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RSS Channel: Conférence Canadienne des Arts » Kimberly Wilson
Engagée à façonner un avenir dynamique pour les arts et la culture au Canada
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La CCA publie son Analyse des budgets provinciaux et territoriaux 2012–2013
Lettre de la Présidente

La Conférence canadienne des arts (CCA) est heureuse de remplir sa promesse de publier son Analyse des budgets provinciaux et territoriaux vus de l’angle des arts, de la culture et du patrimoine.


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Le blogue du directeur général
Nous avons émis ce matin un communiqué de presse intitulé : Après 67 ans d’existence, la Conférence canadienne des arts ferme ses portes. Je n’ai pas besoin de vous dire comment ces quelques mots ont été difficiles à écrire, comment nous avons tout fait pour ne pas avoir à les formuler. Et pourtant, nous nous devions faire face à l’inéluctable. Cela fait sept ans jour pour jour que je prenais la barre de la CCA. J’ai acquis au cours de ces années un énorme respect pour cette organisation et la contribution sans équivalent qu’elle a faite au développement de politiques culturelles au niveau fédéral. Combien de fois, particulièrement au cours des deux dernières années, ai-je entendu dire : « Si la CCA n’existait pas il faudrait l’inventer! » Au cours des derniers 18 mois, embrassant avec enthousiasme le défi lancé par la décision attendue que le gouvernement allait mettre fin à 47 ans de financement, nous avons tenté de réinventer l’organisation sur une base autonome, mais comme le dit notre présidente Kathleen Sharpe dans sa lettre, il nous aurait fallu deux ans de transition, pas les maigres six mois que le ministre nous a accordés. Il y a eu des moments de grande[.....]
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Après 67 ans d’existence, la Conférence canadienne des arts ferme ses portes
Communiqué   La Conférence canadienne des arts (CCA), la plus grande alliance nationale des arts, de la culture et du patrimoine pour l’ensemble du Canada, annonce qu’elle doit mettre immédiatement fin à ses activités. Fondée en 1945 par un groupe d’éminents artistes, dont les peintres Lawren S. Harris, du Groupe des sept, et André Biéler, la CCA a un mandat sans équivalent au sein du secteur culturel canadien : promouvoir au niveau fédéral les intérêts des artistes et de la culture canadienne au sens large du mot, et fournir un forum national où sont débattus les enjeux d’intérêt commun et sont harmonisées les interventions. Le nom de la CCA est écrit en filigrane de toutes les principales politiques culturelles fédérales, de la création du Conseil des arts du Canada en 1957 à l’adoption de la Convention de l’Unesco sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles en 2005. Il y a un an et demi, la CCA a appris que le gouvernement Harper allait mettre fin à 47 années de financement de l’organisation. D’entrée de jeu, la CCA a avisé le ministère du Patrimoine canadien qu’elle acceptait avec enthousiasme le défi de devenir indépendante de l’appui du[.....]
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Lettre de la présidente aux membres de la CCA

C’est avec beaucoup de tristesse que le conseil d’administration de la CCA en est venu à la conclusion, la semaine dernière, d’arrêter immédiatement ses opérations. Je peux vous dire que la décision que nous annonçons aujourd’hui est très difficile même si elle ne surprend guère en raison des défis auxquels nous devions faire face...


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Témoignages
Tout le monde parle de la CCA !  Voici ce qu’ils en disent . . .

« Sur toutes les questions de politique fédérale concernant notre secteur, la CCA est et demeure un lieu de concertation essentiel à la communauté artistique et culturelle. » - Yves Légaré, Directeur général, SARTEC

Davantage


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Numéro spécial Radio-Canada
Numéro spécial Radio-Canada

À la veille des audiences publiques sur les renouvellements de licence de Radio-Canada, nous vous présentons un numéro spécial qui inclut une entrevue avec son PDG, Hubert Lacroix ainsi qu’un aperçu des enjeux auxquels fait face notre radiodiffuseur public.


