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Quatre émaux peints du XVIe siècle
par Philippe Verdier
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Notes
1 No 23410 acheté en 1979. Diamètre: 24,5 cm. Collections:
prince Nicolas de Roumanie; vente des 21-30 mai 1964, Galerie Stuker, Berne,
no 162; Germain Seligman, New York (m. 1978). The Collection of Germain Seligman
Paintings, Drawings and Works of Art Edited by John
Richardson, New York, 1979, no 107.
2 Philippe Verdier, Catalogue of Painted Enamels of the Renaissance,
The Walters Art Gallery, Baltimore, 1967, nos 4-6, pp. 6-8.
3 Three Great Centuries of Venetian Glass: A Special Exhibition,
The Corning Museum of Glass, Corning, New York, 1958, nos 27-29, 30,
33; Joseph Philippe, Initiation à l'histoire du verre, Liège,
1964, fig. 93, 94.
4 Decorative Arts of the Italian Renaissance, Catalogue d'exposition,
Detroit Institute of Arts, 18 novembre 1958-4 janvier 1959, no 416. Cf.
no 415. Donald F. Rowe, 5.1., Enamels: The XII to the XVI Century Special
Exhibition at Martin d'Arcy Gallery of Art, Chicago, 1979, no 23.
5 Erich Steingräber, « Studien zur venezianischen Goldschmiedekunst
des 15 Jahrhunderts », Mitteilungen des Kunsthistorischen Institutes
in Florenz, X, 13, 1962, pp. 147-192, cf. fig. 41-45; « Émai
», Reallexikon zur deutschen Kunstgeschichte, p. 43, fig. 30, tirage
à part.
6 23143. 28 x 22,5 cm. Collection Marcus Antocolsky, vendue à Paris les 10-12
juin 1901, no 49 Alain Moatti, Paris, acheté 1978. Marquet de Vasselot,
dans sa note au musée du Louvre sur les crucifixions de Jean II
Pénicaud, l'a inscrite sans commentaire sous le nom de Jean II ou
Jean III Pénicaud. Dans le programme de mars 1979 de la Galerie
nationale, sous le titre « Acquisition récente », il a été
écrit d'une manière erronée que la plaque émaillée
provenait « certainement de la couverture d'un livre religieux »,
ce qui, étant donné la fragilité de l'émail
peint, est exclu. Mais ce n'est pas le cas pour les émaux champlevés
de Limoges des XIIIe et XIVe siècles, qui accompagnaient des figures
en cuivre doré sur les plats de reliure. Marie-Madeleine Gauthier,
« Les reliures en émail de Limoges conservées en France », Humanisme actif:
Mélanges d'art et d'histoire offerts
à Julien Cain, Paris, 1968, pp. 271-287.
7 p. Verdier, Catalogue of Painted Enamels of the Renaissance, op.
cit., pp. XIX-XX.
8 P. Verdier, « Les émaux en grisaille de la Renaissance », Plaisir de
France, décembre 1967, pp. 46-52.
9 Françoise Bodin, « Jean de Langeac, mécène
et humaniste », Bulletin de la société archéologique
et historique du Limousin, LXXXVI, 1956, pp. 81-104; Madeleine Marcheix,
« Plaque émaillée de Léonard Limosin », ibid.
XCVIII, 1971, pp. 198-206. Cette plaque, acquise par le musée municipal
de Limoges, a été volée avec l'ensemble de la collection
des émaux.
10 Un P couronné, avec un trait horizontal à droite du
bas de la hampe.
11 Vente Ernest Odiot, Paris, 26-27 avril 1889, no 537 Collection Shuvalov, Trésors d'art en Russie,
1902, p. 283. A. Rachoff, Album
de l'exposition rétrospective d'objets d'art de 1904 à
Saint-Petersbourg, pp. 187-189, pl. XVI; O. Dobrolonskaya,
Les émaux
peints de Limoges XV et XVI siècles, Collection du Musée
de l'Ermitage, Moscou, 1969, no 17. Texte en russe, en anglais, en
français et en allemand.
12 Ancienne collection Gatteaux exposée au Musée rétrospectif
de 1865: A. Darcel, Gazette des Beaux-Arts, 1865, 11, pp. 526-530.
J. J. Marquet de Vasselot, Catalogue sommaire de l'orfèvrerie,
de l'émaillerie et des femmes du Moyen Age au XVIIe siècle,
Paris, musée national du Louvre (1914), no 486. Bertrand Jestaz, ancien
conservateur au département des objets d'art du Louvre et professeur
à l'École des Hautes Études, Paris, a eu l'amabilité
de m'écrire que Marquet de Vasselot, dans l'une de ses notes sur
les émaux de la Renaissance laissées au musée du Louvre,
exprima des doutes sur l'authenticité de la signature.
13 Collection Lucien Cottreau, vente à Paris, 28-29 avril 1910,
no 60. M. Hamel, « La Collection Cottreau », Les Arts,
no 100, avril, 1910, fig. p. 14; P. Verdier, Catalogue of Painted Enamels of
the Renaissance, op. cit. , no 49, p. 100.
14 Émile Molinier, Collections du château de Goluchow,
Paris, 1903, no 214.
15 Plusieurs plaques cintrées, destinées à être
insérées dans des baisers de paix, furent émaillées
dans l'atelier Pénicaud. L'une, en grisaille, exécutée
vers 1535-1540, est à la Walters Art Gallery. P. Verdier, Catalogue
of Painted Enamels of the Renaissance, op. cit., no 46.
16 Comme encore sur l'émail de la Transfiguration au musée
de Cluny, Paris (no 14.735).
17 Dans une lettre du 27 mars 1979 à l'auteur de cet article,
M. Roger Pinkham, conservateur du département des céramiques
au Victoria and Albert Museum, attribuait le pied émaillé
à Martin Didier, dit Pape, émailleur à Limoges dans
le troisième quart du XVIe siècle. Cette opinion ne peut
être partagée. Les médaillons du pied émaillé
sont délicatement modelés dans des ombres grises transparentes,
alors que les émaux de M. D. Pape, par leurs profonds contrastes
de noir et de blanc, évoquent la technique d'un graveur à
l'eau-forte.
18 La vérification a été faite par Roger Pinkham,
au Victoria and Albert Museum, comme Madame Gabrielle Kopelman a eu l'obligeance
de m'en informer dans une lettre du 8 novembre 1978.
19 O. Dobrolonskaya, Les émaux peints de Limoges, op. cit., no 18.
20 The French Renaissance Enamels by the Master KIP and Related Works
by Contemporary Limoges Enamellers, cf. pp. 121-122. Sur cette remarquable
thèse, Philippe Verdier, dans Nouvelles de l'Estampe, Paris,
no 60, 1981, p. 50.
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