bien informés au sujet du processus de mise en candidature.
Les trois quarts des candidats disent qu'il était très (32 %) ou plutôt (45 %) facile de respecter les exigences de mise en candidature, ce qui représente pratiquement la même proportion qu'en 2019. Deux sur dix affirment avoir eu de la difficulté dans une certaine mesure.
Description de la « Graphique 4 : Facilité de respecter les exigences de mise en candidature »
Q4 : Dans quelle mesure avez-vous trouvé facile de respecter les exigences de mise en candidature?
Base : tous les répondants, y compris ceux qui ont répondu « Incertain(e) » (1 % des répondants).
Les groupes suivants sont plus susceptibles de trouver le processus de mise en candidature très facile :
Les répondants qui estiment que le processus de mise en candidature était plutôt ou très difficile (22 % d'entre eux, n=239) invoquent principalement la difficulté à obtenir des signatures (67 %), et ce, dans une proportion beaucoup plus élevée que lors de la 43e EG (39 %). Un peu moins d'un candidat sur cinq (18 %) mentionne la difficulté à respecter la date limite, ce qui représente une proportion semblable à celle de 2019, et un sur dix invoque des renseignements peu clairs ou incohérents. En 2021, les répondants sont un peu moins susceptibles qu'en 2019 de mentionner des difficultés liées au fait d'être candidats indépendants ou membres de petits ou de nouveaux partis, à la quantité trop importante de formalités administratives ou à des exigences non expliquées.
| Raisons | 2021
(n = 239) |
2019
(n = 223) |
|---|---|---|
| Difficulté à obtenir le nombre requis de signatures | 67 % | 39 % |
| Difficulté à respecter la date limite | 18 % | 15 % |
| Processus d'information peu clair/incohérent | 9 % | 9 % |
| Difficultés rencontrées par les candidats indépendants ou les membres de petits ou nouveaux partis | 8 % | 14 % |
| Trop de formalités administratives | 7 % | 24 % |
| Procédures ou exigences non expliquées | 5 % | 20 % |
| Difficulté à travailler avec le directeur du scrutin | 5 % | - |
| Difficulté à présenter une preuve d'identité | 4 % | - |
| La signature est une exigence inutile/déraisonnable | s.o. | 10 % |
| Autre | 6 % | 3 % |
| Ne sait pas/Pas de réponse | 3 % | 4 % |
Q5 : Pourquoi avez-vous trouvé cela difficile de respecter les exigences de mise en candidature?
Base : candidats ayant trouvé difficile de satisfaire aux exigences.
Les réponses sont plutôt semblables d'un sous-groupe de candidats à un autre. La difficulté à obtenir le nombre requis de signatures est la réponse la plus fréquente pour tous, mais elle est plus fréquente chez les candidats qui n'en sont pas à leur première élection (76 %), par rapport aux candidats qui en sont à leur première élection (61 %).
Presque tous les candidats (94 %) sont satisfaits dans une certaine mesure du délai de traitement des actes de candidature par le DS, et les trois quarts (77 %) se disent très satisfaits. Cette proportion est statistiquement la même qu'en 2019.
Q6 : Dans quelle mesure étiez-vous satisfait(e) du délai de traitement de votre candidature par le directeur du scrutin?
Base : tous les répondants, y compris ceux qui ont répondu « Incertain(e) » (1 % des répondants).
Le taux de satisfaction est semblable d'un sous-groupe de candidats à un autre, mais les groupes suivants sont plus susceptibles d'être très satisfaits :
Les candidats devaient dire s'ils avaient eu des difficultés à trouver un agent officiel ou un vérificateur. De faibles minorités de répondants affirment avoir eu des difficultés à trouver un agent officiel (20 % des répondants) ou un vérificateur (13 % des candidats ayant rapporté avoir eu besoin d'un vérificateur); ces proportions sont toutes deux comparables à celles obtenues après la 43e EG.
Description de la « Graphique 6 : Difficultés à trouver un agent officiel »
Q7A : Avez-vous eu des difficultés à trouver un agent officiel?
Base : la moitié des répondants, y compris ceux qui ont répondu « Incertain(e) » (1 % des répondants).
Description de la « Graphique 7 : Difficultés à trouver un vérificateur »
Q7B : Avez-vous eu des difficultés à trouver un vérificateur?
Base : la moitié des répondants.
Une minorité de candidats dit avoir eu des difficultés à trouver un agent officiel, mais ceux avec moins d'expérience en politique ou membre de petits partis sont plus susceptibles d'avoir trouvé cette étape difficile :
Les difficultés à trouver un vérificateur sont peu répandues en général, mais plus fréquentes chez les candidats qui en sont à leur première élection (11 %) par rapport aux candidats qui n'en sont pas à leur première élection (5 %).
Parmi les candidats qui déclarent avoir eu des difficultés à trouver un agent officiel (20 % des répondants, n=107), une faible majorité (55 %) affirme simplement qu'il était difficile de trouver une personne volontaire ou disponible, ce qui était aussi la réponse la plus fréquente en 2019 (67 %). Plus de 2 personnes sur 10 (24 %) disent avoir eu de la difficulté à trouver quelqu'un ayant les compétences requises ou sont d'avis qu'il s'agit d'un travail difficile avec beaucoup de responsabilités (22 %). Moins d'une personne sur dix a fourni une autre réponse lui venant à l'esprit, comme le délai trop court (9 %) ou la quantité trop importante de formalités administratives (8 %).
Les réponses sont semblables d'un sous-groupe de candidats à un autre; la difficulté à trouver une personne volontaire ou disponible pour assumer le rôle d'agent officiel est la réponse la plus fréquente pour chaque groupe.
Description de la « Graphique 8: Difficultés à trouver un agent officiel »
Q8 : Quelles difficultés avez-vous rencontrées en cherchant [SI 7A : un agent officiel; SI 7B : un vérificateur]?
Base : n=107; candidats ayant eu des difficultés à trouver un agent officiel.
Les difficultés à trouver un vérificateur sont comparables à celles à trouver un agent officiel. Parmi les candidats qui ont eu de la difficulté à trouver un vérificateur (13 % de ceux qui en avaient besoin, n=45), plus de 4 sur 10 (44 %) affirment qu'il n'était pas facile de trouver une personne volontaire ou disponible, et un peu moins de 4 sur 10 (38 %) disent qu'il n'était pas facile de trouver une personne qualifiée. Pour 2 répondants sur 10, les honoraires étaient trop élevés ou ils n'en avaient pas les moyens. Peu de candidats ont rapporté d'autres difficultés.
Les sous-groupes sont trop petits pour permettre une analyse des différences entre eux.
Description de la « Graphique 9: Difficultés à trouver un vérificateur »
Q8 : Quelles difficultés avez-vous rencontrées en cherchant [SI 7A : un agent officiel; SI 7B : un vérificateur]?
Base : n=45; candidats ayant eu des difficultés à trouver un vérificateur.
Un peu plus de la moitié (54 %) des candidats disent qu'il était plutôt ou très facile de recueillir des signatures pour appuyer leur candidature malgré les restrictions liées à la COVID-19; près de la moitié (45 %) des répondants disent qu'il était difficile de le faire dans une certaine mesure.
Q9 : Compte tenu des restrictions liées à la COVID-19 dans votre région, à quel point a-t il été facile ou difficile de recueillir des signatures d'électeurs appuyant votre candidature?
Base : tous les répondants, y compris ceux qui ont répondu « Incertain(e) » (1 % des répondants).
Les candidats handicapés sont plus susceptibles que les candidats n'ayant aucune déficience de trouver la collecte de signatures d'électeurs difficile compte tenu des restrictions liées à la COVID-19 (64 % contre 43 %).
Les groupes suivants sont cependant plus susceptibles de dire qu'il était facile dans une certaine mesure de recueillir des signatures d'électeurs appuyant leur candidature malgré les restrictions liées à la COVID-19 :
Près de 9 candidats sur 10 (89 %) disent s'être sentis plutôt ou très bien informés du processus de mise en candidature d'EC, comme en 2019. Un candidat sur dix estime qu'il n'était pas très bien ou pas du tout informé.
Q10 : En général, dans quelle mesure étiez-vous bien informé(e) du processus de mise en candidature d'Élections Canada?
Base : tous les répondants, y compris ceux qui ont répondu « Incertain(e) » (1 % des répondants).
Dans chaque sous-groupe, la majorité des répondants disent s'être sentis plutôt ou très bien informés. Plus les candidats sont âgés, plus ils sont susceptibles de se déclarer très bien informés (31 % de candidats de moins de 35 ans, par rapport à 49 % de candidats de 60 ans et plus), tout comme les sous-groupes suivants :
Les deux tiers (65 %) des candidats disent que leur équipe de campagne a utilisé le portail en ligne, généralement pour télécharger du matériel électoral. Selon 9 sur 10 (90 %) d'entre eux, on y trouvait des renseignements utiles, et selon 8 sur 10 d'entre eux, il était facile de créer un compte (81 %) et d'accéder aux documents (79 %). Les trois quarts (76 %) des utilisateurs se disent satisfaits de leur expérience globale dans une certaine mesure. Les candidats qui n'ont pas utilisé le portail citent comme principale raison le fait qu'ils n'avaient pas besoin de l'utiliser (34 %).
Les deux tiers (65 %) des candidats disent que leur équipe de campagne a utilisé le Centre de service aux entités politiques, dont 4 candidats sur 10 (41 %), qui l'ont utilisé personnellement. Deux candidats sur dix (19 %) affirment qu'aucun membre du personnel de leur campagne ne l'a utilisé, alors que moins d'un candidat sur dix (7 %) n'en connaissait pas l'existence; un candidat sur dix se dit incertain. Ce taux d'utilisation est beaucoup plus élevé qu'il ne l'était à la 43e EG, en 2019 (47 % des candidats affirmaient alors qu'un membre de leur personnel avait utilisé le portail, contre 33 %, qui affirmaient le contraire).
