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Mensuel
RéseauBiblio : Janvier 2000
TABLE DES MATIÈRES
DEMANDE DE CANDIDATURES POUR LES « pratiques exemplaires »RéseauBiblio préparera bientôt son quatrième rapport annuel sur les « pratiques exemplaires » en ce qui a trait à l'utilisation innovatrice d'Internet dans les bibliothèques canadiennes. Le rapport est rédigé pour faire valoir le mérite de bibliothèques qui se démarquent et inspirer d'autres bibliothèques canadiennes désirant créer leurs propres applications Internet. Si vous connaissez une bibliothèque (la vôtre ou une autre) qui utilise Internet de façon novatrice pour diffuser de l'information en vue d'aider ses clients et ses employés, envoyez un courriel à RéseauBiblio à ln-rb@schoolnet.ca, dans lequel vous donnerez les détails et l'adresse URL du projet. Vous pourrez consulter le rapport des pratiques exemplaires de l'année courante au stand de RéseauBiblio à la Conférence de la CLA qui se tiendra à Edmonton, du 21 au 25 juin. Les rapports précédents sont affichés sur le site Web de Réseau Biblio. Pour obtenir
plus d'information : DATE LIMITE POUR LA PRÉSENTATION DE PROPOSITIONS - FRANCOMMUNAUTÉS VIRTUELLESLe site Web Francommunautés virtuelles affiche présentement une demande de propositions pour les projets de l'exercice 2000-2001. Les bibliothèques, les organismes communautaires et les autres parties intéressées doivent faire parvenir leurs propositions bientôt - la date limite pour le faire est le 18 février 2000. Francommunautés virtuelles est un programme d'Industrie Canada visant à aider les communautés francophones et acadiennes du Canada à prendre plein avantage des technologies de l'information et des communications. Ses objectifs sont d'accroître le contenu, les applications et les services en français sur Internet et encourager le réseautage entre les communautés francophones et acadiennes partout au Canada. Depuis 1998, les communautés françaises et acadiennes du Canada ont lancé plus de 50 projets visant la création de nouveaux réseaux, l'accroissement des compétences en technologie de l'information de ses membres, et l'augmentation du contenu français en ligne. Les projets actuels comprennent le développement d'une application de commerce électronique pour les régions de langue française, la création d'un site Web pour les formateurs en alphabétisation des adultes dans les régions de langue française et la création d'une interface de courrier électronique en français pour les jeunes. Le programme Francommunautés paie jusqu'à 50 p. 100 des frais admissibles, jusqu'à un maximum de 75 000 $ par projet. Les demandes doivent être présentées par des organismes canadiens sans but lucratif. Pour obtenir
plus d'information : LA GATES FOUNDATION ACCORDE DES FONDS AUX BIBLIOTHÈQUES DE LA COLOMBIE-BRITANNIQUELe 26 janvier 2000, le ministre des Affaires municipales, M. Jim Doyle, a annoncé que les bibliothèques publiques de la Colombie-Britannique recevront un don de 2,5 millions de dollars de la Bill and Melinda Gates Foundation. L'octroi de ces fonds s'inscrit dans une initiative dans le cadre de laquelle la fondation a versé une contribution de plus de 35 millions de dollars à des bibliothèques des États-Unis et du Canada depuis 1997. La subvention sera utilisée pour acheter du matériel informatique, améliorer l'accès à Internet et fournir des laboratoires d'informatique pour les employés des bibliothèques et le public. Elle financera l'aménagement de 401 postes de travail dans 101 bibliothèques réparties dans la province. Des bibliothèques situées à Nanaimo, à Burnaby, à Kamloops et à Kelowna seront également équipées de laboratoires d'informatique dotés de 11 postes de travail chacun. Outre les subventions versées aux bibliothèques publiques, la direction des services de bibliothèque de la province recevra un laboratoire d'informatique mobile, qui sera utilisé pour former le personnel des bibliothèques des centres régionaux; il sera ensuite utilisé dans les diverses bibliothèques de la province pour fournir au public des services de formation en informatique. De son côté, Microsoft Canada fournira des logiciels d'une valeur au détail de 1,02 million de dollars aux bibliothèques bénéficiant de contributions de la fondation. Combinée à l'appui consenti dans le cadre de programmes provinciaux existants, cette contribution accroîtra l'accès des résidants de la Colombie-Britannique à la technologie informatique. Pour obtenir
