A sociobehavioural perspective on genetic testing and counselling for heritable breast, ovarian and colon cancer

Kathleen G. Macdonald,* RN, PhD; Brian Doan,** PhD; Merrijoy Kelner,# PhD; Kathryn M. Taylor,& PhD

Journal de l'Association médicale canadienne 1996; 154 : 457-464


From *the departments of Administrative Studies and Nursing, York University, North York, Ont., **Psychology Services to Oncology, Sunnybrook Health Science Centre, #the Department of Behavioural Science and the Centre for Studies of Aging, University of Toronto, Toronto, Ont., and &the Department of Administrative Studies, York University, North York, and Princess Margaret Hospital, Toronto, Ont.

This is the second in a series on genetic screening for heritable breast, ovarian and colon cancer. The first article [abstract] appeared in the Jan. 15, 1996, issue and the third article [abstract] appears in the Mar. 15 issue.


On peut obtenir des réimpressions du texte complet en s'adressant à : Dr. Kathleen G. Macdonald, Department of Administrative Studies, Atkinson College, York University, 4700 Keele St., North York ON M3J 1P3; fax 416 736-5210; kathem@yorku.ca

Résumé

Les tests pour déterminer la vulnérabilité au cancer héréditaire du sein, de l'ovaire et du côlon entraînent des coûts psychosociaux uniques. Il se peut que des résultats négatifs ne suffisent pas à dissiper l'anxiété et que des résultats positifs provoquent une détresse suffisante pour compromettre l'observation par le patient des mesures de surveillance et de réduction du risque. Il faut en apprendre davantage au sujet de la façon dont les facteurs socioculturels jouent sur la compréhension du risque, de la prise des décisions de subir des tests et de l'impact que l'information sur le risque accru a sur la dynamique familiale. À mesure qu'augmentera la demande de tests et de counselling, les fournisseurs de soins de santé seront confrontés à des défis et à des dilemmes nouveaux. Il faut que la population comprenne mieux la génétique afin d'atténuer les attitudes déterministes qui peuvent faire négliger la promotion de la santé. Ce qui préoccupe aussi, ce sont les répercussions socio-économiques du fait d'être identifié comme un sujet à risque élevé de cancer héréditaire et les dangers inhérents au recours à la génétique pour expliquer des phénomènes sociologiques. Les fournisseurs de soins de santé doivent jouer un rôle de premier plan pour assurer que les progrès de la génétique soient utilisés pour le bien de tous.
| JAMC le 15 février 1996 (vol 154, no 4) |
>