Description de la « Graphique 12 : Utilisation du portail par l'équipe de campagne du candidat »
Q11 :Élections Canada offre un portail Web sécurisé appelé Centre de service aux entités politiques, que les candidats peuvent utiliser pour accéder aux produits et services électoraux. Est-ce que votre représentant ou vous-même avez utilisé le portail?
Base : n=1 075; tous les répondants.
Dans la plupart des sous-groupes, la majorité des candidats, soit 6 candidats sur 10 ou plus, affirment que leur équipe de campagne a utilisé le portail. La proportion des candidats ayant utilisé le portail personnellement est plus élevée dans les groupes suivants :
Les candidats qui ont déclaré que leur équipe de campagne avait utilisé le portail (65 % des répondants, n=698) devaient préciser la nature de l'utilisation qui en a été faite. Cinq réponses possibles leur ont été présentées, et ils pouvaient en offrir d'autres. L'utilisation principale consistait à télécharger du matériel électoral (60 %), ce qui est comparable à ce qui avait été fait en 2019 (56 %). Au deuxième rang figure l'utilisation du portail pour soumettre des rapports financiers (37 %), suivie de l'utilisation pour accéder aux résultats après scrutin ou obtenir du matériel (35 % contre 28 % en 2019). Environ 3 candidats sur 10 ont utilisé le portail pour tenir à jour leur compte ou leurs coordonnées (31 % contre 27 % en 2019), ou pour soumettre leur acte de candidature par voie électronique (30 %, comme en 2019). Ils sont très peu nombreux à l'avoir utilisé pour chercher de l'information ou acquérir de la formation en général.
Description de la « Graphique 13: Nature de l'utilisation du portail »
Q12 : Quelle utilisation, votre représentant ou vous-même, avez-vous faite du portail?
Base : n=698; candidats dont l'équipe de campagne a utilisé le portail.
Les réponses des candidats dont l'équipe de campagne a utilisé le portail sont généralement semblables d'un sous-groupe à un autre. Le téléchargement de matériel électoral est l'utilisation la plus souvent mentionnée par presque tous les sous-groupes.
Les candidats qui ont utilisé le portail personnellement (41 % des répondants, n=450) devaient préciser dans quelle mesure ils étaient d'accord avec plusieurs énoncés portant sur le portail. Au moins sept candidats sur dix sont d'accord dans une certaine mesure avec la plupart des énoncés, à une exception près. Le taux de candidats qui se déclarent d'accord avec les énoncés est similaire au taux de 2019 dans la plupart des cas (base : n=292).
La forte proportion (90 %) des candidats qui ont utilisé le portail estiment qu'on y trouvait des renseignements utiles; et selon 8 sur 10 d'entre eux, il était facile de créer un compte (81 %) et d'accéder aux documents (79 %). Selon les trois quarts (73 %) de ces répondants, les renseignements personnels des candidats et des électeurs étaient bien protégés sur le portail, et selon 7 répondants sur 10 (69 %), il était facile d'y naviguer.
Parmi les candidats qui ont utilisé le portail pour soumettre leur acte de candidature, 75 % conviennent que le portail était un moyen pratique de le faire (un pourcentage un peu plus faible que celui de 82 % en 2019). Soixante-dix pour cent de ceux qui s'en sont servi pour soumettre leurs rapports financiers affirment que le portail était un moyen pratique de le faire, mais le taux de répondants fortement d'accord avec cet énoncé est nettement inférieur au taux de répondants fortement d'accord avec les énoncés précédents.
Un tiers (35 %) seulement des répondants estiment que le portail était compatible avec leurs appareils mobiles, ce qui s'explique toutefois par le fait qu'un pourcentage important – plus de la moitié – des répondants disent qu'ils en sont incertains, probablement parce qu'ils n'ont pas essayé d'accéder au portail à l'aide d'un appareil mobile. La proportion des répondants qui sont d'accord avec cet énoncé est statistiquement plus élevée qu'elle ne l'était en 2019 (14 %).
Description de la « Graphique 14 : Expérience du portail »
Q13 : Dans quelle mesure êtes-vous en accord ou en désaccord avec les énoncés suivants à propos du portail?
Base : n=450; candidats qui ont utilisé le portail personnellement.
* Base : candidats qui ont utilisé le portail pour soumettre leur acte de candidature par voie électronique.
** Base : candidats qui ont utilisé le portail pour soumettre leurs rapports financiers par voie électronique.
Le taux de candidats qui se déclarent d'accord avec les énoncés est essentiellement le même d'un sous-groupe de candidats à l'autre, et peu de tendances marquées s'en dégagent (beaucoup de sous-groupes sont trop petits pour figurer dans les résultats).
Les trois quarts (76 %) des candidats dont l'équipe de campagne a utilisé le portail se disent satisfaits dans une certaine mesure de leur expérience globale en tant qu'utilisateurs, et près d'un quart affirment en être très satisfaits; à peine plus d'un sur dix se dit insatisfait dans une certaine mesure, et un sur dix est incapable de se prononcer. Le taux de satisfaction globale est plus élevé qu'il ne l'était à la 43e EG (65 %).
Le taux de satisfaction est plutôt uniforme d'un sous-groupe de candidats à un autre, mais il est plus élevé en Alberta (87 %) qu'ailleurs (de 70 % à 77 %).
Description de la « Graphique 15 : Satisfaction à l'égard du portail »
Q14 : Dans quelle mesure [étiez-vous/votre représentant(e) était] satisfait(e) de [votre/son] expérience globale en tant qu'utilisateur du portail?
Base : n=698; candidats dont l'équipe de campagne a utilisé le portail.
La faible proportion des répondants dont l'équipe de campagne n'a pas utilisé le portail (19 % des répondants, n=202) ont été questionné sur leur réponse. La principale raison, donnée par un tiers des répondants, est qu'ils n'avaient pas eu besoin de l'utiliser. Un quart des répondants affirment qu'ils n'avaient pas eu le temps de l'utiliser, alors qu'un répondant sur six a dit que le portail était difficile à utiliser ou complexe. Un nombre moindre de répondants ont donné d'autres raisons personnelles de ne pas avoir utilisé le portail, et un peu moins d'un répondant sur cinq (17 %) n'a donné aucune raison.
Description de la « Graphique 16 : Raison de l'inutilisation du portail »
Q15 :Pourquoi n'avez-vous pas utilisé le portail?
Base : n=202; candidats dont l'équipe de campagne n'a pas utilisé le portail.
Dans cet ensemble limité de candidats, les réponses sont généralement semblables (beaucoup de sous-groupes sont trop petits pour permettre une analyse à cette échelle). Globalement, le fait de ne pas avoir eu besoin d'utiliser le portail et le fait de ne pas avoir eu le temps de l'utiliser ou d'avoir été trop occupé sont les réponses les plus fréquentes.
Les produits d'EC les plus utilisés en 2021 étaient les listes des bureaux de vote (60 %), les cartes des zones de service des lieux de vote (55 %) et les listes électorales (50 %). Parmi les candidats qui ont utilisé les listes électorales, huit sur dix (82%) se disent satisfaits de leur qualité dans une certaine mesure. Près de la moitié (48 %) des candidats qui ont utilisé les listes des bureaux de vote trouvent que le format papier et le format électronique sont aussi utiles l'un que l'autre. Les 12 % des candidats qui se sont servis des produits d'EC pour communiquer avec les électeurs affirment que la brochure Guide pour l'élection fédérale (37 %) et les infographies (36 %) ont été les produits les plus utiles. Près de 9 candidats sur 10 (85 %) disent que les produits d'EC ont été relativement ou très utiles durant la campagne.
Les trois quarts (74 %) des campagnes ont été représentés à une séance d'information pour tous les candidats. Huit candidats sur dix (79 %) parmi ceux qui y ont assisté l'ont trouvée utile, et la majorité s'est dite satisfaite du format de la séance à laquelle ils ont assisté, que ce soit en personne (91 %) ou en ligne (89 %). Quant aux procédures et lignes directrices d'EC concernant la COVID-19, les deux tiers (65 %) des candidats disent les avoir trouvées utiles dans une certaine mesure. Huit candidats ou plus sur dix parmi ceux qui ont communiqué avec EC (par le bureau local, par courriel ou par la ligne de soutien sans frais) se disent satisfaits des services reçus.
Les candidats devaient indiquer, parmi une liste des produits d'EC, lesquels ils avaient utilisés. Les produits les plus utilisés en 2021 étaient les listes des bureaux de vote, les cartes des zones de service des lieux de vote et les listes électorales. Le taux d'utilisation de chaque produit est plutôt ou nettement inférieur à celui de 2019; particulièrement celui des cartes des zones de service des lieux de vote (baisse de 15 %), celui des cartes de bingo (baisse de 17 %) et celui du manuel sur le financement politique (baisse de 16 %).
| Raisons | 2021 | 2019 |
|---|---|---|
| n= (tous les candidats) | 1 075 | 1 172 |
| Listes des bureaux de vote | 60 % | 68 % |
| Cartes des zones de service des lieux de vote | 55 % | 70 % |
| Listes électorales, y compris les listes préliminaires, les listes révisées et les listes officielles | 50 % | 57 % |
| Manuel sur le financement politique des candidats et des agents officiels | 48 % | 64 % |
| Cartes de bingo | 24 % | 41 % |
| Vidéos de formation sur le financement politique | 20 % | s.o. |
| Produits d'Élections Canada pour communiquer avec les électeurs | 12 % | 18 % |
| N'a utilisé aucun produit d'Élections Canada/Incertain(e)/Refus | 18 % | 13 % |
Q16 : Quels produits d'Élections Canada avez-vous utilisés?
