De 1974 à 1984, Monique Lalancette travaille comme graphiste, suit une formation en danse moderne et en arts plastiques et participe à des ateliers d'interprétation et de travail sur le corps et la voix.

En 1985, elle est sélectionnée à l'exposition annuelle de l'Université Concordia où elle reçoit une mention d'honneur. En 1986, même scénario sauf que cette fois-ci on lui accorde un prix d'excellence et une mention d'honneur. Une année plus tard, elle obtient son baccalauréat en arts visuels à l'Université Concordia et poursuit son apprentissage en s'initiant à l'infographie, la psychologie et à la philosophie.

C'est en 1987 qu'elle réalise sa première exposition solo De la figure au cerf-volant à la galerie l'Empreinte à Montréal. Le Conseil des Arts du Canada lui attribue en 1991 une bourse Explorations pour entreprendre une recherche sur les croyances anciennes vis-à-vis de la mort. La même année, le Vermont Studio Center lui remet une bourse de recherche qui lui permet de prolonger son séjour dans leur résidence d'artistes et de développer sa série Mémoires.

Sa quatrième exposition solo a eu lieu à la galerie du Centre de St-Lambert en 1992 et sa dernière, en novembre 1995, à la galerie du Centre l'Oreille Recousue à Montréal.

En 1997, le comité de sélection de la galerie du Musée des Beaux-Arts présente un de ses tableaux faisant partie de la série Rite du thé. Depuis, elle expose ses œuvres miniatures, toujours sur le thème du théisme, dans plusieurs galeries à Montréal, en région ainsi qu'à Toronto.

Démarche artistique

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