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George Vancouver : Une côte pour le roi d'Angleterre
Par la suite
Bien que l'expédition de George Vancouver soit couronnée de succès, peu de gens lui font des éloges. Certains historiens croient que son caractère était peut-être attribuable à une maladie qui s'appelle l'hyperthyroïdie. À cause de celle-ci, il se fâchait facilement. Il prend sa retraite en 1795 et meurt deux ans plus tard, à 40 ans.
Des eaux qui guérissent
Le dernier voyage de George Vancouver ruine sa santé. Pour se rétablir, il va à la station thermale de Bristol pour profiter des sources d'eau chaude. À l'époque, les gens se déplaçaient pour aller faire des cures dans des sources naturelles. Ils croyaient que se faire tremper dans ces eaux guérissait toutes sortes de maladies. Mais les eaux qui guérissent ne l'aideront pas.
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Ayant pris sa retraite à Petersham, en Angleterre, George Vancouver commence à rédiger le récit de ses voyages. Il a presque fini quand la mort le surprend, en mai 1798. Son frère John terminera le livre, qui sortira quelques mois plus tard.
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