L'Heritage de l'ile Rouge
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Dernière mise à jour: 2001/05/31

 

La France et la côte Française jusqu'en 1800

La péche côtière français aprés 1815

Les Acadiens de Terre-Neuvre

L'apport français et breton

Conditions de vie du pêcheur français

Les premiers foyers

L'évolution des communautés Francophones

La vie matérielle

La vie spirtuelle

La période d'assimilation: L'influence Anglaise

L'influence de la technologie moderne et des mass-média

La Renaissance Franco-Terreneuvienne


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    C'est à partir de ce petit nombre de déserteurs venus de France ou de St-Pierre, de ces quelques familles françaises dont la présence fut permise, que les villages de Cap-St-Georges, de Degras, de la Grand'Terre, de Maisons-d'Hiver et de l'Anse-à-Canards furent fondés. Dès l'établissement à St-Georges, dans les années soixante-dix, d'une , autorité religieuse qui exerçait tout naturellement un pouvoir séculaire, plusieurs familles acadiennes quittèrent la région de Stephenville et de St-Georges, pour se réinstaller sur la presqu'île, où ils pouvaient au moins partager une culture et une langue communes avec les Français qui s'y étaient déjà fixés. Les Acadiens emmenèrent avec aux des Amérindiens micmacs, descendants de ceux qui étaient venus a Terre-Neuve, au temps de la colonie de Plaisance .On sait que les deux groupes s'alliaient souvent, et je connais au moins trois familles, sur la presqu'île, auxquelles la tradition orale attribue du sang micmac. Et, finalement, vinrent s'y établir des Anglais et des Écossais, quoique les Français de la presqu'île semblent avoir évité généralement les alliances avec des anglophones, jusqu'à une époque assez récente.

 

 

 

 

 

 

 

 

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