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Simon Fraser et le fleuve en cascade

Le deuxième voyage (jusqu'au Pacifique)

Carte du voyage de Simon Fraser, de 1805 à 1808; il parcourt le fleuve Fraser, du fort Chipewyan jusqu'à l'océan Pacifique

En raison d'une mauvaise saison de pêche et du manque de vivres, le groupe de Simon Fraser ne pourra pas parcourir tout le fleuve avant 1808. Les Autochtones de la région l'avertissent que les eaux sont trop mauvaises pour pouvoir passer, mais il essaie néanmoins. En juin, avec les autres membres de l'expédition, il abandonne l'idée de voyager en canot et termine le voyage à pied.

Bien qu'il ait réussi à se rendre au bout du fleuve (auquel on donnera plus tard son nom), Simon Fraser est déçu. La route est trop difficile à suivre pour être utile à la traite des fourrures.

Ouf! Il s'en est fallu de peu!
Au cours de son voyage de 1808, Simon Fraser navigue sur un cours d'eau tellement tumultueux que lui et son groupe passent à deux doigts d'y laisser la vie à quelques occasions. En arrivant à une gorge, il envoie d'abord un canot léger dans le passage étroit. Les pagayeurs en perdent la maîtrise et celui-ci se fracasse sur les roches. Il leur faut faire des marches dans la falaise et tirer le canot, les bagages et les hommes pour leur faire longer la paroi rocheuse escarpée.

Une autre fois, un de ses hommes se met dans une fâcheuse position, au bord d'un précipice, alors qu'il transporte des provisions. Simon Fraser doit ramper pour le rejoindre et couper les bretelles de son sac à dos. Le sac tombe dans le fleuve, et l'homme peut ramper jusqu'en lieu sûr.


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