des renseignements supplémentaires : CONNECTIVITÉ DES BIBLIOTHÈQUES DE FRANCEChaque année, le ministère de la Culture et de la Communication effectue un sondage auprès de plus de 3 000 bibliothèques de France. Un sommaire des conclusions du sondage prélevé en 1997 est maintenant présenté sur le site Internet du Ministère. En 1994, seulement deux bibliothèques avaient indiqué qu'elles étaient branchées sur Internet. En 1998, 188 bibliothèques rapportaient qu'elles possédaient au moins un ordinateur branché sur Internet, dont 137 offrant un accès public; 63 p. 100 des bibliothèques ne possédaient qu'un seul terminal d'accès public, 16 p. 100 en avaient deux, et 17 p. 100, entre trois et huit. Seulement cinq bibliothèques mettaient plus de dix terminaux Internet à la disposition de leurs clients. Dans les collectivités de plus de 2 000 habitants, 8,4 p. 100 des bibliothèques offraient au public un accès à Internet. Dans 55 p. 100 des bibliothèques, on demandait des frais d'accès, sous une forme ou une autre. La plupart des bibliothèques avaient des politiques précises pour l'accès à Internet et certaines utilisaient différents logiciels pour en restreindre l'accès. Depuis 1998, 14 bibliothèques offrent ou prévoient offrir leurs catalogues en ligne au moyen d'Internet et 41 bibliothèques ont créé des sites Web. Pour obtenir
plus d'information : BIBLIOTHÈQUE DE WINDSOR - CHEF DE FILE DU PROGRAMME WECONNECTLes projets témoins de l'initiative Collectivités ingénieuses sont le résultat d'un concours national qui vise la sélection de 12 communautés de « renommée internationale » - une dans chaque province, une dans le Nord et une au sein de la communauté autochtone. Les projets retenus recevront du financement étalé sur trois ans pouvant atteindre 5 millions de dollars, pour soutenir leur initiative. Les collectivités choisies pourront également acquérir une expérience et des connaissances précieuses en établissant des réseaux avec d'autres projets témoins retenus, ainsi qu'une renommée internationale. Le 15 novembre 1999, la deuxième étape du concours des projets témoins des Collectivités ingénieuses était lancée et les demandeurs retenus ont été invités à soumettre un plan d'affaires complet. La bibliothèque publique de Windsor a été invitée à soumettre un plan d'affaires pour son initiative WEConnect. L'initiative WEConnect prévoit la mise en place de 17 nouveaux « services intelligents », dans cinq différents secteurs, notamment les soins de santé, l'éducation, le gouvernement, le développement économique et la collectivité. Certains des services proposés comprennent la prestation en ligne d'information et de données sur les épidémies et les services de santé, la version en ligne d'une variété de formulaires du gouvernement, les services d'immatriculation et de frais; et un « service d'experts » grâce auquel les experts de la communauté répondront aux questions des citoyens portant sur leur domaine d'expertise. D'autres propositions comprennent la remise sans frais d'ordinateurs à 3 000 familles, en fonction des besoins socio-économiques, et la création d'une application de recherche intégrée qui offrira aux citoyens un guichet unique donnant accès à toutes les collections locales. Les noms des finalistes du concours des Collectivités ingénieuses seront annoncés au printemps 2000. Pour obtenir
plus d'information : Conférence : GET SMART! PAPERS ONLINEPlusieurs conférenciers ayant participé à la conférence Get Smart! : Economic Development, Libraries, and Smart Communities, tenue à Toronto en juin 1999, affichent la version écrite de leurs documents sur RéseauBiblio. On peut maintenant consulter en ligne 14 documents sous format PDF. Pour consulter
