Le travail de mine sous terre
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| Le chargement |
La salle de contrôle |
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Les préparatifs aux travaux de mine sous terre ont débuté par le creusage du puits No 1. Les constructions de surface, comprenant la salle des treuils, le chevalement, les bureaux, le « Change-House » et les entrepôts de surface sont à des stades divers d'avancement.
Tout cet ensemble, depuis la salle des treuils jusqu'au fond du puits, a été dessiné en vue de donner le maximum de rendement et de sécurité. Complètement à l'épreuve du feu d'un bout à l'autre, l'ensemble comprend des appareils de sécurité mus à l'électricité qui arrêtent les cages à un niveau prédéterminé du puits, des câbles de retention qui empêchent les descentes trop
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| L'abattage |
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Les déchargeurs
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brusques et des crans d'arrêt qui retiennent la cage si les câbles se détendent trop. Tout cela est l'objet d'un examen minutieux tous les jours. Des compresseurs fournissent aux travailleurs sous terre une provision d'air pur à raison de 2 800 pieds cubes à la minute. Dans les tunnels et les galeries d'évacuation, on a pris toutes les mesures de sécurité possible.
Actuellement, le développement se poursuit aux niveaux de 750 pieds et de 816 pieds. Déjà des galeries se prolongent jusqu'à 260 pieds du puits vertical et le tunnel s'élargit jusqu'à 130 pieds à certain endroit, pour y installer deux voies à wagonnets. Un éventail activé par un moteur de 25 forces et des tuyaux de 15 pouces aspirent tout gaz qui pourrait suivre une détonation. Une pompe et un poste d'énergie seront installé à ce niveau, de sorte qu'éventuellement les locomotives, les pelles à câble et les chargeuses seront activées par énergie électrique.
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| La salle de treuil |
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Le chevalement
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Au niveau de 816 pieds, on a poussé une galerie de plus de 100 pieds. Là le travail, autant que possible, est accompli par des outils pneumatiques, afin de diminuer le travail manuel des ouvriers. Selon les projets actuels, au cours des deux prochaines années, on devrait pousser des galeries principales sur une distance d'un mille et demi et pousser des galeries secondaires sur une distance de 5 milles, et des galeries de remontée (en pente ou verticales) d'environ un mille et demie.
Il y a actuellement 42 hommes au travail sous terre, en trois équipes, et 22 affectés aux travaux de surface. Bien qu'il soit retardé par le manque de mineurs d'expérience, le travail progresse de façon satisfaisante et plusieurs apprentis se sont déjà adaptés à ce genre de travail.
