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L'élevage -- La provenance des l'éleveurs et des cow-boys
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Les éleveurs et le cow-boy de l'Ouest américain et canadien ont premièrement vu jour au Texas. Les cow-boys américains là ont adopté et adapté le costume et les techniques des éleveurs mexicains et leurs cow-boys, les vagueros. Après la guerre de Sécession (1861-1865), des centaines de milliers de bestiaux libres erraient sur les plaines du Texas. Ces boeufs hardis étaient les descendants du bétail abandonné à leur sort par les éleveurs espagnols et mexicains, car le Texas était premièrement une colonie espagnole. De là, les éleveurs américains rassemblaient ce bétail et le conduisaient dans les plaines du nord pour l'engraisser et le vendre à profit. Éventuellement, des éleveurs se sont installés dans la prairie canadienne ainsi que la culture du cow-boy. À la fin du XIXe siècle, l'ère du cow-boy était révolue aux États-Unis et les grandes étendues de terres des éleveurs ont été divisées en concessions et clôturées avec du fil de fer barbelé. Mais, en 1905, il y avait toujours des éleveurs et des cow-boys dans la prairie des provinces de l'Ouest canadien.
Les éleveurs se sont premièrement établis dans le sud de l'Alberta et de la Saskatchewan, car les fermiers ne voulaient pas s'y installer. La région est semi-aride et la sécheresse frappait cette région assez fréquemment. De plus, les techniques utilisées pour la culture à l'époque n'étaient pas adaptées à cette région : le labour et la graine tout simplement répandue à la surface ne pouvaient pas assurer de bonnes récoltes. Le labour profond desséchait le sol et la graine se retrouvait dans la poussière incapable de germer. Jeter la graine de semence au sol n'est approprié que lorsqu'il pleut abondamment le printemps, ce qui n'était pas le cas dans cette région semi-aride. Les éleveurs ont pu donc s'installer dans la prairie à la fin du XIXe siècle sans concurrence des agriculteurs.
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