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Laboratoire de lutte contre les zoonoses d'origine alimentaire

 

Laboratoire de lutte contre les zoonoses d'origine alimentaire

Notre mission

Fournir aux décideurs politiques et aux autres responsables des informations scientifiques et des conseils axés sur la réduction des risques de maladies humaines attribuables à l'interface entre les humains, les animaux et l'environnement, ceci en accordant une attention particulière aux infections dues aux agents entéropathogènes.


Récipiendaire du prix de l'employeur de l'année participant à des programmes d'alternance travail-études de l'Université de Guelph!

Présentation du prix par Cecil Forsberg, professeur au département de biologie moléculaire et cellulaire à l'Université de Guelph.

« Pour ce qui est des programmes d'alternance travail-études en microbiologie, en biochimie et en chimie pharmaceutique appliquée, je suis ravi de savoir que le Laboratoire de lutte contre les zoonoses d'origine alimentaire de l'Agence de la santé publique du Canada a reçu le prix de l'employeur de l'année participant à des programmes d'alternance travail-études de l'Université de Guelph. En tant qu'étudiant en microbiologie participant à un tel programme, je ne crains pas d'affirmer que ce prix est amplement mérité. Les scientifiques et leurs collègues du Laboratoire de lutte contre les zoonoses d'origine alimentaire font profiter les étudiants de leur riche expérience en recherche grâce à un milieu propice au mentorat; ils confient aux étudiants d'ambitieux projets de recherche ayant une grande importance sociétale, leur permettant ainsi d'exploiter leurs talents, en plus de les guider dans leur apprentissage. Cet environnement propice à la formation de jeunes esprits pleins d'idées nouvelles permet d'offrir aux étudiants une formation scientifique pratique qui complète avantageusement leur expérience universitaire. De notre point de vue, ces avantages sont multipliés du fait du nombre important d'étudiants participant à des programmes d'alternance travail-études que vous avez admis au cours des dernières années, soit 54 étudiants depuis 1994, dont 35 % ont travaillé pendant deux trimestres consécutifs. Beaucoup de scientifiques du Laboratoire ont travaillé avec nos étudiants inscrits à ces programmes, mais je voudrais plus particulièrement souligner le travail du D r Cornelius Poppe, qui a supervisé la majorité de nos étudiants; j'ai pu parler à plusieurs d'entre eux, et tous m'ont fait part du plaisir qu'ils avaient eu à travailler avec lui. Nous souhaitons profiter de l'occasion pour vous remercier de la précieuse contribution que vous avez apportée à l'enseignement et à l'expérience professionnelle de nos étudiants; j'espère sincèrement que cette collaboration se poursuivra à l'avenir. »

Nos objectifs stratégiques

  1. Déterminer et surveiller l'incidence, les tendances, les réservoirs et les sources des infections entériques le long de la chaîne alimentaire et dans l'environnement, ainsi que leurs modes de transmission aux humains.
  2. Reconnaître et surveiller la nature, les déterminants, les tendances et l'incidence de la résistance aux antimicrobiens parmi les micro-organismes présents chez les animaux et dans les aliments afin de déterminer l'effet de l'utilisation des antimicrobiens en agroalimentaire et en aquaculture sur l'apparition et la transmission de la résistance aux antimicrobiens chez les agents pathogènes humains.
  3. Réaliser des analyses de risque relativement à l'émergence et à l'incidence des agents entéropathogènes le long de la chaîne alimentaire, ainsi qu'à leur transmission aux humains.
  4. Déterminer les facteurs de risque liés aux hôtes, aux agents pathogènes et à l'environnement qui influent sur l'apparition, le maintien et la propagation des entéropathogènes chez les réservoirs animaux, à l'intérieur de la chaîne alimentaire et dans l'environnement, de même que sur la survenue d'infections et de maladies chez l'humain, particulièrement dans le cas de Salmonella, de Campylobacter et de E. coli producteur de vérotoxine.
  5. Élaborer et/ou évaluer des stratégies visant à limiter l'incidence des agents entéropathogènes chez les réservoirs animaux, dans les produits d'origine animale et dans l'environnement, surtout en ce qui touche à Salmonella, à Campylobacter et à E. coli producteur de vérotoxine.
  6. Évaluer jusqu'à quel point les politiques, les programmes et les usages en matière de salubrité des aliments et de santé publique sont efficaces pour réduire l'impact des maladies entériques dans les populations humaines.