En général, les groupes les plus susceptibles de déclarer avoir utilisé les trois produits ou services en tête de liste sont ceux qui sont plus établis, à savoir les candidats d'un parti représenté à la Chambre des communes, les candidats élus, les députés sortants, les candidats qui n'en sont pas à leur première élection et ceux dont le revenu familial est le plus élevé. Voici les proportions précises :
Tout comme en 2019, près de la moitié (48 %) des candidats qui disent avoir utilisé les listes des bureaux de vote trouvent que le format papier et le format électronique sont aussi utiles l'un que l'autre. En 2021, un tiers des candidats disent préférer le format électronique, alors qu'un candidat sur sept (17 %) dit préférer le format papier; il s'agit d'une proportion plus faible qu'aux élections fédérales passées.
Description de la « Graphique 17 : Listes des bureaux de vote – format le plus utile »
Q17 : Selon vous, quel format de la liste à jour des bureaux de vote a été le plus utile?
Base : candidats qui ont utilisé les listes des bureaux de vote, y compris ceux qui ont répondu « Incertain(e)7nbsp;» (6 % des répondants).
Cette tendance se manifeste dans tous les sous-groupes de candidats. Une minorité de candidats préfèrent les listes des bureaux de vote en format papier. Cette préférence est un peu plus marquée dans les groupes suivants :
Parmi les candidats qui ont utilisé les listes électorales (50 % des répondants, n = 531), 8 sur 10 (82 %) sont satisfaits de leur qualité dans une certaine mesure, et 3 sur 10 en sont très satisfaits. Un candidat sur dix se dit insatisfait dans une certaine mesure. Ces proportions sont statistiquement comparables aux proportions des candidats qui, en 2019, ont été interrogés au sujet de leur satisfaction sur la même échelle de quatre points.
Q18 : Dans quelle mesure étiez-vous satisfait(e) de la qualité globale des listes électorales?
Base : candidats ayant utilisé les listes électorales.
Les candidats affirmant avoir utilisé les produits de communication d'EC (n = 133) devaient préciser lesquels des quatre outils avaient été les plus utiles à leur campagne (plusieurs réponses étaient permises). Les produits les plus utiles ont été la brochure Guide pour l'élection fédérale (37 %) et les infographies (36 %, un pourcentage statistiquement plus élevé qu'en 2019). Cette fois encore, près de 4 candidats sur 10 n'ont précisé aucun produit de communication qui leur a été utile.
Les opinions sont plutôt semblables d'un sous-groupe de candidats à un autre; beaucoup de sous-groupes sont trop petits pour permettre une analyse approfondie.
Description de la « Graphique 19 : Produits de communication utiles »
Q19 : Quels produits offerts par Élections Canada pour communiquer avec les électeurs ont été les plus utiles à votre campagne?
Base : candidats ayant utilisé les produits d'EC pour communiquer avec les électeurs.
Les candidats qui ont utilisé les cartes des zones de service des lieux de vote (55 % des répondants, n=592) devaient préciser lesquels des trois formats ils avaient utilisés; plusieurs réponses étaient permises. Comme aux années précédentes, la réponse la plus fréquente – donnée par 7 candidats sur 10 cette élection-ci – est le format papier. Quatre candidats sur dix ont utilisé les cartes en format PDF (42 %), et un candidat sur six (16 %) a utilisé le Visualisateur électoral en ligne sur le portail. Statistiquement, les candidats sont moins nombreux à avoir utilisé les cartes en format papier et plus nombreux à les avoir utilisées en format PDF qu'à la 43e EG.
Description de la « Graphique 20 : Formats des cartes des zones de service des lieux de vote »
Q20 : Quels formats de cartes des zones de services des lieux de vote avez-vous utilisés?
Base : candidats ayant utilisé les cartes des zones de services des lieux de vote, y compris ceux qui ont répondu « Incertain(e) » (8 % des répondants).
Voici des différences notables concernant les formats utilisés :
Les candidats qui ont utilisé au moins un produit d'EC (n = 888) devaient préciser dans quelle mesure ils l'avaient trouvé utile en pensant à ce dont ils avaient besoin pour mener leur campagne. Comme en 2019, une forte majorité des candidats, soit près de 9 sur 10, disent que les produits d'EC ont été relativement ou très utiles. À peine plus d'un candidat sur dix les a trouvés peu utiles ou ne les a pas trouvés utiles du tout.
Description de la « Graphique 21 : Utilité des produits d'Élections Canada pour la campagne »
Q21 En pensant à ce dont vous aviez besoin pour mener votre campagne, dans quelle mesure les produits d'Élections Canada vous ont ils été utiles?
Base : candidats ayant utilisé les produits d'Élections Canada, y compris ceux qui ont répondu « Incertain(e) » (3 % des répondants).
Les groupes suivants sont plus susceptibles de trouver les produits d'EC très utiles :
Parmi les utilisateurs des produits d'EC, un petit nombre ne les ont pas trouvés utiles (n = 109). Ces candidats sont plus susceptibles d'affirmer que les cartes de bingo (32 %) et les cartes des zones de service des lieux de vote (30 %) n'étaient pas utiles, ces deux choix étant suivis des produits pour communiquer avec les électeurs (26 %) et des listes électorales (24 %). Ces résultats sont plutôt semblables à ceux de 2019, mais la proportion des candidats ayant mentionné les cartes des zones de service des lieux de vote est plus élevée (16 % en 2019).
Les opinions sont plutôt semblables d'un sous-groupe de candidats à un autre; la plupart des sous-groupes sont trop petits pour permettre une analyse approfondie.
Description de la « Graphique 22 : Produits d'Élections Canada qui n'étaient pas utiles »
Q22 : Selon vous, quels produits d'Élections Canada n'étaient pas utiles?
Base : n=109; candidats n'ayant pas trouvé les produits d'EC utiles.
Les trois quarts (74 %) des candidats affirment avoir assisté à une séance d'information pour tous les candidats pour la 44e EG ou y avoir envoyé un membre du personnel de leur campagne. Près de la moitié des candidats y ont assisté eux-mêmes, soit en personne ou en vidéoconférence; cette proportion est comparable à celle de 2019.
| Participation | 2021 | 2019 |
|---|---|---|
| n = (tous les candidats) | 1 075 | 1 172 |
| Résultat net : Équipe de campagne a assisté | 74 % | s.o. |
| Candidat a assisté lui-même (résultat net) | 47 % | 47 % |
| Candidat, en personne | 31 % | s.o. |
| Candidat, en vidéoconférence | 17 % | s.o. |
| Autre membre de l'équipe de campagne (résultat net) | 47 % | s.o. |
| Délégué ou directeur de campagne, en personne ou à distance | 27 % | 37 % |
| Agent officiel, en personne ou à distance | 16 % | 19 % |
| Autre | 1 % | s.o. |
| Personne n'a assisté à la rencontre | 26 % | 21 % |
| Ne sait pas/Pas de réponse | s.o. | 4 % |
Q23 : Le directeur du scrutin de votre circonscription a organisé une rencontre pour tous les candidats en vue de l'élection générale. Veuillez choisir toutes les réponses qui s'appliquent.
La proportion des candidats ayant assisté à la séance d'information eux-mêmes (soit en personne ou virtuellement) est plus élevée dans les sous-groupes suivants :
La proportion des candidats représentés à la séance par un autre membre de leur équipe de campagne (leur directeur, délégué ou agent officiel) est plus élevée dans les sous-groupes suivants :
La proportion des candidats pour lesquels aucun membre de leur équipe de campagne n'a assisté à la séance est plus élevée dans les sous-groupes suivants :
Les candidats dont l'équipe de campagne a été représentée à la séance d'information pour tous les candidats (n = 788) devaient dire dans quelle mesure la séance avait été utile. Huit candidats sur dix (79 %) la qualifient d'utile, un tiers la qualifiant de très utile. À peine plus d'un candidat sur dix l'a trouvée peu utile ou ne l'a pas trouvée utile du tout.
Description de la « Graphique 23 : Utilité de la séance d'information pour tous les candidats »
Q24 : Dans quelle mesure la séance d'information des candidats a-t elle été utile?
Base : candidats ayant assisté ou ayant été représentés à la séance d'information.
Selon la majorité des candidats dans tous les sous-groupes, la séance d'information pour tous les candidats a été utile dans une certaine mesure. Les groupes suivants sont plus susceptibles de la qualifier de très utile :
Les candidats qui ont assisté à la séance d'information pour tous les candidats, en personne ou à distance (n = 515), devaient préciser dans quelle mesure ils étaient satisfaits du format de cette séance. Globalement, le taux de satisfaction est extrêmement élevé à l'égard des deux formats (91 % pour le format en personne et 89 % pour le format en ligne). Or, les candidats sont plus nombreux à être très satisfaits du format en personne qu'à être très satisfaits du format en ligne.
Q25A : Dans quelle mesure étiez-vous satisfait(e) du format de la séance d'information en personne pour tous les candidats?
Q25B : Dans quelle mesure étiez-vous satisfait(e) du format de la séance d'information à distance pour tous les candidats?
Base : candidats ayant assisté eux-mêmes à la séance d'information, y compris ceux qui sont incertains de l'avoir fait, en personne ou en vidéoconférence (2 % des répondants).
Le taux de satisfaction global est élevé de façon plutôt uniforme parmi les sous-groupes, mais les groupes suivants sont plus susceptibles d'être très satisfaits de chaque format :
Le très petit nombre de candidats qui se disent insatisfaits dans une certaine mesure de l'un ou de l'autre des formats (n = 42) donnent comme raison que la séance d'information ne leur a pas fourni d'information utile (39 %) ou qu'elle n'a pas été captivante (23 %). Quelques candidats ont donné d'autres raisons personnelles. Ces sous-groupes sont trop petits pour être analysés.
