Musée des beaux-arts du Canada / National Gallery of Canada

Bulletin 13, 1969

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Commentaires sur l'exposition Jordaens

par Michael Jaffé

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Notes

1 « Calvinism in the Work of Jacob Jordaens », AQ, XXII, 1959, p. 356.

2 Gentse Bijdragen tot de Kunstgesch. & tot de Oudheidkunde, XX, 1967, p. 71-95. Cet article ne fut publié qu'en 1969.

3 On peut rejeter l'opinion exprimée oralement par F. Lugt (recueillie au Fitzwilliam Museum), selon laquelle le no 252 aurait pu être peint par Jacob de Wit. L'ADORATION DES BERGERS est une imitation typique d'un dessin de Jordaens par de Wit; elle est attribuée à « J. Jordaens (?) », à Weimar (hg. 1). Cette oeuvre présente un contraste frappant pour ce qui est de la technique avec un dessin de Jordaens sur le même sujet-voir le no 23 ci-dessous (hg. 2); le traitement des têtes ailées des putti et des têtes de saint Joseph et du jeune berger révèle toute la joliesse précieuse de la griffe du dessinateur qu'était de Wit.

4 Voir L. Burchard, « CHRIST BLESSING THE CHILDREN by Anthony van Dyck », Burl M, LXXII, janvier 1938, p. 25-30, pl. A et C.

5 Par exemple, Anvers / Rotterdam 1966-1967, no 25; d'Hulst 1956, no 32.

6 Held 1969, p. 272, fig. 10.

7 Reproduit également dans Held 1969 (en frontispice) où il est attribué à Jordaens mais, comme étant peint « sur toile »; cette oeuvre a toujours été sur bois de chêne.

8 d'Hulst 1956, p. 22, 23, 27, 31, 54, 63, 77, 194.

9 d'Hulst 1967 (p. 84, fig. 5), suivant en cela l'avis de Gerson, est d'accord pour attribuer cette découverte relativement récente à Jordaens; il abandonne en même temps son jugement antérieur du tableau de Brunswick, qu'il considère maintenant (p. 85, fig. 6) « een latere kopie, waarshijnlijk uit het atelier ».

10 Held 1969, p. 271, nie la présence de Cérès (et de Bacchus) dans ce tableau très poétique qu'il attribue à un disciple.

11 Goris-Held, no A. 68, et Held 1969, p. 271, ne l'ont pas remarqué.

12 Held 1969, p. 268, attribue ce tableau à un disciple. Haverkamp-Begemann 1969A, p. 130, reconnaît que cette composition est de Jordaens mais considère la version de Mayence comme une réplique d'une première version disparue. Cependant, le tableau ne possède pas la constance de la qualité d'exécution qui caractérise les répétitions.

13 Held 1969, p. 271, met en doute l'opinion énoncée pour la première fois par R. Eigenberger selon laquelle ce tableau serait une étude caractéristique de Jordaens. Cependant, il semble avoir été peint de la même main que les deux études de la tête d'une servante (qui étaient à l'origine toutes les deux sur un seul panneau) attribuées correctement à Jordaens par L. Burchard, Koninklijke Musea voor Schone Kunsten, 1960, III-IV, p. 175-178, fig. 1 et 2. La suggestion de Held, selon qui il aurait « une ressemblance plus marquée » avec l'oeuvre de Jacob van Oost, semble moins convaincante.

14 Madeleine Hours, « À propos de quelques radiographies récentes », Bulletin du Laboratoire du Musée du Louvre, no 12, 1968, p. 54 et 55.

15 Denucé, p. 317.

16 Rubens-Bulletijn, I, p. 86-92.

17 Ibid., p. 177-178.

18 Voir A. von Schneider, Caravaggio und die Niederländer, Marbourg, 1933, p. 110,133, Taf. 45a.

19 Haverkamp-Begemann 1969A, p. 130, propose N. Lauwers (qui n'est pas connu comme peintre) comme auteur de ce modelletto pour cette estampe. Il ne propose pas Marinus comme auteur du no 43!

20 Cela doit également avoir induit d'Hulst en erreur dans son commentaire d'Anvers / Rotterdam 1966-1967, p. 62, au no 30.

21. Held 1969, p, 271, déclare que ce portrait est « l'oeuvre d'un élève, peut-être le même que celui qui a peint un tableau de L'ENFANT PRODIGUE, qui se trouve maintenant à l'Atheneum d'Helsinki, en Finlande ». Haverkamp-Begemann 1969A, p. 130 estime que le paysage n'est pas caractéristique du style de Jordaens vers 1635. Il n'empêche que cette oeuvre concorde bien avec un tableau signé et daté de cette même année [no 35]. Rowlands 1969 partage mon opinion et déclare que ce portrait « ne pose aucun problème en ce qui a trait à son attribution ».

22 Held 1969, p. 271, déclare que la date était 1647 ou même 1657, à l'origine. Sa thèse ne résiste pas au témoignage des yeux, pas plus que celle d'Haverkamp-Begemann 1969A, p. 130, qui en fait une réplique de la version de l'Ermitage.

23 La signature remarquée par Held 1969, p. 272, n'était pas visible quand la surface du tableau était sale: on ne l'avait pas signalée auparavant. Held ne précise pas que J. Jor est inscrit sous le trident de Neptune.

24 Held 1969, p. 266, déclare pourtant que « la préoccupation principale du tableau est religieuse ».

25 Pace Haverkamp-Begemann 1969B, p. 176.

26 Pace le refus de Held 1969, p. 267.

27 Held 1969, p. 268, considère ce dessin et le no 124 « fort douteux ». Haverkamp-Begemann 1969B, p. 176, n'est pas convaincu non plus de l'attribution de cette série de Düsseldorf. Mon opinion, qui demeure inchangée, est appuyée par Bauch et par van Regteren Altena.

28 Held 1969, p. 268, le considère comme « un morceau médiocre, exécuté par l'un des disciples de Jordaens ».

29. Bien que Held 1969, p. 268, doute de l'attribution du no 151, il accepte celle du no 150.

30 Cette attribution est traditionnelle à l'Albertina; elle n'a pas été mise en doute avant Held 1969, p. 267. Haverkamp-Begemann 1969B, p. 177, le considère également comme « quelque chose d'entièrement différent de tout ce que l'on connaît de Jordaens ».

31 Haverkamp-Begemann 1969B, p. 176, fait remarquer avec justesse que la main dessinée à droite rejoint la main gauche de la mère tenant son enfant. Held 1969, p. 267, « souscrit avec plaisir » à ma théorie en voulant rendre à Jordaens cette étude toute empreinte de sensibilité.

32 Held 1969, p. 268; il veut vraisemblablement dire chapitre VII plutôt que VI.

33 Held 1969, p. 272.

34 Ibid.

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