L'Heritage de l'ile Rouge
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Dernière mise à jour: 2001/05/31

 

La France et la côte Française jusqu'en 1800

La péche côtière français aprés 1815

Les Acadiens de Terre-Neuvre

L'apport français et breton

Conditions de vie du pêcheur français

Les premiers foyers

L'évolution des communautés Francophones

La vie matérielle

La vie spirtuelle

La période d'assimilation: L'influence Anglaise

L'influence de la technologie moderne et des mass-média

La Renaissance Franco-Terreneuvienne


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    Passons maintenant à la situation matérielle de la population française de l'époque. Les villages français de la presqu'île possédaient, en 1884, une variété d'animaux domestiques, qui auraient fourni de la viande et, après l'achat de sel en gros, de la viande salée. En 1884, les cinq familles grand'terriennes se partageaient quatorze vaches et trente et un moutons. Ces bêtes auraient donné du lait, du beurre et de la laine, que l'on transformait en vêtements. À Cap-St-Georges, à la même date, il se trouvait douze vaches à lait, quatre-vingt-neuf moutons et deux cochons. Il faut supposer que les habitants avaient acheté leurs bêtes chez les Acadiens de St-Georges.

    Ces villages étaient des villages de pêcheurs. À Cap-St-Georges, en 1884, on avait salé l 503 quintaux de morue, auxquels on ajouta quarante et un caques de hareng. La Grand'Terre, village plus petit, avait produit 195 quintaux de morue, quatre caques de hareng, et neuf de capelan.

 

 

 

 

 

 

 

 

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