Q26 : Pourquoi étiez-vous insatisfait(e) du format de la [SI SEULEMENT A : séance d'information en personne pour tous les candidats; SI SEULEMENT B : séance d'information à distance pour tous les candidats; SI A ET B : séance d'information en personne et à distance pour tous les candidats]?
Base : n=42; candidats se disant insatisfaits du format de la séance d'information.
Tous les candidats devaient dire dans quelle mesure ils avaient trouvé utiles les procédures et lignes directrices d'EC concernant la COVID-19. Les deux tiers (65 %) d'entre eux les ont trouvées utiles dans une certaine mesure, alors qu'un peu moins du quart affirme qu'elles étaient peu ou pas du tout utiles. Un candidat sur dix est incapable de se prononcer. Trois candidats sur dix les qualifient de très utiles.
Q27 : Dans quelle mesure les procédures et lignes directrices d'Élections Canada pour prévenir la propagation de la COVID-19 ont-elles été utiles?
Base : n = 1 075; tous les répondants.
La majorité des candidats des différents sous-groupes ont trouvé les lignes directrices et procédures utiles, à une exception près : les candidats d'un parti non représenté à la Chambre des communes sont autant susceptibles d'affirmer qu'elles étaient utiles (43 %) que d'affirmer qu'elles ne l'étaient pas (40 %).
Les groupes suivants sont plus susceptibles de qualifier de très utiles les lignes directrices d'EC :
Bien que les hommes et les femmes soient aussi susceptibles les uns que les autres de qualifier les lignes directrices de très utiles (31 %), les femmes sont plus susceptibles que les hommes de les trouver plutôt ou très utiles (70 % contre 61 %).
Les candidats devaient dire si leur équipe de campagne avait communiqué avec EC pendant l'élection de l'une de trois façons. Tous les candidats qui ont répondu au sondage en ligne et le tiers de ceux qui y ont répondu au téléphone devaient dire s'ils avaient communiqué avec EC par la ligne de soutien sans frais, par l'intermédiaire du bureau local ou par courriel.
Une forte majorité (86 %) des candidats affirment que leur équipe de campagne a communiqué avec le bureau local d'EC – une proportion identique à celle de 2019. Près de la moitié (47 %) ont communiqué avec EC par courriel, et le tiers (32 %), par la ligne de soutien sans frais, ce qui est statistiquement moins élevé qu'en 2019.
| Année | Oui | Non | Incertain(e) |
|---|---|---|---|
| Bureau local d'EC | |||
| 2021 (n = 787) | 86 % | 10 % | 3 % |
| 2019 (n = 611) | 86 % | 12 % | 2 % |
| Courriel | |||
| 2021 (n = 787) | 47 % | 37 % | 16 % |
| Ligne de soutien sans frais | |||
| 2021 (n = 787) | 32 % | 50 % | 18 % |
| 2019 (n = 561) | 39 % | 43 % | 18 % |
Q28 : Pendant l'élection, avez-vous, ou un de vos représentant(e)s :
Base : candidats ayant répondu au sondage en ligne et un tiers des candidats ayant répondu au téléphone pour chacune des façons de communiquer avec EC.
Concernant l'utilisation du courriel et de la ligne sans frais pour communiquer avec EC, les proportions sont plutôt semblables d'un sous-groupe à l'autre. Les groupes suivants sont plus susceptibles d'avoir communiqué avec le bureau local d'EC :
Pour chaque mode de communication qu'ils avaient utilisé, les candidats devaient indiquer dans quelle mesure ils étaient satisfaits des services reçus. Parmi les candidats qui ont communiqué avec le bureau local d'EC, 9 sur 10 (90 %) se disent satisfaits, et plus de 6 sur 10 se disent très satisfaits; ces proportions sont comparables à celles de 2019. Parmi les candidats qui ont contacté EC par courriel, près de 9 candidats sur 10 (85 %) se disent satisfaits dans une certaine mesure, et parmi les candidats qui ont utilisé la ligne de soutien sans frais, 8 sur 10 (79 %) se disent satisfaits de leur expérience (ces proportions sont comparables à celles de 2019). Or, les candidats sont moins nombreux à être très satisfaits de ces deux dernières méthodes qu'à être très satisfaits de leur appel ou de leur visite au bureau local d'EC.
| Année | Très satisfait(e) | Assez satisfait(e) | Plutôt insatisfait(e) | Très insatisfait(e) |
|---|---|---|---|---|
| Bureau local d'EC | ||||
| 2021 (n = 681) | 63 % | 27 % | 7 % | 3 % |
| 2019 (n = 522) | 64 % | 24 % | 5 % | 4 % |
| Courriel | ||||
| 2021 (n = 373) | 53 % | 32 % | 8 % | 3 % |
| Ligne de soutien sans frais | ||||
| 2021 (n = 253) | 44 % | 35 % | 10 % | 5 % |
| 2019 (n = 185) | 42 % | 32 % | 11 % | 11 % |
Q29 : Dans quelle mesure étiez-vous satisfait(e) des services reçu…:
Base : candidats ayant utilisé chacun des modes de communication, y compris ceux qui ont répondu « Incertain(e) » (1 % dans le cas du bureau local d'EC, 4 % dans le cas de la communication par courriel, et 6 % dans le cas de la ligne de soutien sans frais).
Le taux de satisfaction à l'égard des services reçus par chacune des trois façons est très uniforme d'un sous-groupe à un autre, à quelques exceptions près.
Malgré la pandémie, 7 candidats sur 10 (69 %) ont interagi avec les électeurs en faisant du porte-à-porte, et près de 6 répondants sur 10 (56 %) ont participé à des événements en personne ou à d'autres activités de rayonnement. Un quart (24 %) des candidats affirment avoir fourni au directeur du scrutin une liste de noms pour le recrutement de personnel électoral pour travailler dans les bureaux de vote. Presque tous les répondants (96 %) qui affirment avoir utilisé les listes électorales (à savoir 68 % des candidats) ont pris des mesures pour protéger les renseignements personnels qu'elle contenait, généralement en y limitant l'accès (51 %) ou en la conservant en lieu sûr (24 %). Plus de 4 candidats sur 10 (44 %) ont pris des mesures pour que leur campagne soit accessible aux électeurs handicapés, le plus souvent en tenant leurs activités dans des lieux accessibles en fauteuil roulant (26 %). Un peu plus du tiers (37 %) des répondants étaient au courant des incitatifs financiers quand ils ont décidé de se porter candidats, mais peu d'entre eux (8 %) disent que le remboursement a eu une incidence pour eux.
a pandémie a posé des défis particuliers aux candidats pendant la 44e EG. Nous avons demandé aux candidats comment ils ont interagi avec les électeurs durant leur campagne, compte tenu des lignes directrices de la santé publique; des réponses possibles leur étaient affichées en ligne, mais elles n'ont pas été lues au téléphone.
Malgré la pandémie, la majorité des candidats ont interagi avec les électeurs en personne : 7 sur 10 (69 %) ont fait du porte-à-porte, et près de 6 sur 10 (56 %) ont participé à des événements en personne et à d'autres activités de rayonnement. La moitié (51 %) des candidats ont interagi avec les électeurs par téléphone, et près de la moitié (45 %), par courriel. Un tiers des candidats disent avoir tenu des rassemblements virtuels (35 %), et un autre tiers disent avoir communiqué avec les électeurs par la poste (32 %). Relativement peu de candidats (12 %) disent avoir communiqué avec les électeurs par les médias sociaux.
Description de la « Graphique 27 : Interactions avec les électeurs durant la pandémie de COVID-19 »
Q30 : Compte tenu des lignes directrices de la santé publique concernant la COVID-19, comment avez-vous interagi avec les électeurs durant votre campagne?
Base : n = 1 075; tous les répondants, y compris ceux qui ont répondu « Incertain(e) » (2 % des répondants).
Voici les groupes les plus susceptibles d'avoir interagi avec les électeurs par diverses méthodes :
Un quart (24 %) des candidats affirment avoir fourni au DS une liste de noms pour le recrutement de personnel électoral pour travailler dans les bureaux de vote; cette proportion est statistiquement comparable à celle de 2019. Plus de la moitié ne l'ont pas fait, et un candidat sur dix ne savait pas qu'il pouvait le faire.
Q31 : Avez-vous fourni une liste de noms au directeur du scrutin pour le recrutement de personnel électoral pour travailler dans les bureaux de vote?
Base : tous les répondants.
Dans beaucoup de sous-groupes, seule une minorité de candidats ont fourni au DS une liste de noms pour le recrutement de personnel électoral pour travailler dans les bureaux de vote. Cette proportion est plus élevée dans les sous-groupes suivants, les candidats qui les composent ayant souvent plus d'expérience :
Les candidats qui n'ont pas fourni de liste de noms au DS (n = 598) devaient dire pourquoi ils ne l'avaient pas fait. La principale raison donnée, soit l'incapacité de trouver des personnes intéressées ou disponibles, avait aussi été la raison la plus courante en 2019. Près de deux candidats sur dix affirment que selon eux, il n'était pas nécessaire de fournir une liste (une proportion plus élevée qu'en 2019), et un candidat sur sept dit qu'il lui était difficile de le faire en tant que candidat indépendant ou membre d'un petit ou nouveau parti. Au plus un candidat sur dix cite d'autres raisons personnelles de ne pas avoir fourni de liste de noms pour le recrutement de personnel électoral.
| Raison | 2021
(n = 598) |
2019
(n = 724) |
|---|---|---|
| N'avait pas ou était incapable de trouver des personnes… (résultat net) | 28 % | 46 % |
| …intéressées ou disponibles | 26 % | s.o. |
| …compétentes | 2 % | s.o. |
| Pas nécessaire de fournir une liste | 18 % | 3 % |
| Difficultés rencontrées par les candidats indépendants ou les membres de petits ou nouveaux partis | 14 % | 8 % |
| Manque de temps pour trouver des candidats | 10 % | 10 % |
| Procédures non expliquées | 8 % | 4 % |
| Je ne voulais pas fournir de liste | 7 % | 5 % |
| Le directeur du scrutin n'a pas demandé une telle liste | 3 % | 4 % |
| Élections Canada/DS devrait s'en charger | 3 % | 4 % |
| Autres réponses | 6 % | 2 % |
| Incertain(e) / Refus | 17 % | 22 % |
Q32 : Pourquoi n'avez-vous pas fourni une liste de noms?
