Résumé:
L’émergence des technologies médiatiques et leurs applications ont mené à une explosion des divers moyens et façons de participer à la vie publique, ce qui augmente la possibilité d’une amélioration de la démocratie politique. Cette possibilité serait basée sur l’acceptation des normes associées à la publicité, en particulier l’accès à l’information et une communication améliorée. En se fondant sur la conception que la démocratie est un terme définit par ses attributs qualificatifs qui représentent une politisation des questions morales et éthiques de l’égalité (à la différence d’une série de procédures et de méthode), cet article examine la possibilité d’une participation démocratique via des vecteurs du Web 2.0 tels que Facebook et d’autres sites de réseautage social. Ce qui émerge de cet exercice est la reconnaissance que l’information, la communication et la participation sont remplacées par motivation, jugement et action dans le contexte contemporain de la démocratie politique. Ceci implique en retour que nous sommes en train de mettre de côté les biens démocratiques les plus exigeants qui sont la politisation et l’égalité. L’acceptation de ces substituts de mauvais prestige par l’émergence des technologies médiatiques peut diminuer la probabilité de la politique qui a des buts moraux radicaux.
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