Musée des beaux-arts du Canada

Bulletin Annuel 1, 1977-1978

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Femme couchée de Henry Moore

par Alan G. Wilkinson


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Notes


1 M. Forman Fowler était un ami de Peter Watson, le premier propriétaire de la Femme couchée d'Ottawa. A sa mort, ce dernier lui légua sa collection de peintures et de sculptures, dont l'oeuvre susmentionnée.

2 Copie de la lettre de Jarvis à M. Fowler conservée dans les archives de la Galerie nationale du Canada.

3 Extrait d'une conversation entre l'artiste et l'auteur.

4 Philip James, éd., Henry Moore on Sculpture (Londres: 1966), p. 33. Recueil d'écrits et de citations du sculpteur.

5 Roger Fry, Vision and Design, 1920 (Middlesex, Angleterre: Pelican Books, rééd. 1961), pp. 86-87.

6 Ibid., p. 88.

7 Ibid., p. 88.

8 James, op cit., p. 72.

9 Fry, op. cit., p. 92.

10 E. H. Gombrich, Norm and Form: Studies in the Art of the Renaissance (Londres, 1966), p. 89.

11 Robert Goldwater, Primitivism in Modern Art, 1938. (New York: Vintage Books, rééd. 1967), p. 66.

12 Gombrich, op cit., p. 89.

13 James, op. cit., p. 57.

14 Henry Moore Sketchbook 1926 (éd. facsimilé, reproduit par Daniel Jacomet et Cie, Paris, publié par Ganymede Original Editions, avec la collaboartion de Fischer Fine Art Ltd., 1976). Le catalogue accompagnant le carnet facsimilé renferme une introduction de Henry Moore et les notices du catalogue sont de Alan G. Wilkinson. Le carnet original est conservé par l'artiste, et les lignes citées dans le texte se trouvent au recto de la première page.

15 James, op. cit., p. 57.

16 Ibid., p. 159.

17 Des dix-huit sculptures exécutés en 1929, six sont des masques ou des têtes. L'année précédente, Moore avait fait l'acquisition de L'Art Précolombien d'Adolphe Basler et Ernest Brummer (Paris, 1928), qui renferme de nombreuses illustrations masques. Le regain d'intérêt de Moore pour les masques (il n'en avait fait que quatre entre 1921-1928) pourrait bien avoir été suscité par ce livre. Même les visages sembables à des masques que l'on retrouve dans ses dessins d'après nature de 1929-1930 peuvent trahir cette influence.

18 Herbet Read, Henry Moore, (1965), p. 72.

19 James, op. cit., pp. 40, 42.

20 David Sylvester, Henry Moore (catalogue d'exposition) (Conseil des arts de la Grande-Bretagne, 1968), p. 156. Pour une exposition à la Tate Gallery.

21 Extrait d'une coversation entre l'artiste et l'auteur.

22 La peinture est aujourd'hui conservée au Philadelphia Museum of Art.

23 En 1961, dans une conversation avec John et Vera Russell, Moore déclarait: « Au cours de ma première année au collège (au Royal College of Art), Raymond Coxon et moi avons ressenti le besoin d'étudier certains tableaux originaux de Cézanne; aussi, nous avons demandé la permission de nous rendre à Paris pour le congé de la Pentecôte » (citation tirée de James, op. cit., p. 190).

24 Au cours des années 1920, Moore exécuta de nombreuses sculptures pendant les vacances, particulièrement l'été. C'est une erreur de croire qu'une sculpture d'après dessin est nécessairement réalisée dans les quelques mois ou même l'année qui suit l'exécution du croquis préliminaire. Moore esquissait souvent des croquis dans ses carnets en vue d'y puiser ultérieurement ses projets de sculpture.

25 John Russell, Henry Moore (Londres, 1968), p. 28.

26 John Hedgecoe, éd. et photographie, Henry Moore (Londres, 1968), texte de l'artiste.

27 Henry Moore a déclaré à l'auteur qu'il croyait avoir exécuté un relief de figure couchée au dos d'un banc de jardin. Si tel est le cas, l'oeuvrea été perdue ou détruite. 

28 Sylvester, op. cit., p. 6.

29 Extrait d'une cpnversation entre l'artiste et l'auteur, cité dans 
« The Drawings of Henry Moore », thèse de doctorat (inédite) de Alan G. Wilkinson soutenue au Courtauld Institute of Art, University of London (juillet 1974), p. 264.

30 James, op. cit., p. 69.

31 Ces observations sont extraites d'une conversation entre l'artiste et l'auteur, en novembre 1976.

32 Extrait d'une conversation entre l'artiste et l'auteur.

33 Ezra Pound, Gaudier-Brzeska (Londres, 1916), p. 9. Un autre sculpteur, Gaston Lachaise, a également associé la figure de femme couchée aux montagnes. Hilton Kramer faisait observer à ce sujet: « Lachaise a exécuté dans la pierre et le bronze de nombreuses figures couchées de diverses dimensions évoquant les montagnes - la première en 1913, la dernière et la plus grande, en 1934, vers la fin de sa vie. » Hilton Kramer, The Sculpteur of Gaston Lachaise (New York, 1967), note sous pl. 30, The Mountain (La montagne), 1924.

34 James, op. cit., p. 58.

35 En novembre 1976, l'artiste a déclaré à l'auteur qu'il avait parlé de la sculpture d'Ottawa avec Wilenski avant la publication de son livre et qu'il lui avait proposé le titre de Mountains (Montagnes).

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