Page d'accueil
Le village virtuel
Le village
Les habitants
Le journal




Page d'accueil
Plan du site
Liens intéressants
Lignes du temps
Cartes géographiques
La vie dans l'Ouest Le village virtuel Retour dans le passé : Albersask 1905
Le village virtuel Retour dans le passé : Albersask 1905
Le journal Archives
5 novembre 1905

3 décembre 1905

11 décembre 1905

23 janvier 1906

6 février 1906

27 février 1906

Page 1
Page 2
Retour dans le passé : Albersask 1905
Albersask, Le pionnier
27 février 1906
Page 1

Le téléphone
une invention utile
Voici l'image d'un téléphone comme on peut en voir à Edmonton.

Quand j'ai appris que je pouvais passer par Albersask pendant mon voyage pour visiter mon bon ami Hervé Lacroix, j'ai sauté de joie. Quand je lui ai parlé des téléphones d'Edmonton, il m'a encouragé à écrire un article qui parle de ce sujet fascinant.

Un téléphone, c'est un appareil qui nous permet de parler avec une autre personne qui peut être à l'autre bout de la ville ou dans une autre maison, comme chez vos voisins d'en face. Cet appareil a l'air d'une boîte de bois (deux pieds par un pied) avec une sonnette qui est située sur le haut de l'appareil; il y a aussi un récepteur en forme de cône dans lequel on parle, situé en bas de la boîte et, finalement, un écouteur en forme de cône qu'on place sur l'oreille pour entendre l'autre personne qui parle. L'écouteur est relié par un fil à la boîte et se range sur le côté gauche. Pour faire fonctionner l'appareil, on fait tourner la manivelle située sur le côté droite du téléphone. Les téléphones sont reliés entre eux par des fils de métal qui se rejoignent à une centrale, un bureau où travaille une téléphoniste qui redirige tous les appels.

À Edmonton, on a des téléphones depuis 1884 quand Alex Taylor a fait construire une ligne téléphonique entre Edmonton et Saint-Albert. Depuis 1900, on a ajouté tellement de téléphones qu'on a dû bâtir une centrale. En décrochant le récepteur, on informe la téléphoniste de la personne à qui on veut parler et c'est elle qui fait la connexion. Le téléphone sonne chez l'autre personne et elle répond.

Bien que les téléphones soient très utiles, ils ne sont pas très sécuritaires. Avant la construction de la centrale, n'importe qui pouvait décrocher le récepteur et écouter les conversations des autres. Certains quartiers avaient décidé de mettre plusieurs téléphones sur une même ligne téléphonique pour éviter les coûts d'installation. Le téléphone sonnait dans toutes les maisons mais de façon différente - un DRRRG long et un DRRRG petit dans une maison, deux DRRRG petits dans une autre. Mais n'importe qui dans le quartier pouvait décrocher le récepteur et écouter la conversation. La téléphoniste pouvait, elle aussi, écouter la conversation. Il fallait donc choisir une personne très discrète comme téléphoniste et en qui les gens avaient très confiance.

Les téléphones auront probablement beaucoup d'utilité dans les années qui viennent même s'ils sont aussi sécuritaires qu'une conversation à haute voix dans la rue! Alors attention à ce que vous dites et à qui vous le dites!

Warren Blanchet
Correspondant pour Le pionnier
Edmonton



Les vêtements
MACKINTOSH


Vêtements
de
distinction
pour homme


Complets
Chapeaux
Imperméables
Faits sur commande


Samuel Mackintosh
Albersask


BOVRIL



Bovril est, dans une même gorgée, de la viande et du liquide; il constitue un breuvage réchauffant, nourrissant et reconstituant qui protège le système contre le rhume, les refroidissements, les frissons et les autres malaises courants. Bovril est en même temps un aide utile et commode pour la cuisinière dans la préparation des soupes et des entrées.
Page 1

Suite, page 2 Cliquez pour lire la suite, page2
Haut de page



© 2002 La Société francophone de communication de l'Alberta (Tous droits réservés)
La forêtL'écoleLa fermeÉgliseLa forgeLe Grand Hôtel