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Bannière : Les passages : Récits d'aventures véritables pour jeunes explorateurs
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Les Premières nations et les Inuits

La période préeuropéenne

Bien avant l'arrivée des premiers explorateurs européens, les Premières nations et les Inuits de l'Amérique du Nord ont déjà exploré une grande partie du continent. Pour apprendre cette histoire, toutefois, il faut écouter leurs récits. Au lieu de les mettre par écrit, les Autochtones les ont gardés bien vivants en les racontant à leurs enfants. Lorsque les maladies ont fait des ravages parmi les aînés, un grand nombre de leurs récits ont à jamais disparu.

Les maladies européennes
Des maladies telles que la variole, la rougeole, la grippe, le typhus et la tuberculose font mourir un très grand nombre d'Amérindiens et d'Inuits.

Ces groupes n'ont jamais été exposés à des microbes européens. Leur organisme n'a pas de moyens de défense contre ces maladies. La population autochtone n'a pas, en retour, infecté les Européens de germes étranges. Cela s'explique parce que ces microbes et ces maladies apparaissent avec la domestication des animaux, notamment des bovins. Ces animaux sont abondants en Europe, mais presque inexistants dans le Nouveau Monde. Bien que les Autochtones du Nord aient des chiens, leur nombre n'est pas suffisant pour permettre la propagation des microbes.

Fait intéressant
Élément graphic : Séparateur Dans les années 1990, des archéologues exhument un squelette vieux de 8 000 ans près de Kamloops, en Colombie-Britannique. En raison de sa grande taille et de sa silhouette svelte, ils croient que c'était un coureur. Il y a très longtemps, un coureur était très respecté pour sa capacité de parcourir de grandes distances rapidement. Lorsqu'il fallait transmettre un message en toute hâte, un coureur se rendait au village suivant. Il était remplacé par un autre, qui se rendait au village suivant -- une course de relais, en quelque sorte.

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Un long sommeil!
Selon les anciennes histoires des Ojibwas, qui se sont transmises de génération en génération, le Grand Manitou (Esprit) s'est couché et a promis de s'éveiller dans 900 ans. Mais puisque personne ne sait au juste quand il s'est endormi, personne ne sait quand il se réveillera.

Sur la rive ouest du lac Supérieur, il y a un rocher en forme de personne couchée sur la péninsule de Sibley. C'est Nana'b'oozoo, le Grand Manitou. Marche doucement!

Photo : Graphiques figuratifs autochtones de la Colombie-Britannique  
 
Fait intéressant
Élément graphic : Séparateur L'allumage d'une kudlik, lampe traditionnelle en stéatite, symbolise le passage des connaissances d'une génération à l'autre.

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Excursion
Élément graphic : Séparateur On peut encore observer des peintures autochtones vieilles de milliers d'années sur les falaises et les grands rochers du plateau intérieur de la Colombie-Britannique de même qu'au site Agawa, sur la rive nord du lac Supérieur.

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