Base : candidats n'ayant pas fourni de liste de noms pour le recrutement de personnel électoral.
Les réponses sont plutôt semblables d'un sous-groupe de candidats à un autre. La proportion des candidats affirmant qu'ils n'avaient pas trouvé de personnes ou qu'ils étaient incapables d'en trouver varie peu selon que le parti du candidat est représenté ou non à la Chambre des communes, mais elle est plus élevée pour les groupes suivants :
Les deux tiers (66 %) des candidats disent avoir pris des mesures pour protéger les renseignements personnels contenus dans les listes électorales qu'ils ont reçues; le tiers des candidats disent qu'ils n'ont pas utilisé ces listes ou en sont incertains. Lorsque cette proportion est recalculée pour exclure les candidats qui n'ont pas utilisé les listes ou ne sont pas certains de les avoir utilisées, presque tous les candidats (96 %) ont pris certaines mesures pour protéger les renseignements personnels, ce qui est comparable au résultat de 2019. .
Au moins 9 candidats sur 10, dans chaque sous-groupe, disent avoir pris des mesures pour protéger les renseignements personnels.
Description de la « Graphique 29 : Prise de mesures pour protéger les renseignements personnels »
Q33 : Avez-vous pris des mesures pour protéger les renseignements personnels contenus dans les listes électorales que vous avez reçues?
Base : candidats ayant utilisé les listes.
Les candidats ayant pris des mesures pour assurer la protection des renseignements personnels contenus dans les listes électorales qu'ils ont reçues (n = 704) sont plus susceptibles d'affirmer avoir limité l'accès aux listes, avoir conservé les listes en lieu sûr ou avoir veillé à la destruction des listes à la fin de l'élection. Ces réponses étaient aussi les plus fréquentes en 2019. Or, les candidats sont un peu moins susceptibles cette fois-ci d'affirmer avoir conservé les listes en lieu sûr ou les avoir détruites.
| Mesure | 2021
(n = 704) |
2019
(n = 789) |
|---|---|---|
| A limité l'accès aux listes | 51 % | 52 % |
| A conservé les listes en lieu sûr ou sous clé | 24 % | 36 % |
| A veillé à la destruction des listes électorales à la fin de l'élection | 19 % | 24 % |
| A donné des directives sur l'utilisation des listes électorales | 9 % | 8 % |
| A crypté les listes | 9 % | 4 % |
| A gardé les listes à la maison ou au bureau | 4 % | 2 % |
| A établi des procédures pour recueillir les listes électorales après l'élection | 2 % | 2 % |
| A retourné les listes électorales au directeur du scrutin | 2 % | 3 % |
| Autre | 2 % | - |
| Incertain(e) / Refus | 13 % | 15 % |
Q34 : Quelles mesures avez-vous prises pour assurer la protection des renseignements personnels?
Base : candidats ayant pris des mesures de protection.
En général, les réponses sont plutôt semblables d'un sous-groupe de candidats à un autre.
Plus de 4 candidats sur 10 affirment avoir pris des mesures pour veiller à ce que les documents, les activités ou le site Web de leur campagne soient accessibles aux électeurs handicapés (une proportion un peu plus élevée qu'en 2019). Le quart des candidats ont dit ne pas l'avoir fait, et 3 sur 10 en sont incertains.
Description de la « Graphique 30 : Prise de mesures pour garantir l'accessibilité de la campagne »
Q35 : Avez-vous pris des mesures pour veiller à ce que les documents, les activités ou le site Web de votre campagne soient accessibles aux électeurs handicapés?
Base : tous les répondants.
Les groupes suivants sont plus susceptibles d'avoir pris des mesures d'accessibilité durant leur campagne :
Les candidats affirmant avoir pris des mesures pour rendre accessibles des éléments de leur campagne (n = 474) devaient préciser ce qu'ils avaient fait, sans que des choix de réponse leur soient proposés. Ils ont été plus susceptibles de dire que les activités se déroulaient dans un lieu accessible en fauteuil roulant (26 %, un pourcentage comparable à celui de 2019, soit 27 %), que leur campagne reposait sur divers moyens de communication (17 %), que leur site Web était accessible (15 %) ou qu'ils s'étaient informés des besoins des électeurs handicapés (15 %).
Description de la « Graphique 31 : Mesures d'accessibilité »
Q36 : Quelles mesures avez-vous prises pour rendre votre campagne accessible?
Base : n = 474; candidats ayant pris des mesures pour rendre leur campagne accessible.
En général, les réponses sont semblables dans l'ensemble. Les candidats qui se considèrent comme des personnes handicapées mentionnent des mesures d'adaptation semblables à celles offertes aux autres. Ils sont moins susceptibles de mentionner les lieux accessibles en fauteuil roulant (14 %, contre 28 % des autres candidats), mais plus susceptibles de mentionner le fait que les électeurs pouvaient lire le contenu publié dans les médias sociaux à l'aide d'un lecteur d'écran (23 % contre 12 %) ou l'offre de documents en gros caractères (13 % contre 4 %).
Un peu plus du tiers des répondants connaissaient les incitatifs financiers quand ils ont décidé de se porter candidats; cette proportion est la même qu'en 2019. Six sur dix ne les connaissaient pas.
Description de la « Graphique 32 : Connaissance des incitatifs financiers »
Q37 : La Loi électorale du Canada prévoit un remboursement partiel des dépenses électorales ainsi que de certaines dépenses personnelles comme les dépenses pour la garde d'un enfant et les dépenses relatives à un handicap. Lorsque vous avez décidé de vous porter candidat(e), connaissiez-vous ces incitatifs financiers?
Base : tous les répondants, y compris ceux qui ont répondu « Incertain(e) » (3 % des répondants).
La proportion des candidats qui connaissaient les incitatifs financiers est plus élevée parmi les candidats ayant davantage de ressources et d'expérience : les candidats d'un parti représenté à la Chambre des communes (42 %, contre 29 % des candidats d'un parti non représenté), les candidats élus (61 %, contre 33 % des candidats non élus), les députés sortants (66 %, contre 32 % des candidats qui ne sont pas députés sortants) et les candidats qui n'en sont pas à leur première élection (59 %, contre 24 % de ceux qui en sont à leur première élection).
Voici d'autres groupes dans lesquels la proportion des candidats qui connaissaient les incitatifs financiers est plus élevée :
Les trois quarts (77 %) des répondants qui connaissaient les incitatifs financiers offerts aux candidats (n = 395) disent que ces incitatifs n'ont eu aucune incidence sur leur décision de se porter candidats; une proportion semblable à celle de 2019. Environ un candidat sur douze dit que ces incitatifs ont eu une incidence modérée ou majeure sur sa décision.
Une forte majorité des candidats dans tous les sous-groupes affirment que cette information n'a eu aucune incidence sur leur décision de se porter candidats.
Q38 : Quelle incidence, le cas échéant, ces incitatifs financiers ont ils eue sur votre décision de vous porter candidat(e) à la dernière élection générale?
Base : candidats connaissant les incitatifs financiers, y compris ceux qui ont répondu « Incertain(e) » (1 % des répondants).
Sept candidats sur dix (69 %) se disent satisfaits des lieux de vote par anticipation et de vote le jour de l'élection. Le quart des candidats se dit insatisfait dans une certaine mesure, principalement en raison du manque de bureaux de vote ou de leur éloignement. Près de 8 candidats sur 10 (78 %) sont globalement satisfaits du processus de vote; les principales causes d'insatisfaction étant les longues files d'attente ou des problèmes avec le personnel d'EC. Environ un candidat sur six (16 %) dit que son représentant ou lui-même ont été témoins de problèmes associés aux exigences d'identification des électeurs en général (la moitié d'entre eux ont constaté ces problèmes assez ou très souvent), alors qu'un peu plus d'un sur dix (12 %) a été témoin de problèmes associés à l'utilisation de la CIE (62 % ont constaté ces problèmes assez ou très souvent). Près de la moitié (48 %) des candidats sont d'accord dans une certaine mesure qu'il était plus difficile d'observer le déroulement de l'élection à cause des mesures de sécurité liées à la COVID-19 aux bureaux de vote.
Parmi les répondants, 7 sur 10 (69 %) sont assez ou très satisfaits des lieux choisis pour le vote par anticipation et le vote le jour de l'élection, et un tiers en est très satisfait. Ces deux proportions sont inférieures à celles de 2019 (84 % étaient satisfaits, et parmi eux, 44 % se disaient très satisfaits). Le quart des candidats se dit insatisfait dans une certaine mesure.
Description de la « Graphique 34 : Satisfaction à l'égard des lieux de vote »
Q39 : Dans quelle mesure étiez-vous satisfait(e) des lieux choisis pour le vote par anticipation et le vote le jour de l'élection?
Base : tous les répondants.
