L'Heritage de l'ile Rouge
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Dernière mise à jour: 2001/05/31

 

La France et la côte Française jusqu'en 1800

La péche côtière français aprés 1815

Les Acadiens de Terre-Neuvre

L'apport français et breton

Conditions de vie du pêcheur français

Les premiers foyers

L'évolution des communautés Francophones

La vie matérielle

La vie spirtuelle

La période d'assimilation: L'influence Anglaise

L'influence de la technologie moderne et des mass-média

La Renaissance Franco-Terreneuvienne


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    Il y avait une autre source de sang français sur la presqu'île. Des accords entre la France et l'Angleterre, en 1884 et 1885, confirmèrent le droit des Français de laisser des familles entières hiverner sur les lieux des installations de pêche françaises, afin de surveiller et d'entretenir l'équipement. Ces accords ne firent que reconnaître ce qui était déjà depuis longtemps une réalité. Il faut croire que ce fut la présence de ces familles, surtout sur la presqu'île par ailleurs déserte, qui permit éventuellement la création de vraies communautés. Sans doute le village actuel de Maisons-d'Hiver signale-t-il ainsi l'emplacement de la demeure d'un ancien concierge. Cette entente explique probablement aussi l'existence de liens entre des familles franco-terreneuviennes et saint-pierraises, liens qui, dans quelques cas, se sont maintenus jusqu'à nos jours.

    Certaines familles que je connais prétendent être venues légalement sur la presqu'île et non pas pour éviter de retourner en France. Enfin, les Français de la presqu'île pouvaient se rendre de temps en temps aux villages acadiens où, parfois, ils trouvaient à se marier. Parmi les ancêtres d'Émile Benoit, celui qui, dans le présent ouvrage, représente la tradition publique du conte, figurent des " Français de France " et , des " Français de Stephenville, c'est-à-dire des Acadiens.

 

 

 

 

 

 

 

 

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