les documents : MISE À L'ESSAI DE LA CONFÉRENCE ÉLECTRONIQUELa mise à l'essai de la conférence électronique le 30 novembre 1999 a démontré qu'il est possible pour les bibliothèques d'offrir des services liés à l'autoroute de l'information à leurs clients et au public, grâce au développement et à la prestation d'applications du commerce électronique. Ce potentiel a été illustré au moyen d'une vidéoconférence reliant sept endroits, dont cinq en Ontario, un en Alberta et un site dans un cabinet d'avocats de Washington, D.C. Les participants ont visionné une série de présentations sur des écrans de télévision installés dans sept endroits. Les présentations ont été transmises dans tous les autres endroits où se tenait la conférence électronique grâce à des caméras vidéos reliées à des lignes téléphoniques à grande vitesse. Tous les participants pouvaient entendre et voir la même présentation au même moment. Les conférenciers pouvaient répondre aux questions de l'auditoire, ce qui était rendu possible par l'utilisation d'une caméra vidéo pour scanner un endroit à la fois. Le conférencier pouvait ainsi voir la personne et répondre à sa question. Cette conférence électronique a montré que la technologie peut être utilisée par les bibliothèques pour faciliter et initier la présentation de séminaires et générer des recettes pour atteindre l'auto-suffisance. E n unissant leurs efforts à ceux du secteur privé, elles offriront des services sur réseau, et deviendront des guichets d'information et de services dans les communautés. Après la conférence, les participants ont également discuté librement du mérite de séances comme celle-ci, du rôle des bibliothèques dans le développement communautaire et économique et des projets de partage et de collaboration dans le domaine du commerce électronique. Pour obtenir
plus d'information : RAPPORT SUR INTERNET DU WALL STREET JOURNALLe 6 décembre, le Wall Street Journal a publié un rapport spécial sur Internet et ses répercussions sur la vie quotidienne, proclamant qu'en seulement quelques années, Internet est passé de « nouveauté à nécessité ». Selon Jupiter Communications, une entreprise de recherche de New York, à la fin de 1999, plus de 100 millions d'Américains étaient branchés à Internet. Cependant, font-ils le meilleur usage possible du temps qu'ils passent sur le Web ? Le nombre de sites Internet est stupéfiant. Les consommateurs sont maintenant assaillis par des dizaines d'annonces télévisées de nouveaux « points-com ». Selon un récent sondage de l'entreprise International Data, la plupart des surfeurs du Web disent naviguer pour des raisons utilitaires. Environ 78 p. 100 des utilisateurs lisent les nouvelles, 56 p. 100 vérifient les prévisions météorologiques et 50 p. 100 pour obtenir des renseignements financiers ou des services. Seulement 9 p. 100 des utilisateurs disent l'utiliser pour le plaisir. C'est en contraste direct d'une étude faite par Mme Ann Curry de la School of Library, Archival, and Information Studies de l'Université de la Colombie-Britannique s'est servie de données issues d'une analyse de relevés de sessions des serveurs Web à la bibliothèque publique de Burnaby (Colombie-Britannique) pour essayer de découvrir ce que les usagers consultent. Les sites Web les plus visités (30,7 p. 100) étaient ceux de courrier électronique ou de groupes de conversation. Les auteurs de l'étude soulignent, toutefois, que chaque fois qu'une fonction courrier électronique est utilisée sur un outil de navigation du Web, un nouveau URL est créé. Cela peut avoir produit un nombre disproportionné de sessions comparé à d'autres activités ou sujets. Les thèmes les plus populaires sont ensuite les loisirs (culture de masse) et les affaires, avec 8,2 p. 100 et 8,1 p. 100, respectivement. Les moteurs de recherche et les sites répertoires représentaient 7,5 p. 100 des sites Web visités. La plupart des nouveaux utilisateurs d'Internet désirent essayer beaucoup de sites et de services. Cependant, après avoir navigué pendant un certain temps, ils tendent à prendre des habitudes et à visiter seulement les quelques sites qui ont réussi à capter leur attention ou ceux qu'ils ont utilisés pour emmagasiner des renseignements personnels, comme leur portefeuille d'actions. Selon Jupiter Communications, près des trois quarts des gens qui utilisent Internet depuis plus de deux ans, naviguent principalement au moyen de signets, des listes de leurs sites favoris qu'ils enregistrent dans leur fureteur. On trouve la plupart des nouveaux sites au moyen des gros moteurs de recherche et des portails du Web, comme Yahoo et Excite. BRANT BUSINESS INFORMATION NETWORKLa bibliothèque publique de Brantford a été l'hôte du lancement du Brant Business Information Network, le lundi 24 janvier 2000. Ressource axée sur la communauté, le Brant Business Information Network est dirigé par plusieurs organismes locaux, y compris la bibliothèque publique de Brantford, et est financé par le Développement des ressources humaines Canada. Les navigateurs locaux et internationaux peuvent obtenir des renseignements complets sur les entreprises et les organismes sociaux de Brant - qui ils sont, ce qu'ils font, et comment les joindre. Le BBIN comprend un annuaire des entreprises locales et une base de données de liens vers des sites utiles sur des sujets comme le démarrage d'une entreprise, la planification de carrière, l'éducation et la formation. Pour visiter
