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SDT DOSITHÉE RICHARD
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Le sdt Dosithée Richard, fils de Jack (Lamant) Richard et de Marie-Rose Melanson,
s'enrôle dans le Corps expéditionnaire canadien en novembre 1914, à l'âge de 17 ans,
pendant la Première Guerre mondiale.
Il subit son instruction militaire à Valcartier au Québec avant de
s'embarquer pour l'Europe.
Il est tué au combat en France en novembre 1917 par l'explosion d'un
obus. |
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Le soldat Stanislaus Richard,
fils de Fred Richard et d'Adéline Arsenault, s'enrôle dans l'armée canadienne le 5
janvier 1918.
Il sert avec la 2e division, 5e bataillon (Corps de
génie) en Angleterre, en France, en Belgique en Allemagne.
Il a reçu la Médaille de la guerre de 1914-1918 et est démobilisé le
25 mai 1919. |

SDT STANISLAUS RICHARD |
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SDT SYLVERE RICHARD |
Le sdt Sylvère Richard, fils de Joseph-T. Richard et d'Ovéline Arsenault, s'enrôle dans
l'armée à Charlottetown en juillet 1915.
Il sert dans le Corps expéditionnaire canadien avec la Light Horse
Artillery.
Après son instruction élémentaire à Valcartier au Québec, il
complète son instruction en Angleterre.
Il combat en France, participe aux batailles de la crête de Vimy et
d'Ypres et est tué au combat le 20 septembre 1918. |
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Le sdt Alfred Wedge, fils de Joseph Wedge et de Joséphine Poirier,
s'enrôle le 9 mai 1917 dans le Corps expéditionnaire canadien, avec le 105e
bataillon.
Il sert avec le 26e bataillon au Canada, en Angleterre et en
France.
Il est démobilisé le 28 mars 1919; il a reçu la Médaille de guerre
britannique et la Médaille de la Victoire.
D'après ce que l'on dit ici, Anthony White lui aurait sauvé la vie en
temps de guerre. |

SDT ALFRED WEDGE |
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SDT ALBAN WHITE (LeBLANC) |
Le sdt Alban White
(LeBlanc), fils d'Hypolite LeBlanc et de Marguerite Barriault, s'enrôle dans l'armée
canadienne le 16 janvier 1917.
Il sert en France dans le 105e bataillon et dans le 26e
bataillon.
Il est démobilisé le 19 mai 1919. |
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Le sdt Anthony White, fils d'Hypolite LeBlanc et de Marguerite Barriault, sert pendant les
deux Guerres mondiales.
Voici ce qu'on dit de lui dans le livre: «By the Old Mill Stream».
« ... Pendant la Première Guerre mondiale, le sdt Anthony White fait
partie du 105e Régiment, sous les ordres du col Strong et était brancardier. |

SDT ANTHONY WHITE |
Pendant qu'il était au front et qu'un
bombardement était en cours, il recueille un de ses compagnons qui avait été blessé au
champ de bataille. Il soigne ses blessures et le ramène en lieu sûr; c'est pour cet acte
de bravoure, au mépris de sa vie, qu'il se mérite la Médaille militaire avec agrafe. La
Médaille militaire a été instituée par le roi Georges V; il s'agit d'une médaille
d'argent à l'effigie du Souverain d'un côté et portant les mots «For Bravery».
Son épouse Anna May, se souvient d'une histoire qu'il racontait souvent. . . . En 1918,
tandis qu'il était au front, un de ses compagnons du nom de Somers a été grièvement
blessé et est resté sur le champ de bataille. Anthony est arrivé et a pansé ses
blessures de manière à arrêter le sang; comme il le croyait mort, puisqu'il n'avait pas
de signe de vie, il prit son fusil et le planta par la bayonnette et y mit le casque de
Somers afin que le groupe vienne le ramasser. Puis il suivit son Régiment.Le jour de
l'Armistice, le 11 novembre, Anthony a été blessé au dos et a passé trois mois à
l'hôpital couché sur le ventre. Une fois rétabli, il est envoyé dans un hôpital
d'anciens combattants en Angleterre. Ce n'est qu'en route pour l'Angleterre, à bord du
bateau, qu'il a recontré son ami Somers, qu'il avait laissé pour mort sur le champ de
bataille. Il était sûr de voir un revenant, mais il s'agissait bien de Somers; il lui a
dit qu'il l'entendait parler, mais qu'il ne pouvait pas lui répondre. Une autre équipe
l'a recueilli plus tard ce jour là.»
Pendant la Seconde Guerre mondiale, il s'enrôle dans la Garde des Vétérans du Canada
et escorte de nombreux prisonniers de guerre allemands à des camps d'internement, dont un
à Cochrane en Ontario.
Il a été en poste aussi aux camps militaires de Dartmouth en Nouvelle-Écosse; St.
Stephen Nouveau-Brunswick; Ripples Nouveau-Brunswick et Valcartier au Québec.
Il est décédé le 11 juin 1975. |
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CANONNIER P. J. WILLIAMS
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Le canonnier P. J. Williams s'enrôle dans l'Armée canadienne le 19 juillet 1915.
Il sert comme bombardier dans la 98e batterie de siège. |
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