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VOICI COMMENT ON FABRIQUE LES TEXTILES
À LA CANADIAN JOHNS-MANVILLE
(1) Laurette Martineau, travaillant avec adresse sur le métier à tisser dans l'atelier des textiles. On a trouvé plusieurs usages pour les textiles d'amiante à l'épreuve du feu. (2) Des doublures de freins de diverses largeurs sont tissées sur cet étroit métier avec des fils de fibres d'amiante. Ce métier se trouve également dans l'atelier des textiles. Les hommes que l'on voit sur la photographie sont : Cyrénus Fortier, à gauche, et Rolland Régis. (3) Ce n'est pas là du macaroni pour le Surhomme, ni un boyau pour arroser les jardins de la victoire ce boyau, fait de fibres d'amiante, servira à l'empaquetage. La machine est un « braider » et la préposée est Mlle Rita Brière. (Photos Harry Rowed, Office National du Film)
(4) Les deux femmes que l'on voit au métier sont Mme Georges Champagne à gauche, et Mme Armand Béliveau, la mère et la fille. M. Champagne et M. Béliveau travaillent aussi à la C. J.-M. (Photo R. Ouellette) (5) Alexandre Harnois, préposé aux cardes, dans l'atelier des textiles. (Photo R. Ouellette). (6) Annette Beaulieu, ciseaux en mains, pose pour le photographe; elle travaille à l'atelier d'empaquetage et coud des habits d'amiante. (Photo R. Ouellette). (7) Laurette Mailhot continue son travail sans se douter que le photographe est tout près. Son père, M. Philibert Mailhot, est mécanicien de locomotive à la C. J.-M. et membre du Club Quart-de-Siècle. (Photo R. Ouellette)
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