(Se donner un but commun : L’intégration des sciences et de la politique dans la fonction publique du Canada)
Aperçu : Pour passer de la situation présente à la situation idéale |
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PRÉSENTE |
TRANSITION |
IDÉALE |
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Questions liées à l’interface entre les sciences et les politiques Contradiction entre les systèmes de valeurs des scientifiques et des fonctionnaires et différences entre les modèles conceptuels des deux groupes Obstacles découlant de l’utilisation de vocabulaires différents et de l’absence de possibilités de dialoguer. Malentendus concernant la démarche de l’autre. Difficultés à soutenir le travail d’équipe et les travaux multidisciplinaires à cause d’une capacité scientifique limitée.
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Piliers d’un but commun et de l’intégration Préciser les rôles à jouer et favoriser l’adoption d’un but commun pour les deux groupes. Créer des équipes de scientifiques et de responsables des politiques pour régler les questions clés. Prévoir des possibilités de formation et de perfectionnement qui permettent d’être exposé à la situation de l’autre. Reconnaître et récompenser les contributions de la science au travail d’élaboration des politiques, et inversement.
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Outils, stratégies et approches
Étudier, analyser et faire connaître les rôles des deux groupes. Échanger des renseignements grâce à un procédé itératif. Discuter de certaines questions en employant une démarche officialisée. Remanier l’effectif pour créer des équipes et établir des dossiers de recherche au moyen d’encouragements précis. Favoriser les mesures, comme le jumelage avec le titulaire d’un poste dans l’autre groupe. Former les scientifiques à la démarche et au champ d’action des responsables des politiques, et inversement. Prévoir des possibilités et des encouragements pour ceux qui prendraient part à un échange. Interpréter les exigences rattachées à l’avancement des titulaires d’un poste de chercheur de manière à reconnaître la contribution à l’élaboration des politiques. Faire connaître nos attentes aux membres des deux groupes. |
Avantages Pour les scientifiques : Plus grande crédibilité Plus grande reconnaissance Plus grande confiance envers les responsable politiques Meilleur moral Satisfaction accrue Pour les responsables des politiques : Meilleure compréhension des questions scientifiques et plus grande confiance à leur égard Décisions plus proactives Meilleure capacité de réaction Solutions plus efficaces, plus solides Pour les organisations : Meilleure ambiance en milieu de travail. Optimisation des investissements scientifiques Éléments scientifiques plus pertinents. Meilleures politiques publiques Pour le public : Plus grande crédibilité de la science. Plus grande confiance à l’égard de la capacité décisionnelle du gouvernement. Soutien accru des éléments scientifiques fédéraux.
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