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La société > L'éducation | ||||||||||||||||||||
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![]() L'université
Les études supérieures continuent d'exercer un puissant attrait sur bon nombre d'élèves canadiens. En 1998-1999, les universités du Canada comptaient 580 400 étudiants à temps plein et 246 000 étudiants à temps partiel. Entre 1988-1989 et 1998-1999, les effectifs à temps plein dans les universités canadiennes ont augmenté de 16 %. La croissance a été plus forte entre 1988-1989 et 1992-1993 que durant la dernière moitié de la décennie. Les effectifs à temps partiel sont en déclin depuis 1992-1993 et ont subi une baisse globale de 19 % de 1988-1989 à 1998-1999. Ces tendances dans les effectifs sont observables dans toutes les provinces, sauf en Alberta et en Colombie-Britannique, où les effectifs à temps partiel ont progressé tout comme les effectifs à temps plein. Traditionnellement, les femmes étaient plus nombreuses que les hommes à effectuer des études de premier cycle à temps partiel. Aujourd’hui, elles composent aussi la majorité des effectifs à temps plein. Les hommes représentent toujours la majorité des effectifs de 2e et 3e cycles, mais leur proportion de l’ensemble des étudiants de ces deux cycles a chuté de 59 % à 52 % au cours des années 1990. En 1998-1999, parmi les universités et les établissements conférant des grades universitaires, le cinquième comptaient moins de 300 étudiants. Les universités accueillent quand même généralement une plus grande population étudiante que les autres établissements d'enseignement. En fait, le tiers inscrivaient plus de 10 000 étudiants. En 1998, les universités avaient surtout accordé des baccalauréats ou des premiers grades professionnels en sciences sociales, suivis de ceux en génie et en sciences appliquées, en éducation et en lettres et sciences humaines. Du côté universitaire, le choix de cours des femmes diffère de celui des hommes. Plus de deux fois plus de femmes que d'hommes ont reçu un diplôme en éducation en 1998-1999. Plus de quatre fois plus d'hommes que de femmes ont obtenu un diplôme en génie et en sciences appliquées et deux fois plus, un diplôme en mathématiques et en sciences physiques. En 1998, sur 172 000 étudiants ayant obtenu un diplôme universitaire, 72 000 étaient des hommes et 100 000, des femmes.
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