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L’heure des choix
Enjeux et défis de la SRC Le 19 novembre débutent les audiences du CRTC sur le renouvellement des licences de Radio-Canada. Après 13 ans, date du dernier renouvellement de licence de la SRC, il est certain que nous ne pouvons faire comme si rien n’avait évolué dans le monde des communications: l’écosystème de la radiodiffusion a été complètement chamboulé. « On le sentait déjà en l’an 2000 lors du dernier renouvellement de la SRC. Radio-Canada commençait à marquer sa présence. Mais les deux dernières années ont confirmé l’ampleur du phénomène, » de dire Pierre Bélanger. Les grands changements depuis 1999 Le numérique Le contexte numérique est un des grands changements qui a marqué la dernière décennie. Le CRTC a tenu des audiences publiques sur les nouveaux médias, la valeur du signal, l’intégration des entreprises. On a vu le nombre de service spécialisés exploser depuis les cinq dernières années. La SRC a fait des investissements majeurs dans les plateformes numériques, le Web étant maintenant bien intégré à la programmation radio et télévision. Ce graphique, tiré du dernier rapport trimestriel de la SRC dénote bien l’intégration – 82% des dépenses vont à la radio, la télévision et l’Internet. La SRC est résolument axée sur[.....]
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Une demande controversée
Depuis près de quarante ans, la radio de Radio-Canada et de CBC sont un havre exempt de battage publicitaire, où on peut écouter de la musique ou débattre d’importantes questions sans interruption. À la suite des compressions budgétaires incluses dans le budget Flaherty 2012, la Société a demandé au CRTC la permission de diffuser de la publicité nationale sur les ondes de Radio 2 et d’Espace Musique. Selon Radio-Canada, cela engendrerait des revenus de 15 à 20 millions de dollars les deux premières années, pour atteindre 35 millions la 7e année. Une majorité d’intervenants s’est prononcé contre la publicité sur ces postes radio de Radio-Canada. Pour l’Association canadienne des radiodiffuseurs (ACB), cette autorisation pourrait créer un précédent et inciter la Société à faire la même demande pour La Première Chaîne et Radio 1. Dans son mémoire, Open Media/PIAC s’inquiète que la publicité devienne « une préoccupation majeure pour la Société Radio-Canada et change la nature de la programmation d’une manière qui porte atteinte à sa capacité à servir l’intérêt public. » Astral affirme que : « Si le Conseil accepte aujourd’hui que la réallocation des crédits parlementaires de la radio vers la télévision est un justificatif approprié pour autoriser la diffusion de publicité sur[.....]
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Ici Radio-Canada
Bon, je l’avoue, Radio-Canada est ancrée en moi. Un peu comme Obélix, je suis tombée dedans quand j’étais petite. J’ai été élevée avec Radio-Canada. Je me souviens des dimanche matins dans le salon chez nous, mon frère et moi jouions pendant que mes parents lisaient. On écoutait la grande musique du dimanche à Radio-Canada. Radio-Canada, ce fut aussi des émissions comme Pépinot et Marie 4poches. Que c’est loin tout ça! Mais il est clair que nous ne sommes plus à la nostalgie. Nous avons changé, Radio-Canada aussi. Le monde des communications est à un monde de ce qu’il était il y a même 10 ans. Radio-Canada c’est aussi pour moi un endroit où j’ai travaillé à quelques reprises au cours des 30 dernières années, soit à Ottawa, à St-Boniface ou à Montréal. En 1999, j’étais l’une de celles qui a travaillé au renouvellement de licences de la télévision française. Il y a eu tellement d’eau qui a coulé sous le pont depuis. Les enjeux que l’on pouvait alors à peine esquisser font maintenant partie de notre quotidien. Contrairement à ce que laisse entendre mon entrée en matière, nous sommes conscients que l’heure n’est plus à la nostalgie. Plusieurs commentaires d’amis[.....]
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Nous aimons Radio-Canada mais…
Il semble que le vieil adage dit vrai : tout le monde est un critique. Le 19 novembre prochain, les audiences de renouvellement de licences de Radio-Canada débuteront. Dans les semaines qui ont précédé les audiences, organismes et individus partout au pays ont soumis leur opinion sur les modifications proposées par le radiodiffuseur public.  Il paraît clair, par les soumissions, que les Canadiens aiment Radio-Canada mais ont des opinions tranchées sur la façon dont elle doit être menée. Radio-Canada est une partie intégrante de la société canadienne et comme agence de la couronne, dont mandat est fort différent de celui des radiodiffuseurs privés. Les modalités de renouvellement de la licence auront un impact important sur l’avenir de la SRC et sur sa  responsabilité de promouvoir les artistes canadiens. Nous avons recueilli des citations de divers mémoires qui résument les opinions des intervenants au sujet des questions qui seront débattues lors des audiences. Vue d’ensemble Comme radiodiffuseur national, Radio-Canada a comme mission de diffuser des émissions à prédominance nettement canadienne. Plusieurs mémoires sont critiques de la télévision anglaise de Radio-Canada et de ses choix de programmation. Ils sont d’avis que l’horaire inclut trop de longs métrages américains et d’émissions de télé-réalité[.....]
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