Tous les sous-groupes de candidats se disent satisfaits des lieux choisis, mais le taux de satisfaction est plus élevé parmi les groupes suivants, y compris les groupes ayant moins d'expérience à titre de candidat (p. ex. candidats non élus, candidats qui en sont à leur première élection, candidats d'un parti non représenté à la Chambre des communes) :
Les candidats se disant insatisfaits des lieux de vote (n = 269) devaient en donner la raison, sans que des choix de réponse leur soient proposés; plusieurs réponses étaient permises. Nombre de problèmes ont été mentionnés, dont le manque de bureaux de vote (29 % pour les bureaux de vote par anticipation et 26 % pour les bureaux de vote le jour de l'élection) et l'éloignement des bureaux de vote (27 % pour les bureaux de vote par anticipation et 20 % pour les bureaux de vote le jour de l'élection). Un répondant sur sept a mentionné soit un manque de bureaux de vote au sein de campus d'établissements postsecondaires, soit des problèmes d'accessibilité aux bureaux de vote par anticipation. Environ un sur dix ou un peu moins fait état d'autres problèmes particuliers.
Il n'y a aucun écart important entre les sous-groupes ni aucune tendance parmi ceux-ci à signaler.
Description de la « Graphique 35 : Motifs d'insatisfaction à l'égard des lieux de vote »
Q40 : Pourquoi étiez-vous insatisfait des lieux de vote?
Base : n = 269; candidats insatisfaits des lieux de vote.
Près de 8 candidats sur 10 (78 %) sont globalement satisfaits du déroulement du vote les jours de vote par anticipation et le jour de l'élection, une proportion comparable à celle de 2019 (81 %); près de 4 sur 10 (38 %) sont très satisfaits, soit une proportion statistiquement inférieure à celle de 2019 (45 %). Un candidat sur six se dit insatisfait dans une certaine mesure.
Description de la « Graphique 36 : Satisfaction à l'égard du processus de vote »
Q41 : Dans quelle mesure étiez-vous satisfait(e) de la façon dont le vote s'est déroulé les jours de vote par anticipation et le jour de l'élection?
Base : tous les répondants.
Le taux de satisfaction est plutôt uniforme parmi les sous-groupes de candidats, mais les groupes suivants étaient globalement plus satisfaits que les autres :
La faible proportion de candidats se disant insatisfaite dans une certaine mesure du processus de vote (n = 186) devait en donner la raison, sans que des choix de réponse leur soient proposés; plusieurs réponses étaient permises. Les principaux motifs d'insatisfaction sont les longues files d'attente aux bureaux de vote par anticipation et le jour de l'élection (3 sur 10 dans les deux cas); un quart a eu des problèmes avec le personnel d'EC. Environ un candidat sur sept mentionne qu'il y avait trop peu de bureaux de vote soit pour le jour de l'élection, soit pour le vote par anticipation. Pas plus d'un sur dix ne mentionne d'autres problèmes, y compris un sur dix se disant insatisfait des protocoles liés à la COVID-19.
Description de la « Graphique 37 : Motifs d'insatisfaction à l'égard du processus de vote »
Q42 : Pourquoi étiez-vous insatisfait(e) du processus de vote?
Base : n = 186; candidats insatisfaits du processus de vote.
De façon générale, les problèmes cités sont similaires par sous-groupe. Toutefois, les mentions de presque tous les problèmes sont quelque peu plus fréquentes parmi les groupes ayant davantage d'expérience, soit les candidats d'un parti représenté à la Chambre des communes, les candidats élus et les députés sortants ainsi que ceux qui n'en sont pas à leur première élection. Voici les proportions par motif :
Comme en 2019, les candidats devaient répondre à une des deux questions sur les problèmes vécus relativement à l'identification des électeurs. L'analyse des résultats porte essentiellement sur les réponses des candidats qui ont dit avoir été présents au lieu de vote ou y avoir envoyé des représentants
Relativement peu de candidats (environ un candidat sur six ou 16 %) disent que leur représentant ou eux-mêmes ont été témoins de problèmes liés aux exigences d'identification des électeurs en général, soit une proportion comparable à celle de 2019 et uniforme parmi les sous-groupes.
Description de la « Graphique 38 : Problèmes associés aux exigences d'identification des électeurs »
Q43 : Avez-vous, ou votre représentant(e), constaté des problèmes associés…
Base : candidats présents au lieu de vote.
Concernant l'utilisation de la carte d'information de l'électeur (CIE) comme une pièce d'identité, un peu plus d'un candidat sur dix y voit un problème, soit une proportion statistiquement comparable à celle de 2019 et semblable d'un sous-groupe à l'autre.
Q43 : vez-vous, ou votre représentant(e), constaté des problèmes associés…
Base : candidats présents au lieu de vote.
Le petit nombre de candidats qui affirment avoir constaté un problème général dans l'identification des électeurs (n = 64) sont plus susceptibles de signaler des interprétations différentes des règles par les fonctionnaires électoraux ou de suspecter une fraude. Au plus un candidat sur dix mentionne divers autres problèmes, comme des personnes ayant des problèmes à prouver leur identité ou leur adresse ou encore dont l'adresse ne correspond pas à celle de la liste.
Les sous-groupes sont trop petits pour permettre une analyse à cette échelle.
Q44A : Quels problèmes ont été constatés?
Base : n = 64; candidats ayant constaté des problèmes dans le processus d'identification des électeurs.
Le petit nombre de candidats qui affirment avoir constaté un problème associé aux électeurs utilisant la CIE pour l'identification (n = 43) sont plus susceptibles de mentionner que le problème n'a pas eu lieu avant le jour de l'élection ou qu'ils ont constaté que des personnes avaient de façon générale de la difficulté à prouver leur identité. Au plus un candidat sur dix mentionne divers autres problèmes, comme des électeurs n'ayant aucune pièce d'identité en dehors de la CIE, l'adresse sur la CIE ne correspondant pas à celle inscrite sur la liste électorale et des interprétations différentes des règles par les fonctionnaires électoraux.
Les sous-groupes sont trop petits pour permettre une analyse à cette échelle.
Q44B : Quels problèmes avez-vous constatés concernant l'utilisation de la carte d'information de l'électeur (CIE) comme preuve d'identité?
Base : n = 43; candidats ayant constaté des problèmes associés à l'utilisation de la CIE comme pièce d'identité.
La moitié des candidats qui ont constaté des problèmes associés à l'identification des électeurs dit que ces problèmes ont eu lieu assez ou très souvent, 4 sur 10 (39 %) affirment qu'ils ont eu lieu pas très souvent voire rarement, et un sur dix est incapable de se prononcer. Par rapport à 2019, la proportion des candidats ayant constaté le problème très souvent est moins élevée.
Parmi ceux ayant constaté des problèmes associés à la CIE, 6 sur 10 (62 %) ont constaté de tels problèmes assez ou très souvent, tandis qu'un tiers les a constatés moins souvent. En raison de la petite taille des échantillons, la proportion des candidats ayant constaté le problème très souvent est statistiquement comparable à celle de 2019.
Q45 : À quelle fréquence avez-vous constaté ces problèmes?
Base : Candidats ayant constaté des problèmes associés à l'identification des électeurs.
Près de la moitié des candidats (48 %) sont d'accord dans une certaine mesure qu'il était plus difficile d'observer le déroulement de l'élection à cause des mesures de sécurité liées à la COVID-19 aux bureaux de vote. Un quart des candidats sont plutôt ou fortement en désaccord avec cette idée, tandis qu'un quart est incapable de se prononcer.
Q46 : Les candidats et leurs représentants ont le droit d'observer certaines étapes des processus de vote et de dépouillement. Dans quelle mesure êtes-vous d'accord ou en désaccord avec l'idée qu'il était plus difficile d'observer le déroulement de l'élection à cause des mesures de sécurité liées à la COVID-19 aux bureaux de vote?
Base : n = 1 075; tous les répondants.
Dans l'ensemble, la proportion des candidats qui sont d'accord que les mesures de sécurité liées à la COVID-19 ont rendu l'observation du déroulement de l'élection plus difficile est plus élevée dans les groupes suivants :
Les trois quarts des candidats (76 %) estiment qu'EC a conduit l'élection de façon plutôt équitable ou très équitable. Une forte majorité de plus de 8 candidats sur 10 (83 %) estiment avoir un niveau de confiance assez élevé dans l'exactitude des résultats; plus de la moitié des candidats (55 %) estime avoir un niveau de confiance très élevé. Neuf candidats sur dix (90 %) se disent satisfaits dans une certaine mesure de leurs interactions avec le directeur du scrutin (DS), tandis que près de 9 sur 10 (86 %) se disent satisfaits dans une certaine mesure de la qualité générale du service offert par Élections Canada. La suggestion d'amélioration la plus fréquente relativement aux services d'Élections Canada est de rendre l'information accessible plus rapidement.
Les trois quarts des candidats (76 %) estiment qu'EC a conduit l'élection de façon plutôt équitable ou très équitable, soit une proportion statistiquement inférieure à celle de 2019 (81 %). Deux sur dix estiment que la conduite de l'élection était inéquitable dans une certaine mesure.
Description de la « Graphique 44 : Équité perçue dans la conduite de l'élection générale par EC »
Q47 : En pensant à l'élection fédérale du 20 septembre, diriez-vous qu'Élections Canada a géré l'élection de façon…?
Base : tous les répondants, y compris ceux qui ont répondu « Incertain(e) » (4 % des répondants).
La perception que l'élection a été conduite de façon plutôt équitable ou très équitable par EC est plus répandue dans les groupes suivants :
Une forte majorité des candidats (83 %) à l'élection fédérale a une confiance assez élevée ou très élevée dans l'exactitude des résultats, plus de la moitié (55 %) ayant un niveau de confiance très élevée, soit la même proportion qu'en 2019 (54 %). À peine plus d'un candidat sur dix ne fait pas confiance aux résultats dans une certaine mesure.
Q48 : Quel est votre niveau de confiance par rapport à l'exactitude des résultats de l'élection dans votre circonscription?
Base : tous les répondants, y compris ceux qui ont répondu « Incertain(e) » (3 % des répondants).
