![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
![]() |
![]() |
L'économie > Les industries primaires | ||||||||||||||||||||
![]() |
![]() |
![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
||||||||||||||||||||
![]() |
![]() Les emplois et le revenuDans les collectivités éloignées, l'attrait de Dame Nature n'a pas été suffisant pour empêcher les Canadiens de déménager en ville. En 1931, une personne sur trois vivait à la ferme, comparativement à environ une personne sur quarante en 2001. Ce déclin tient en partie au fait qu'un moins grand nombre de personnes travaillent directement dans les industries primaires. Selon l'Enquête sur la population active, 717 000 Canadiens dépendaient directement des industries primaires pour leur subsistance en 1976, ce qui représentait environ 7,3 % de tous les travailleurs occupés cette année-là. En 2002, ce nombre avait diminué à 602 000 personnes, ou 3,9 % de la population active. Certains des travailleurs qui choisissent de rester dans ces domaines sont cependant assez bien rémunérés. L’industrie des mines et du pétrole, qui était renommée pour sa troupe bigarrée de mineurs le sac au dos et de prospecteurs isolés, est maintenant renommée pour la façon dont ceux-ci sont rémunérés. En 2002, les mineurs et les travailleurs du pétrole gagnaient en moyenne 1 168 $ par semaine, c'est-à-dire 72 % de plus que la moyenne des travailleurs de l'ensemble des industries au Canada.
|
|||||||||||||||||||||
|