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No Holds Barred: My Life in Politics

Élément graphique

Avant-propos à La sérieno 1 par le professeur Ronald Rompkey Élément graphique No Holds Barred: My Life in Politics Élément graphique White Tie and Decorations: Sir John and Lady Hope Simpson in  Newfoundland, 1934-1936 Élément graphique The Danger Tree: Memory, War, and the Search for a Family's Past Élément graphique Canversations

Crosbie, John. Avec Geoffrey Stevens.

No Holds Barred:
My Life in Politics

Toronto, McClelland & Stewart, 1997.

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No Holds Barred mémoires politiques de John Carnell Crosbie (n. en 1931), un des hommes politiques terre-neuviens les plus compétents et les plus originaux de l'époque de l'après-confédération, un personnage qui aurait certainement joué un rôle prépondérant dans un gouvernement national si Terre-Neuve avait conservé son indépendance. C'est un John Crosbie vitupérateur et antagoniste dont nous faisons la connaissance au fur et à mesure qu'il nous décrit les personnages et les événements qui ont marqué sa vie. Le récit s'ouvre sur son enfance privilégiée. Fils de l'homme d'affaires de St. John's Chesley A. Crosbie (qui refusa de signer les Conditions de l'union de Terre-Neuve au Canada en 1949), son éducation à St. Andrew's College (Aurora) et son éducation universitaire à Queen's, à la Dalhousie Law School et à la London School of Economics, nous entrons ensuite dans sa vie en politique. Appelé au barreau en 1957, Crosbie a été élu pour la première fois en 1965 à titre de conseiller municipal de St. John's, démissionnant en 1966 pour faire son entrée au cabinet du premier ministre Joseph R. Smallwood, dont la présence dans la première moitié s'apparente à l'omniprésence d'un revenant. Les événements entourant la démission de Crosbie du cabinet, en 1968, en compagnie de Clyde Wells (qui deviendra plus tard premier ministre), mettent un terme à cette époque.

L'année suivante, Crosbie tente sans succès de remplacer Smallwood à la tête du Parti libéral, puis siège comme député libéral indépendant et chef du groupe libéral de réformes jusqu'à son adhésion au Parti progressiste conservateur en juin 1971. Il occupe par la suite un poste dans le cabinet du premier ministre Frank Moores, puis en 1976, se fait élire à la Chambre des communes. En 1979, Crosbie, qui occupe alors le poste de ministre des Finances, subit la défaite de son budget et la démission du gouvernement du premier ministre Joe Clark. En 1983, il se présente, sans succès, à la course au leadership du Parti progressiste conservateur du Canada. Brian Mulroney l'invite toutefois à se joindre au cabinet des ministres et il participe à la mise en œuvre de l'Accord de libre-échange en sa capacité de ministre du Commerce international. En sa qualité de représentant de Terre-Neuve au sein du cabinet, il a également été responsable de l'approbation du projet du champ pétrolifère d'Hibernia et a négocié la compensation financière rendue nécessaire par l'effondrement de la pêche à la morue. Il s'est retiré de la vie publique en 1993.


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