L'Heritage de l'ile Rouge
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Dernière mise à jour: 2001/05/31

 

La France et la côte Française jusqu'en 1800

La péche côtière français aprés 1815

Les Acadiens de Terre-Neuvre

L'apport français et breton

Conditions de vie du pêcheur français

Les premiers foyers

L'évolution des communautés Francophones

La vie matérielle

La vie spirtuelle

La période d'assimilation: L'influence Anglaise

L'influence de la technologie moderne et des mass-média

La Renaissance Franco-Terreneuvienne


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    Les causes de la désertion se trouvaient donc en grande partie dans les conditions de vie du gravier. Des jeunes gens étaient obligés de travailler pendant six mois ou plus sur une côte isolée, sans divertissements, dans des conditions sanitaires aussi sommaires que les habitations qu'ils devaient Occuper. Ils étaient tous les jours menacés par les conséquences de blessures non soignées et par les diverses maladies qui sévissaient dans l'établissement. Ils avaient aussi la certitude, après quatre ou cinq ans de travail sur la côte, d'avoir à passer une période semblable dans la marine française.

    Nous ne savons pas, à coup sûr, le nombre précis de déserteurs qui devaient se fixer sur la presqu'île de Port-au-Port. À part les individus qui s'installèrent le long du Petit Nord, peu nombreux, croyons-nous, et vivant toujours dans des villages anglophones, on peut évaluer, d'après une étude de la distribution des noms de familles français sur la presqu'île, à une cinquantaine le nombre de déserteurs qui s'y fixèrent dans la période 1816-1904.

 

 

 

 

 

 

 

 

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