Bienvenue au Musée d'héritage Notukeu. Cette exposition virtuelle vous permettra de parcourir quinze expositionqui se trouvent couramment à Ponteix en Saskatchewan. Évidemment, cette collection, dont la plupart a été accumulée par Henri Liboiron de 1929 à 1996, est un grand hommage ce pionnier archéologue francophone à la discipline de l'archéologie ainsi qu'aux origines de l'homme au sud de la Saskatchewan.
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"Mo", le Plésiosaure (élasmosaure) de Ponteix, a été découvert en 1992 par Bob St-Cyr et ensuite déterré en 1993 par paléontologiste Tim Tokaryk, qui a aussi déterré "Scotty" le T-Rex à Eastend en Saskatchewan. À l'époque, Mo avait une longueur d'environ quinze mètres (45 pieds) et un poids de près de 5100 livres. Il était très capable de nager, ayant quatre palettes fortes, chacune d'elles portait cinq orteils. Les gastrolites (pierres d'estomac) montrées dans l'image ci-dessous servaient d'une sorte de ballast à Mo pour plonger en profondeur plus vite. D'ailleurs, comme les autres Plésiosaures, Mo était carnivore et pondait pondu ses oeufs dansle sable, semblable au tortue. Mo a 70-75 million d'ans.
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Parce que les autochtones n'avaient pas de langue écrite, ils se servaient de pictogrammes pour communiquer. Évidemment, ce moyen d'expression artistique est quelquefois difficile à déchiffrer. |
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3. Outils faits à la main |
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Voici la plupart des outils utilisés par Henri Liboiron.
a) un quadrillage d'un mètre carré pour enregistrer l'emplacement de chaque artefact trouvé dans un site archéologique.
b) un rapporteur à 360 degrés pour mesurer les rondes de tentes. En faisant cela, l'archéologue a mesuré l'angle de chaque pierre ainsi que le diamètre du tipi, parce que les différents tribus avaient des tipis de tailles différentes. D'habitude, les pierres plus grandes et plus pesantes se trouvaient au bord sud du tipi, parce que le vent soufflaient souvent de cette direction.
c) divers outils utilisés dans les fouilles archéologiques, dont des truelles fabriquées de merrain de cerf de la main d'Henri.
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Les articles suivants ont été fabriqués par Henri Liboiron au cours des années, qui a employé une technique Européenne et Américaine qui fabrique d'habitude des pointes de la pierre, nommée l'atelier de taille. Les pointes brunes ont été faites d'une bouteille de bière cassée, les pointes blanches de chopes de café cassées. On peut voir aussi la trousse d'outils d'Henri dont il a fabriqué la plupart de merrain de cerf.
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Les artefacts suivants font partie de la collection de Lucienne
Roberge, prêtée au musée par Guy et Denis
Roberge. Cette collection contient des pointes d'autour de
l'Amérique du nord, dont des différentes pointes de
guerre ainsi que des portes-bonheur.
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Cette effigie de tortue est composée d'artefacts trouvés dans la région de Ponteix. On peut voir aussi une semblable fabriquée de pierres de champ dans la région Big Muddy de la Saskatchewan.
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Cet artefact s'appelle "Hell Gap Point". Elle est la plus vieille pointe qui se trouve au musée. Dateant d'environ 11,000 années. |
8. Effigie d'homme et de femme |
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Voici une effigie d'un homme et d'une femme composée d'artefacts de la région de Ponteix. Elles sont très rares en Saskatchewan.
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Ces artefacts sont arrangés en forme d'un cercle de sorcier, qui prévalent en Saskatchewan. Notez que le cercle est divisé en huit parties, cependant l'original se compose d'habitude de quatre parties qui représentent le feu, la terre, l'eau, et l'air.
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Henry Liboiron ont fait plusieurs études archéologiques, dont il a d'habitude enregistré les résultats. Sa recherche a été souvent publiée dans le journal de la société archéologique provinciale.
Une de ses études s'est concentrée sur la cuisson de poterie en utilisant les outils semblables à ceux utilisés auparavant par les autochtones. Les pots ont été fabriqués d'argile de la région de Ponteix et cuits au feu.
Henri a aussi fait du pemmican avec des ingrédients qu'il a ramassés lui-même. Après avoir lu quinze ou vingt différents articles, il a enfin trouvé une bonne recette. On croit que le pemmican montré dans l'image suivante demeure mangeable pendant près de dix ans.
Finalement, Henri a fait des peintures et des pigments en utilisant des couleurs qu'il a trouvées dans la région.
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Voici un modèle d'un corral de buffles qui se trouvait autrefois dans les Prairies, fabriqué par Henri Liboiron. Les buffles ont été acheminés de longues distances vers le corral par des coureurs, ensuite abattus dans le piège de l'enclos par des tireurs isolés.
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Les sculptures de bois suivantes sont des oeuvres de Raymond Chabot, un résident de Ponteix.
13. Pot Piché |
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Cet artefact s'appelle le "Pot Piché" de Ponteix.
Trouvé par Roger Piché dans un de ses champs, Henri
Liboiron a réussi à rassembler plusieurs des 199
morceaux, comme un puzzle. Ce pot date de la phase "Old Women", ou de
la fin de la préhistoire. Il est le
sujet d'un essai écrit par Bob St-Cyr de Ponteix.
14. Poste de traite des fourrure |
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Voici un modèle d'un bureau de fourrures non-typique, fabriqué par Henri Liboiron.
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Les artefacts suivants sont des minéraux divers trouvés dans la région de Ponteix.