le site : EXPANSION DE LA VIRTUAL REFERENCE LIBRARYLa Virtual Reference Library est un site Web de la Toronto Public Library (TPL) qui guide les utilisateurs vers des sources d'information sur Internet et les ressources de la bibliothèque. Le guide thématique sur Internet de la VRL présente plus de 8 000 des meilleurs sites Internet sur plus de 25 sujets qui sont choisis et indexés par le personnel de la TPL et de la Toronto Reference Library. Les recherches peuvent être effectuées par sujet ou par mot clé. Les sites Internet conçus au Canada sont d'un intérêt particulier. Le personnel de la TPL a également créé un certain nombre d'indexs spécialisés et de passerelles vers l'information Internet offerte sur le site VRL. Par exemple, le signet « Carrières » présente une bibliothèque complète de sources en ligne et de documents sur papier à l'intention de ceux qui ont besoin d'aide pour se trouver un emploi ou planifier leur carrière. La VRL comprend également des liens vers les collections et les indexs de la TPL, y compris sa première collection numérique, les répertoires du 19e siècle de la ville de Toronto, qu'il est possible de scanner et de convertir pour effectuer une recherche intégrale. Les répertoires des années 1797 à 1877 sont présentement offerts en ligne. L'indexe Archindont (Architectural Index for Ontario) est un indexe unique utilisé pour imprimer des articles et des livres sur les bâtiments et l'architecture en Ontario. Plus tard cette année, la bibliothèque lancera deux autres passerelles qui seront dédiées aux nouvelles et à l'information sur les environs de Toronto. On ajoutera également d'autres bases de données en ligne, comme des articles intégraux de magazines. La VRL a été développée en collaboration avec la Toronto Public Library, la Toronto Public Library Foundation, et les ministères de l'Énergie, des sciences et de la technologie et de la Citoyenneté, de la culture et du loisir de l'Ontario. La Virtual Reference Library reçoit également l'appui d'un nombre grandissant de commanditaires et de partenaires, y compris Énergie atomique du Canada limitée, Développement des ressources humaines Canada, Silicon Graphics Inc., et le Toronto Star. Pour visiter
la bibliothèque virtuelle de références : Pour obtenir
plus d'information : LANCEMENT DU PROJET « UN CANADA BRANCHÉ »Le 24 janvier, les bibliothèques publiques d'Ottawa, de Nepean et de Gloucester ont lancé leur projet intermunicipal « Un Canada branché ». Il s'agit d'un projet de 406 000 $ réalisé avec la collaboration de Développement des ressources humaines Canada et grâce auquel plus d'un demi-million de résidants auront un accès élargi à Internet pour connaître les ressources gouvernementales, y compris pour obtenir des renseignements cruciaux sur les carrières et des renseignements connexes sur l'emploi. « C'est la première fois que trois grands réseaux de bibliothèques publiques collaborent à un projet de cette ampleur », a souligné Tannis Yankewicz, présidente du conseil d'administration de la Bibliothèque publique d'Ottawa. Avec sa part des fonds, la Bibliothèque publique d'Ottawa a ajouté 30 nouveaux postes de travail Internet dans quatre de ses succursales. Huit de ces postes ont été installés dans le très fréquenté Centre INFO emploi de la Bibliothèque centrale, un guichet unique qui possède des livres sur l'emploi, des périodiques, des vidéocassettes et des bases de données électroniques, ainsi que deux systèmes de recherche d'emploi conçus par DRHC. La Bibliothèque publique de Nepean (BPN) a installé huit nouveaux postes de travail Internet dans sa Bibliothèque centrale et six dans une autre succursale; la BPN a également enrichi ses collections sur l'emploi. En ce qui concerne la Bibliothèque publique de Gloucester, le projet lui permet d'offrir pour la première fois à sa clientèle l'accès à Internet dans ses quatre succursales. Pour de plus
