Musée des beaux-arts du Canada / National Gallery of Canada

Bulletin Annuel 8, 1984-1985

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Harold Town et l'art du collage:
À propos de Musique a l'arrière, 1958-1959

par Denise Leclerc

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Notes

1 «...que le collage a toujours affaire quelque part avec la pensée technique, et qu'il pose toujours la question du matériau ». Groupe u, « Douze bribes pour décoller », Revue d'Esthétique. Collages, no 3-4 (1978), p. 14.

2 Ibid., p. 35.

3 Clement Greenberg, « Collage », Art and Culture, Boston, Beacon Press, 1965, p. 71.

4 «...le jeu et l'art obéissent au même principe: le principe de plaisir ...Tout jeu n'est pas de l'art. Mais une activité ludique devient artistique lorsqu'elle est soucieuse d'une certaine perfection ». Mikel Oufrenne, « L'art de masse existe-t-il? », Revue d'Esthétique. L'art de masse n'existe pas, no 3-4 (1974), p.29.

5 « Pollock and I didn't really know much about collage except that you pasted things on. We were both intimidated by the project ». Robert Motherwell, dans Gerald Peary, « Motherwell's 
'doodlings' », The Globe and Mail (3 nov. 1984), p. E5.

6 Jerrold Morris, Harold Town: 1954 / 1959. Prints and Collage (cat. exp.), Toronto, Jerrold Morris Gallery / Mazelow Gallery, 1967, n.p.

7 « From 1953 to 1956 I was (despite a large body of painting) mainly concerned with printmaking ». Lettre de Harold Town à 
J. S. Boggs (10 mai 1972), Musée des beaux-arts du Canada.

8 René Chicoine aurait «risqué» cette traduction pour la première fois dans Le Devoir (15 mars 1957) à l'occasion d'une exposition Harold Town à la galerie l'Actuelle, et il l'a reprise dans sa traduction de l'ouvrage de William Withrow, La peinture canadienne contemporaine, Montréal, Éditions du Jour, 1973, p.76.

9 « Collage was a major activity from 1957 to 60...». Lettre de Harold Town à O. Reid (19 mars 1972), Musée des beaux-arts du Canada.

10 « In some of the prints, the ordinary lithographic process is transformed by the addition of personal elements. "These", he [H. Town] writes, "incorporate both hand pressure and mechanical aids (combs, burlap, thread, wire, etc.)", together with the use of "stencils, templates, screens, resists (rubber cernent or wax) adulterated inks and collage...» « The Autographic Prints of Harold Town », Canadian Art, vol. XIII, no 4 (été 1956), p. 335.

11 « As a printmaker I cut up prints that don't please me...and [also] print many proofs to use as collage material. In this way I live on my creative self and in the end, like a meat packing plant, I waste nothing ». Harold Town, dans Harriet Janis et Rudi Blesh, Collage, Philadelphie, Chilton Book Company, 1967, p. 155.

12 Herta Wescher, « Nouveaux collages abstraits », XXe siècle, no 6 (janv. 1956), p. 59.

13 Entretien avec Harold Town, Toronto, 6 mars 1985.

14 Idem.

15 Idem.

16 Nous empruntons l'expression à Thierry de Duve, « À propos du ready-made », Parachute, no 7 (été 1977), p. 22.

17 Il est possible qu'il s'agisse d'un modèle de marque Pei. Renseignement fourni par Harold Town dans une lettre à l'auteur (27 janv. 1985), Musée des beaux-arts du Canada.

18 Irving Sandler, The New York School, New York, Icon Editions, Harper & Row Publishers, 1978, p. 174-183.

19 Entretien avec Harold Town, Toronto, 6 mars 1985.

20 « It is evident that Town was not aware of the persuasive forces which were to lead to Pop art, which he resisted and rejected after his one essay [Musique à /'arrière] as a solution too facile to pursue ». Jerrold Morris, Harold Town: 1954/1959. Prints and Collage (cat. exp.), Toronto, Jerrold Morris Gallery / Mazelow Gallery, 1967, n.p.

21 Rosalind Krauss, « Grids », October, no 9 (été 1979), p. 51.

22 « Collage is by nature the technique that most efficiently connotes threat: its elements are torn or cut and gouged by brute forces, the pasted reality can never achieve the reassuring wholeness of a painted scene ». George Bogardi, « Paterson Ewen's 'phenomenascapes' », Chimo Magazine, vol. 5, no 5 (sept. 1982), p. 26.

23 «...during the period in which the collage was made, television (in Canada at least) was relatively new. One just did not find broken sets staring from garbage in the streets ». Lettre de Harold Town à l'auteur (27 janv. 1985), Musée des beaux-arts du Canada.

24 Entretien avec Harold Town, Toronto, 6 mars 1985.

25 Gary Michael Dault, « The Altemate Eden », Visions, Vancouver / Toronto, Douglas & Mclntyre, 1983, p. 83.

26 « I also remember letting my oldest daughter sit on my knee and help glue and hold the drinking straws in place. She was also so solemn and concerned that the activity became nearly votive in feeling ». Lettre de Harold Town à l'auteur (27 janv. 1985), Musée des beaux-arts du Canada.

27 William A. Camfield, « The Machinist Style of Francis 
Picabia », The Art Bulletin, vol. XL VIII (sept.-déc. 1966), p. 309.

28 Entretien avec Harold Town, Toronto, 6 mars 1985.

29 Toronto et Peterborough (6-7 mars 1985).

30 «...it [photography] is a collage machine (perfected in television), producing simulacra of the life-world ». Gregory L. Ulmer, « The Object of Post-Criticism », The Anti-Aesthetic, dirigé par Hal Foster, Port Townsend (Wash.), Bay Press, 1983, p. 85.

31 Bernard Teyssèdre, L'Art au siècle de Louis XIV, Paris, Librairie Générale Française, 1967, p. 319.

32 Herta Wescher, Collage, New York, Harry N. Abrams, 1971, p. 7.

33 Voir Linda Milrod, Pasted Paper: A Look at Canadian Collage, 1955-1965 (cat. exp.), Kingston, Agnes Etherington Art Centre, 1979, n. p.

34 William C. Seitz, The Art of Assemblage (cat. exp.), New York, The Museum of Modern Art, 1961, p. 93.

35 Nous tenons à remercier Francine Sarrasin de Montréal qui effectue des recherches en iconographie musicale canadienne pour sa collaboration dans la recherche de l'identification de la page musicale. Les résultats d'une recherche préliminaire nous permettent de dire qu'il s'agit d'une partition pour piano et probablement d'une valse. L'artiste se souvient d'avoir pris cette feuille chez ses beaux-parents mais non du morceau musical dont elle est extraite.

36 Harold Town à Jean-René Ostiguy, vers 1956, en réponse à un questionnaire destiné au Musée des beaux-arts du Canada.

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