La
France et la côte Française jusqu'en 1800
La
péche côtière français aprés 1815
Les
Acadiens de Terre-Neuvre
L'apport
français et breton
Conditions
de vie du pêcheur français
Les
premiers foyers
L'évolution
des communautés Francophones
La
vie matérielle
La
vie spirtuelle
La
période d'assimilation: L'influence Anglaise
L'influence
de la technologie moderne et des mass-média
La
Renaissance Franco-Terreneuvienne
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C'est
à partir de ce petit nombre de déserteurs venus de France ou de
St-Pierre, de ces quelques familles françaises dont la présence
fut permise, que les villages de Cap-St-Georges, de Degras, de
la Grand'Terre, de Maisons-d'Hiver et de l'Anse-à-Canards furent
fondés. Dès l'établissement à St-Georges, dans les années soixante-dix,
d'une , autorité religieuse qui exerçait tout naturellement un
pouvoir séculaire, plusieurs familles acadiennes quittèrent la
région de Stephenville et de St-Georges, pour se réinstaller sur
la presqu'île, où ils pouvaient au moins partager une culture
et une langue communes avec les Français qui s'y étaient déjà
fixés. Les Acadiens emmenèrent avec aux des Amérindiens micmacs,
descendants de ceux qui étaient venus a Terre-Neuve, au temps
de la colonie de Plaisance .On sait que les deux groupes s'alliaient
souvent, et je connais au moins trois familles, sur la presqu'île,
auxquelles la tradition orale attribue du sang micmac. Et, finalement,
vinrent s'y établir des Anglais et des Écossais, quoique les Français
de la presqu'île semblent avoir évité généralement les alliances
avec des anglophones, jusqu'à une époque assez récente.
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