amples renseignements, veuillez communiquer avec : LANCEMENT DES RAPPORTS E-LAMLes rapports E-LAM sont de nouvelles publications électroniques qui portent sur les questions liées au commerce électronique qui touche les bibliothèques, les archives et les musées. On y présentera une série de quatre rapports électroniques en ligne et des questions sur le commerce électronique qui revêtent un intérêt particulier pour les bibliothèques, les archives et les musées. Chaque numéro présentera de l'information à jour et des conseils pertinents, les tendances et les outils. On y trouvera également des études de cas et des évaluations de sites réussis et intéressants de consultation en ligne et de commerce électronique, de bibliothèques, d'archives et de musées. Les publications
seront offertes seulement en version électronique. Chaque numéro
sera produit en « portable document format » (PDF) pour permettre le visionnement
du document original sur tous les systèmes. On pourra accéder
aux rapports E-LAM n'importe où à partir d'un site Web protégé
par un mot de passe. Chaque numéro présentera une analyse
sur un sujet différent, comme suit : Les rapports E-LAM sont rédigés par Lesley Ellen Harris, avocate, consultante et formatrice dans les domaines de la loi, des nouveaux médias et du commerce électronique. Pour vous
abonner : Pour obtenir
plus d'information : LA FORMATION À DISTANCE EST EN PLEINE EXPANSIONSelon une récente étude réalisée par le gouvernement américain, le nombre de cours à distance offerts par les collèges et les universités, ainsi que l'inscription à ces cours , ont connu une formidable croissance au cours des dernières années. La formation à distance dans les établissements post-secondaires : En 1997-1998, on a effectué la première étude sur les tendances de la formation à distance au niveau universitaire. Le rapport s'appuyait sur un sondage auprès de 1 601 collèges, universités et autres établissements d'enseignement post-secondaire (comme les collèges en soins infirmiers ) des États-Unis. Environ 34 p. 100 de ces établissements offraient des cours à distance pendant l'année universitaire 1997-1998 et 20 p. 100 ont dit prévoir en offrir au cours des trois prochaines années. Ceci signifie que d'ici la fin de la présente année universitaire (2000-2001), plus de la moitié des établissements post-secondaires des États-Unis ont l'intention d'offrir de tels cours. Si on examine seulement la situation dans les collèges et les universités, au cours des trois années universitaires comprises entre 1995 et 1998, le nombre de cours à distance a plus que doublé, passant de 25 730 à 52 270. La plupart de ces cours donnaient droit à des crédits de niveau collégial. L'inscription à ces cours a connu une croissance similaire. (Les chercheurs n'étaient pas en mesure de calculer le nombre exact d'étudiants, car une même personne a pu s'inscrire à plus d'un cours à distance). On comptait environ 1,6 million d'étudiants inscrits à la formation à distance au cours de l'année universitaire, en comparaison à 753 640 en 1995-1996. Parmi les écoles qui offrent, ou prévoient offrir bientôt dela formation à distance, 82 p. 100 disent qu'elles comptent surtout avoir recours à la formation «asynchrone » sur Internet, p.ex. au moyen du courriel et du Web. Citée par 61 p. 100 des écoles, la deuxième métode la plus populaire est la vidéo interactive, suivie de près, 60 p. 100, par la méthode «synchrone » ou « en temps réel », qui utilise des technologies comme la conversation en ligne. Le rapport
intégral est offert sous format PDF à : Atelier : BUILDING SMART BLIND COMMUNITIESPrésentation
de l'atelier « Building Smart Blind Communities: Knowledge Systems for
Libraries For the Blind In the Internet Age » Il s'agit d'un atelier de deux jours qui sera coordonné par plusieurs membres de la FIAB : des sections des bibliothèques pour les aveugles en coopération avec la National Library for the Blind (R.-U.) et l'Institut national canadien pour les aveugles (INCA). Il s'adresse aux personnes intéressées à en savoir plus sur les nouveautés d'Internet en ce qui concerne le montage et la distribution de collections, ainsi que sur les services bibliothécaires et de repérage de production pour les bibliothèques pour les aveugles. Pour obtenir
plus d'information : Si
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