L'Heritage de l'ile Rouge
BienvenuePhotomontageHistoriqueCartesPecheArtisans locaux
Archive multimediaVillages francaisCommuniquez avec nous
Dernière mise à jour: 2001/05/31

 

La France et la côte Française jusqu'en 1800

La péche côtière français aprés 1815

Les Acadiens de Terre-Neuvre

L'apport français et breton

Conditions de vie du pêcheur français

Les premiers foyers

L'évolution des communautés Francophones

La vie matérielle

La vie spirtuelle

La période d'assimilation: L'influence Anglaise

L'influence de la technologie moderne et des mass-média

La Renaissance Franco-Terreneuvienne


PAGE 1/2/3/4/5/6/7/8/9

    Malgré cette atmosphère révoltante, telle que Gobineau l'évoque, les graviers ne courent aucun danger, si ce n'est celui de se couper au couteau :

    Les maux d'aventure sont fréquents parmi eux et entraînent de graves conséquences qui aboutisse quelquefois à la nécessité de l'amputation.

    Mais Gobineau semble faire fi de ces dangers; il note la présence d'un médecin et souligne jusqu'à quel point la santé des graviers est à envier. Pourtant, Charles de la Morandière, reprenant cette même question quelque cent ans plus tard, ne la traite pas à la légère. Il discute assez longuement les problèmes de recrutement de médecins destinés au service sur la côte française, leurs devoirs et leur efficacité. Si divers édits ministériels de l'époque exigeaient la présence de médecins à bord des vaisseaux et aux établissements côtiers, la loi ne fut pas toujours suivie.

    Citant le rapport d'un commandant Mer de la station navale française de Terre-Neuve, de la Morandière note que:

    Le commandant Mer raconte que le capitaine prudhomme du havre est venu le trouver en lui amenant un pêcheur dont la main était en très mauvais état. Cet état était si mauvais en effet qu'on dut lui couper un doigt. C'était un maître capelanier.

 

 

 

 

 

 

 

 

Page de liensAnglaisCarte de siteCredit