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Une éducation et une formation « en français s'il vous plaît »

 

FJA a encouragé la jeunesse et toute la communauté à revendiquer une éducation et une formation « en français s'il vous plaît ».

Francophonie jeunesse de l'Alberta s'est investie depuis les années 1970 dans le dossier de l'éducation française. En 1978, elle fait circuler un questionnaire sur les besoins d'éducation française dans les écoles bilingues de la province. Suite à la proclamation de l'article 23 de la Charte canadienne des droits et libertés en 1982, FJA appuie le mouvement pour la création d'écoles françaises et, plus tard, pour le droit à la gestion.

À l'assemblée générale annuelle (AGA), tenue en mars 1986, les membres de FJA signent une pétition pour appuyer la demande des parents de Saint-Paul pour obtenir une école française dans leur région.

L'AGA de 1987 est aussi dominée par le thème de l'éducation française et FJA met sur pied son propre comité d'éducation. En 1988, des jeunes se joignent aux parents lorsque ceux-ci ont recours au « sit-in » dans les bureaux de conseil scolaire catholique d'Edmonton pour demander une école secondaire francophone homogène.

En janvier 1989, lors du passage d'un recherchiste dans le dossier de l'éducation postsecondaire de la FJCF, FJA invite des jeunes se dirigeant vers des études universitaires et collégiales à participer à une table ronde sur les études postsecondaires.

Les jeunes en région prennent aussi l'initiative. Février 1989, les Anti-coquilles de Bonnyville demandent que leur soit remis le dossier sur l'éducation afin de faire avancer les choses. Un comité de parents est mis sur pied peu de temps après.

fameux dossier Picard   pétition
ll a fallu que les francophones envahissent la salle de délibération de la commission scolaire catholique d'Edmonton et qu'on y tienne un « sit-in » pour qu'enfin le gouvernement albertain, par sa ministre de l'Éducation, accepte de se mêler du fameux dossier Picard. (Le Franco, 18 mars, 1988)  

Pétition pour appuyer la demande des parents de Saint-Paul pour obtenir une école française dans leur région.

En 1997, on compte seize écoles françaises en Alberta, presque toutes gérées par des francophones.


On transmet la fierté aux plus jeunes

En plus de s'impliquer dans le dossier de l'éducation publique, FJA s'est appliquée à l'éducation et à la préparation de la relève et ce, de manière fort originale. FJA participe en 1981 aux premières étapes en vue d'établir le Camp Richelieu pour la jeunesse devenu par la suite le Camp Lusson. De 1984 à 1989, l'école estivale de hockey bat son plein. En collaboration avec le mouvement Desjardins et le Conseil albertain de la coopération, FJA organise un concours de composition de 1983 à 1986 : le concours international des jeunes. En 1995, FJA parraine le Monde de Zélu, projet visant à procurer des livres français aux élèves albertains.

En région aussi les jeunes s'amusent entre eux en français. Ainsi en 1979, les Anti-coquilles de Bonnyville mettent sur pied Ciné-soleil : le vendredi après l'école, les jeunes de l'élémentaire se rencontrent pour visionner des films en français. La tradition qui avait été perpétuée par l'ACFA régionale est reprise par un nouveau groupe de jeunes de 1991 à 1993.

concours international   l'école de hockey
Daniel Dallaire assiste à la remise des prix du concours international des jeunes au nom de FJA.  

L'école de hockey de FJA est un événement estival marquant pour les jeunes joueurs de hockey francophones de la province de 1986-1988.

Les jeunes se transmettent le secret de la réussite : Quand on veut….

 

fun dans la neigeLe camp Guernouillage I et II sont des exemples de la panoplie extraordinaire de sessions de formation et de leadership que FJA a offertes à ses dirigeants. Ces sessions ont réussi à faire ressortir les idées les plus innovatrices et à préparer des plans d'action afin de coordonner les efforts des jeunes de toute la province.

 

 

deux amisLe dernier-né des projets de FJA, « Camp tu veux » , vise aussi à préparer les leaders de demain et s'adresse aux jeunes du secondaire. Ce stage de leadership est offert habituellement dans le cadre d'une fin de semaine dans un centre de plein air. Des ateliers sur la gestion du temps, l'écoute, la proactivité et la résolution de conflits sont suivis d'une mise en situation au cours camp tu veuxde laquelle les jeunes doivent mettre en pratique les habiletés nouvellement acquises. À en croire les témoignages des jeunes, c'est un véritable succès :

 

 

« Quand nous avons passé la nuit dehors, ça m'a vraiment aidé à mettre mes valeurs au test. »
-Participant 1996

« J'ai apprécié le fait que vous avez pris le temps de nous enrichir de vos connaissances. »
-Participant 1997

 

 

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