LE PREMIER MINISTRE ANNONCE DES CHANGEMENTS À
SA REPRÉSENTATION AUPRÈS DU G8
Le 23 septembre 2002
Ottawa (Ontario)
Le Premier ministre Jean Chrétien a annoncé aujourd’hui que
M. Claude Laverdure, conseiller en matière de politique étrangère
auprès du Premier ministre et secrétaire adjoint du Cabinet, assumera le rôle
de représentant personnel du Premier ministre auprès du G8. Au cours de la
période précédant le Sommet du G8 à Kananaskis, en Alberta, en juin dernier,
cette fonction a été exercée par M. Robert Fowler, ambassadeur du
Canada en Italie. M. Fowler réintégrera ses fonctions en Italie.
« L’ambassadeur Fowler a accompli un travail remarquable pour moi
comme sherpa en vue du G8 de Kananaskis, a dit le Premier ministre. Par sa
compétence et son dévouement, il a apporté une contribution inestimable au
succès du Sommet. »
Le Premier ministre a annoncé par la même occasion que, conformément aux
décisions prises à Kananaskis et pour faire en sorte que l’Afrique demeure
au centre de l’ordre du jour du G8, l’ambassadeur Fowler conservera son
rôle de représentant personnel du Premier ministre pour l’Afrique.
« J’attache une très grande importance à la mise en oeuvre efficace
du Plan d’action pour l’Afrique auquel tous les dirigeants du G8 ont
souscrit à Kananaskis, a ajouté le Premier ministre. La connaissance intime du
Plan d’action que possède M. Fowler en fait la personne idéale pour
exercer ce rôle. Il poursuivra le travail amorcé au sein du gouvernement et
auprès du public en vue d’assurer la prise de mesures énergiques pour donner
suite à tous les aspects du Plan d’action. L’Afrique a un besoin urgent de
notre aide, et notre gouvernement fait de l’aide à l’Afrique une priorité
urgente. »
À Kananaskis, les dirigeants du G8 ont souscrit à un Plan d’action pour l’Afrique
concret. Afin d’en assurer l’exécution efficace, ils y ont affecté les
ressources nécessaires et ont défini un mécanisme de suivi. Le Plan d’action
appuie les objectifs du Nouveau Partenariat pour le développement de l’Afrique
(NEPAD), dans le cadre duquel les pays africains qui s’engagent à assurer une
bonne gouvernance, des investissements dans les besoins sociaux et une saine
gestion économique bénéficieront d’une aide au développement accrue et
plus efficace de la part des pays avancés, de même que de meilleures
perspectives sur les plans du commerce et des investissements.
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