La majorité des candidats dans tous les sous-groupes ont au moins une certaine confiance dans l'exactitude des résultats, mais la proportion ayant un niveau de confiance très élevé est plus grande dans les sous-groupes suivants :
Neuf répondants sur 10 (90 %) se disent satisfaits dans une certaine mesure de leurs interactions avec le directeur du scrutin (DS), et près des trois quarts (73 %) affirment être très satisfaits; ces proportions sont statistiquement comparables à celles relatives à la 43e élection générale. Un candidat sur dix se dit insatisfait dans une certaine mesure de leurs interactions avec le DS.
Q49 : En général, dans quelle mesure étiez-vous satisfait(e) de vos interactions avec le directeur du scrutin?
Base : tous les répondants, y compris ceux qui ont répondu « Incertain(e) » ou qui n'ont pas eu d'interactions avec le DS (2 % des répondants).
Parmi les sous-groupes, aucune différence significative n'a été relevée dans la satisfaction générale.
Les candidats du Québec sont un peu moins susceptibles d'être très satisfaits (66 %) que les candidats d'autres régions du Canada (de 74 % à 79 %).
Près de 9 candidats sur 10 (86 %) se disent satisfaits dans une certaine mesure de la qualité générale du service offert par Élections Canada à la dernière élection fédérale, tandis qu'un peu moins de la moitié d'entre eux se disent très satisfaits. Ces résultats sont statistiquement comparables à ceux de 2019.
Q50 : Dans quelle mesure étiez-vous satisfait(e) de la qualité générale du service offert par Élections Canada à la dernière élection fédérale?
Base : tous les répondants, y compris ceux qui ont répondu « Incertain(e) » (2 % des répondants).
Concernant la satisfaction à l'égard des interactions avec le DS, les réponses sont plutôt uniformes parmi les sous-groupes, de 81 % à 91 % s'en disant au moins assez satisfaits. Cette grande satisfaction est quelque peu plus faible au Québec (37 %) qu'ailleurs (de 47 % à 56 %), et plus élevée chez les hommes (50 %) que chez les femmes (43 %).
Sans que des choix de réponse leur soient proposés, les répondants devaient donner des suggestions sur la manière dont EC pouvait améliorer ses services aux candidats. Près de 6 sur 10 (58 %) ont formulé au moins une suggestion. La réponse la plus fréquente est de rendre l'information accessible plus rapidement. Moins d'une personne sur dix a formulé une autre suggestion. Ces autres suggestions sont notamment d'améliorer le site Web ou le portail, d'améliorer les communications, de simplifier les formalités administratives et de former davantage le personnel.
Q51 : Pour ce qui est des services que vous avez reçus d'Élections Canada pendant l'élection, quelle serait votre principale suggestion, si vous en avez, pour améliorer ces services?
Base : n = 1 075; tous les répondants, y compris ceux qui ont répondu « Incertain(e) » (3 % des répondants).
De façon générale, les résultats sont uniformes parmi les sous-groupes de candidats. Dans les réponses, la nécessité d'ajouter des bureaux de vote (p. ex. sur les campus d'établissements postsecondaires) était plus fréquente dans la région de l'Atlantique (13 %) et en Ontario (10 %) qu'ailleurs (de 5 % à 2 %).
Près de 6 candidats sur 10 (56 %) estiment que la diffusion de faux renseignements en ligne était un problème durant cette élection; parmi ceux-ci, près de 4 sur 10 (38 %) pensent qu'elle a eu un impact majeur sur les résultats de l'élection. Près de 4 candidats sur 10 (38 %) affirment que l'utilisation par des pays ou des groupes étrangers des médias sociaux pour influencer l'opinion politique des Canadiens représentait un problème, et 38 % d'entre eux ont le sentiment que ce problème a eu un impact majeur sur les résultats de l'élection. Un candidat sur dix (10 %) juge que le piratage, par des pays ou des groupes étrangers, des systèmes informatiques utilisés pour la conduite de l'élection constituait un problème durant cette élection, et près de la moitié de ces candidats (46 %) affirment que ce problème a eu un impact majeur.
Plus de 4 candidats sur 10 (44 %) disent encore préférer les listes électorales en papier, et plus de 6 candidats sur 10 (62 %) affirment préférer le dépouillement à la main. Le vote en ligne a été appuyé par une minorité (38 %), mais près de 6 répondants sur 10 (56 %) estiment que cette méthode est risquée.
La majorité des candidats (56 %) estiment que la diffusion de faux renseignements en ligne constituait un problème durant cette élection, ce qui représente une baisse par rapport aux deux tiers en 2019. De même, par rapport à 2019, les candidats sont moins susceptibles (38 %, soit une baisse de six points de pourcentage) de penser que l'utilisation par des pays ou des groupes étrangers des médias sociaux et d'autres moyens pour influencer l'opinion politique des Canadiens représentait un problème. Dans une proportion statistiquement inchangée, un candidat sur dix pense que le piratage, par des pays ou des groupes étrangers, des systèmes informatiques utilisés pour la conduite de l'élection posait un problème.
Q52 : Selon ce que vous avez vu ou entendu, pensez-vous que l'un ou l'autre des éléments suivants a posé un problème lors de cette élection?
Base : candidats ayant répondu au sondage en ligne et un tiers des candidats ayant répondu au téléphone.
Même si les proportions des candidats pensant que ces éléments posaient un problème sont relativement semblables parmi les sous-groupes, les sous-groupes suivants étaient plus susceptibles de le penser pour chacun des éléments :
Nous avons demandé aux candidats quel impact réel les problèmes d'ingérence électorale avaient eu, le cas échéant et à leur avis, sur les résultats de l'élection2
Globalement, 2 candidats sur 10 (21 %) pensent que la diffusion de faux renseignements en ligne a eu un impact majeur sur les résultats de l'élection. Environ la même proportion (22 %) pense qu'elle a eu un impact modéré sur les résultats de l'élection. Ces proportions sont comparables aux proportions des candidats qui ont déclaré en 2019 que la diffusion de faux renseignements en ligne avait eu un impact majeur (19 %) ou un impact modéré (22 %) sur les résultats de l'élection.
Comme en 2019, une faible proportion de candidats (14 %) pensent que l'utilisation des médias sociaux et d'autres moyens pour influencer l'opinion politique des Canadiens par des pays ou des groupes étrangers a eu un impact majeur ou modéré sur les résultats de l'élection. Bien que la proportion de candidats qui pensent que cette utilisation a eu un impact majeur soit légèrement en hausse par rapport à 2019 (9 %), la proportion des candidats qui pensent qu'elle a eu un impact modéré est restée stable (15 % en 2019).
Une plus faible proportion de candidats jugent que le piratage, par des pays ou des groupes étrangers, des systèmes informatiques utilisés pour la conduite de l'élection a eu un impact sur les résultats de l'élection. Seulement 4 % des candidats pensent qu'il a eu un impact majeur sur les résultats de l'élection et 3 % pensent qu'il a eu un impact modéré.
Description de la « Graphique 50 : Impact de l'ingérence perçue durant l'élection »
Q53 : [AU TÉLÉPHONE] Quel impact cela a-t-il eu, le cas échéant, sur les résultats de l'élection?
[EN LIGNE] Quel impact les éléments suivants ont-ils eu, le cas échéant, sur les résultats de l'élection?
Base : candidats ayant répondu au sondage en ligne et un tiers des candidats ayant répondu au téléphone.
La perception que chacune de ces formes d'ingérence a eu un impact majeur sur les résultats de l'élection est généralement semblable parmi les sous-groupes, mais la proportion est plus élevée parmi les candidats dont le parti n'est pas représenté à la Chambre des communes.
Parmi ceux qui devaient donner leur préférence concernant les listes électorales en format papier ou en format électronique, plus de 4 sur 10 (44 %) préfèrent encore les listes en papier, près de 3 sur 10 préfèrent les listes électroniques (28 %), et 2 sur 10 (22 %) n'avaient aucune préférence entre les deux. Ces résultats sont comparables à ceux de 2019.
Parmi ceux qui devaient donner leur préférence concernant les listes électorales en format papier ou en format électronique, plus de 4 sur 10 (44 %) préfèrent encore les listes en papier, près de 3 sur 10 préfèrent les listes électroniques (28 %), et 2 sur 10 (22 %) n'avaient aucune préférence entre les deux. Ces résultats sont comparables à ceux de 2019.
Q54A : Au Canada, lors d'une élection fédérale, les préposés au scrutin utilisent des listes en format papier pour trouver le nom d'un électeur et assurer le suivi des électeurs qui ont voté. À certaines élections provinciales, les préposés au scrutin utilisent des ordinateurs ou des tablettes pour accomplir ces tâches. Quelle méthode préférez-vous?
Base : la moitié des répondants.
Les listes en papier sont préférées en proportions plus élevées dans les groupes suivants :
Les listes électroniques sont préférées en proportions plus élevées dans les groupes suivants :
Parmi les candidats qui devaient indiquer leur méthode de dépouillement des votes préférée, plus de 6 sur 10 (62 %) préfèrent le dépouillement à la main, ce qui représente une hausse marquée par rapport à près de la moitié qui avait cette préférence en 2019. Un répondant sur six (17 %) préfère le dépouillement automatisé, ce qui constitue une baisse de 14 points de pourcentage par rapport au résultat de 2019. Un répondant sur six n'a aucune préférence (même proportion qu'en 2019).
Q54B : Au Canada, aux élections fédérales, chaque bulletin de vote est compté à la main. À certaines élections provinciales, les bulletins de vote papier sont comptés par une machine. Quelle méthode de dépouillement des votes préférez-vous?
Base : la moitié des répondants.
Le dépouillement à la main est préféré en proportions plus élevées dans les groupes suivants :
Le dépouillement automatisé est préféré par les candidats d'un parti représenté à la Chambre des communes (21 %, par rapport à 9 % de ceux d'un parti non représenté) et par les candidats nés à l'étranger (25 %, par rapport à 16% de ceux nés au Canada), mais pour le reste les proportions sont semblables parmi les sous-groupes.
