![L'exploration de l'Ouest - XVIIIe siècle](91/h3-vtb09_1-f.jpg)
![Élément graphique](91/h3-vtb52.jpg)
![Introduction](91/h3-vtb14_1-f.jpg)
![La jeunesse](91/h3-vtb27_1-f.jpg)
![Les moyens de transport](91/h3-vtb18_1-f.jpg)
![Le premier voyage](91/h3-vtb28_2-f.jpg)
![Le deuxième voyage](91/h3-vtb29_1-f.jpg)
![Les derniers voyages](91/h3-vtb34_1-f.jpg)
![Par la suite](91/h3-vtb21_1-f.jpg)
![Sommaire](91/h3-vtb50_1-f.jpg)
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Henry Kelsey : Sur la piste de ses amis autochtones
Le premier voyage
Henry Kelsey fait ses preuves en livrant des lettres du fort York à New Severn, aidé par un garçon autochtone. Du nouveau pour l'époque. À son retour, on l'envoie en expédition à la rivière Churchill pour faire la traite avec les Autochtones habitant au nord de la rivière. L'expédition échoue, car les Autochtones ne veulent pas faire la traite.
Il me faut un chapeau en peau de castor
Dans les années 1600, tout le monde en Europe rêve d'avoir un chapeau de castor. La peau de castor fait une sorte de feutre à laquelle on peut donner différentes formes. Elle est imperméable et ne s'use pas. Les chapeaux de castor sont si convoités que les gens en nomment l'héritier dans leurs dernières volontés.
Maureen Owens et Jane Yealland, Forts of Canada, Toronto, Kids Can Press, 1996, p. 49.
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