Les candidats devaient répondre à l'une des deux questions sur le vote en ligne.
Parmi ceux qui devaient dire s'ils étaient en faveur du vote en ligne, près de 4 sur 10 affirment que les électeurs devraient pouvoir le faire, ce qui représente une proportion semblable à celle de 2019, mais dans les deux cas, les proportions sont inférieures aux 54 % des candidats se déclarant favorables à l'idée en 2015.
Description de la « Graphique 53 : Vote en ligne par les électeurs »
Q55A : Croyez-vous que les électeurs devraient pouvoir voter en ligne?
Base : la moitié des répondants.
Parmi tous les sous-groupes, une minorité de candidats croient que les électeurs devraient pouvoir voter en ligne, mais les proportions sont plus élevées dans les groupes suivants :
Parmi les candidats qui devaient dire si le vote en ligne est risqué ou sûr, près de 6 sur 10 (56 %) estiment que le vote en ligne est risqué, 3 sur 10 (31 %) croient qu'il est sûr et un sur dix est incertain. La proportion de ceux qui croient que le vote en ligne est risqué est inférieure à celle de 2019, toutefois la proportion de ceux qui croient qu'il est sûr a subi une hausse similaire.
Description de la « Graphique 54 : Sécurité du vote en ligne »
Q55B : Lequel des énoncés suivants décrit-il le mieux votre opinion?
Base : la moitié des répondants.
Parmi tous les sous-groupes, une minorité de candidats croit que le vote en ligne est sûr, mais les proportions sont plus élevées dans les groupes suivants :
Plus de la moitié (55 %) des candidats sont satisfaits dans une certaine mesure du fonctionnement de la démocratie au Canada. Les motifs d'insatisfaction les plus souvent invoqués sont le manque de représentation proportionnelle et le fait que le système majoritaire uninominal à un tour ne reflète pas les préférences des électeurs. Les candidats sont divisés sur l'abaissement de l'âge du droit de vote à 16 ans, mais ils ont un peu plus tendance à être en désaccord (53 %) qu'en accord (46 %) avec l'idée. Un peu plus de la moitié (54 %) croit que les partis devraient être obligés de présenter plus de femmes candidates, tandis qu'une faible majorité des candidats (53 %) ne sont pas en faveur d'incitatifs financiers pour ce faire.
Plus de la moitié des candidats à la 44e EG (55 %) sont satisfaits dans une certaine mesure du fonctionnement de la démocratie au Canada, et un quart des candidats (24 %) sont très satisfaits. Ces deux proportions sont statistiquement supérieures à celles de 2019. Deux candidats sur dix sont très insatisfaits.
Q56 : En général, dans quelle mesure êtes-vous satisfait(e) du fonctionnement de la démocratie au Canada?
Base : tous les répondants, y compris ceux qui ont répondu « Incertain(e) » (moins de 1 % des répondants).
Une faible majorité dans la plupart des sous-groupes de candidats est au moins assez satisfaite du fonctionnement de la démocratie au Canada, sauf quelques exceptions. Les groupes suivants sont moins souvent satisfaits :
Les candidats insatisfaits du fonctionnement de la démocratie au Canada (n = 475) sont plus susceptibles de mentionner le manque de représentation proportionnelle ou le fait que le système majoritaire uninominal à un tour ne reflète pas les préférences des électeurs. Ces réponses étaient aussi les plus fréquentes en 2019. Un répondant sur six fait une remarque générale sur le caractère inéquitable ou non démocratique du système, et une proportion semblable des candidats affirme qu'il y a trop de préjugés ou de censure dans les médias. Un candidat sur dix cite d'autres motifs d'insatisfaction à l'égard du fonctionnement de la démocratie.
Description de la « Graphique 56 : Motifs d'insatisfaction à l'égard de la démocratie canadienne »
Q57 : Y a-t-il une raison particulière pour laquelle vous êtes insatisfait(e) du fonctionnement de la démocratie au Canada?
Base : n = 475; les répondants insatisfaits du fonctionnement de la démocratie au Canada.
Lorsque demandé si l'âge du droit de vote fédéral devrait être abaissé de 18 à 16 ans, les candidats fortement en désaccord (42 %) surpassent ceux qui sont fortement d'accord (30 %) par 12 points de pourcentage, soit aucun changement depuis 2019.
Description de la « Graphique 57 : Niveau d'accord avec l'abaissement de l'âge du droit de vote »
Q58 : Dans quelle mesure êtes-vous en accord ou en désaccord avec l'abaissement de l'âge pour voter à une élection fédérale de 18 à 16 ans?
Base : tous les répondants, y compris ceux qui ont répondu « Incertain(e) » (2 % des répondants).
Les candidats des groupes suivants ont plus tendance à être d'accord dans une certaine mesure avec l'abaissement de l'âge du droit de vote à 16 ans :
Nous avons demandé aux candidats de répondre à l'une ou l'autre des deux questions sur l'augmentation de la proportion de femmes candidates.
Concernant l'énoncé selon lequel les partis politiques devraient être obligés de présenter plus de femmes candidates, un peu plus de la moitié des répondants (54 %) se disent d'accord dans une certaine mesure et un tiers se disent fortement d'accord. Ces deux proportions sont supérieures à celles de 2019.
Q59 : Dans quelle mesure êtes-vous en accord ou en désaccord avec l'énoncé suivant?
Base : la moitié des répondants, y compris ceux qui ont répondu « Incertain(e) » (9 % des répondants).
Dans l'ensemble, la proportion des candidats qui sont d'accord avec cet énoncé est plus élevée dans les sous-groupes suivants :
Concernant l'énoncé selon lequel un incitatif financier devrait être offert aux partis politiques pour qu'ils présentent plus de femmes candidates, une faible majorité des répondants (53 %, une proportion statistiquement semblable aux 55 % de 2019) sont en désaccord, et près de 4 sur 10 sont fortement en désaccord, comme en 2019.
Q59 : Dans quelle mesure êtes-vous en accord ou en désaccord avec l'énoncé suivant?
Base : la moitié des répondants, y compris ceux qui ont répondu « Incertain(e) » (8 % des répondants).
Dans l'ensemble, la proportion des candidats qui sont d'accord qu'un incitatif financier devrait être offert aux partis politiques pour qu'ils présentent plus de femmes est faible dans la plupart des sous-groupes, mais plus élevée dans les groupes suivants :
Les tableaux suivants présentent les caractéristiques sociodémographiques pondérées des répondants au sondage.
| Colombie-Britannique | 11 % |
|---|---|
| Alberta | 10 % |
| Prairies et territoires | 9 % |
| Ontario | 34 % |
| Québec | 28 % |
| Atlantique | 8 % |
| 1 | 58 % |
|---|---|
| 2 et plus | 39 % |
| De 18 à 34 ans | 19 % |
|---|---|
| De 35 à 49 ans | 33 % |
| De 50 à 59 ans | 26 % |
| 60 ans et plus | 21 % |
| Masculin | 62 % |
|---|---|
| Féminin | 38 % |
| Né(e) au Canada | 81 % |
|---|---|
| Né(e) à l'étranger | 17 % |
| Blanc | 72 % |
|---|---|
| Asiatique du Sud | 6 % |
| Noir | 3 % |
| Latino-Américain | 2 % |
| Chinois | 2 % |
| Autre origine ethnique | 11 % |
| Autochtone | 5 % |
|---|---|
| Non-Autochtone | 88 % |
| Préfère ne pas répondre | 7 % |
| Anglais | 71 % |
|---|---|
| Français | 24 % |
| Autre | 4 % |
| Oui | 10 % |
|---|---|
| Non | 88 % |
| Incertain(e)/Refus | 2 % |
| Études secondaires ou moins | 2 % |
|---|---|
| Diplôme d'études secondaires | 4 % |
| Études partielles ou complètes dans un collège, une école de formation professionnelle ou une école de métiers | 14 % |
| Quelques cours universitaires | 8 % |
| Diplôme universitaire | 36 % |
| Diplôme d'études supérieures | 33 % |
| Faible | Moins de 20 000 $ | 4 % |
|---|---|---|
| De 20 000 $ à 39 000 $ | 8 % | |
| Moyen | De 40 000 $ à 59 000 $ | 8 % |
| De 60 000 $ à 79 000 $ | 9 % | |
| De 80 000 $ à 99 000 $ | 10 % | |
| Élevé | 100 000 $ et plus | 44 % |
1 Les tranches de revenu familial sont définies dans la section « Profil sociodémographique ».
2 Seuls les répondants ayant dit qu'ils pensaient qu'il y avait eu un problème d'ingérence électorale devaient dire quel impact ce problème avait eu, à leur avis, sur les résultats de l'élection. Pour permettre la comparaison des résultats entre les diverses formes d'ingérence électorale, la base utilisée pour présenter les résultats a été modifiée pour inclure tous les répondants, y compris ceux qui ne pensaient pas qu'il y avait eu un problème. Par exemple, parmi les 56 % des candidats pensant que la diffusion de faux renseignements en ligne avait été un problème à cette élection, 38 % croient que cette diffusion a eu un impact majeur sur les résultats de l'élection. Parmi les 38 % qui affirment que l'utilisation par des pays ou des groupes étrangers des médias sociaux et d'autres moyens pour influencer l'opinion politique des Canadiens représentait un problème, 38 % pensent que ce problème a eu un impact majeur sur les résultats de l'élection. Parmi les candidats (10 %) qui jugent que le piratage, par des pays ou des groupes étrangers, des systèmes informatiques utilisés pour la conduite de l'élection constituait un problème, près de la moitié (46 %) affirment que ce problème a eu un impact majeur sur les résultats de l'élection.